L’effet miroir de l’ombre

 

“Le tarot révèle alors son effet miroir de l’ombre, des mémoires pénibles du passé.”

PdC

 

Jusqu’où j’ai changé? Jusqu’où j’ai évolué. Puis – je aller encore plus loin?*

 

 

Quand le besoin d’être reconnu et bien vu est plus fort, on est sur le non respect de son territoire, l’incapacité de dire non, on est très éloigné de sa lumière intérieure. C’est aller chercher à l’extérieur tout ce que nous trouverions à l’intérieur de nous. Si nous nous donnions la peine de nous plonger en nous.

Cette colère intérieure à dire oui alors qu’on sait que c’est à l’encontre du bon en Soi. On deviens colère citrique, médisance à plus ou moins grande intensité. L’ombre.

J’aime l’ombre, car je suis à la fois, Ombre et lumière. La lumière existe à elle seule, mais sans elle, il n’y aurait pas d’ombre. Alors je me suis souvent demandée ce qu’était, ou en tout cas ce que représente la part d’ombre en chacun de nous. J’aime croire qu’il s’agit du caché, de l’enfouit, de ce que l’on ne souhaite pas voir faire surface, des côtés qui sont notre personnalité, notre ego…mais qui ne sont que le(s) masque(s) poser sur notre visage tel un mécanisme de défense face à l’autre qui nous fait souffrir.

La communication en Soi avec Soi est biaisée. Donc, le discernement, la réflexion, ne sont pas simple.

 

Comment s’exprime alors ce refoulé : Par la Colère

«Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime. Tout ce qui est imprimé cherche à s’exprimer»

As-tu l’impression de bloquer ta colère?*

“Durant  ces  5  mois,  je  me  suis  retrouvée  face  à  moi-même.    Je  me  suis  perdue,  tant  de  fois,  pour  mieux  me  trouver  encore.  J’ai  découvert  une  force,  un  certain  pouvoir  en  moi.  Je  me  suis  affirmée  et  j’ai  trouvé  une  confiance  en  moi  que  je  ne  soupçonnais  pas.*  Aujourd’hui  j’ai  ce  besoin  de  me  faire  entendre,  de  poser  des  limites  et  de  parler  pour  moi,  en  moi.  Je  pense  surmonter  progressivement  mes  peurs,  oui  j’ai  appris  à  être  plus  présente,  moins  impatiente  et  apprendre  pas  à  pas  de  mes  expériences.  Je  suis  parfois  rigide  et  figée  sur  des  petits  détails  qui  m’ont  blessés.  Je  pense  que  le  cœur  serré,  je  cherche  encore  à  l’ouvrir  pour  plus  d’émotions,  m’ouvrir  d’avantage.  Je  suis  en  équilibre  et  stable  aujourd’hui.  Mes  choix  sont  faits.  Ils  se  sont  imposés  à  moi  avec  violence,  mais  dans  le  respect  de  mon  cœur,  comme  une  évidence. 

Il  y  a  beaucoup  de  choses  pour  lesquelles  je  me  suis  trompée.  Je  suis  changée,  et  je  suis  fière  de  mon  chemin. 

Cependant,  je  dois  prendre  le  temps  d’être  prête  et  laisser  le  puzzle  se  mettre  en  place  au  rythme  qui  doit  être  et  pas  que  j’impose  au  monde.  J’ai  éclairé  trop  fort,  trop  vite,  j’ai  été  aveuglé  à  mon  tour.  Pour  autant  aujourd’hui  mon  cœur  c’est  exprimé  pleinement  et  à  prit  pleinement  position  à  travers   mes  choix.  C’est  assez  paradoxal. 

J’ai  ce  besoin  de  trancher  au  cœur  de  cette  confusion,  celle  dans  laquelle  la vie  m’a  transporté.  Même  cela m’est  confus.  Ce  que  je  sais, est  que  je  n’ai  pas  besoin  “d’autre”  que  moi-même,  mais cette présence,  dans  ma  vie,  est  un  élément primordial.  Et  bien  d’autres  choses  aussi…

J’ai  ce  besoin  ardent  de  partager  mes  sentiments les yeux grands ouverts.  Je  ne  cherche  pas  à  contrôler,  je  souhaite  être  honnête  sur  mes  impressions  et  je  suis  déterminée. J’ accepte les  éléments  qui  composent  ma  vie.  J’ai  besoin  d’échanges,  de  tendresse,  d’un  renouveau,  sans  être  enflammée,  mais  dans  ce  qui  est  en  mon  cœur,  aujourd’hui.  Un  jour  il m’a été dit:  «   quand  je  toucherais,  quand  je  verrai,  je  saurais ».  C’est  cela  que  je  veux  vivre  pour  moi.  Alors  je  le dis: “Mon coeur, veux-tu  bien,  quand  tu  seras  prêt,  m’accueillir  en confiance !?”

WL” 

 

Quand le mental est si fort, qu’il érige des barrières infranchissables pour que ton âme soit éloignée de ton corps*

Changer son point de vue sur sa relation au monde ne se fait pas dans la souffrance car est très éloigné du Soi. Changer son regard sur sa relation à Soi, voilà ce qui se fait dans la douleur ?!*

La douleur, la souffrance sont des choix, pour lesquels je n’opte pas. Etre moi, avec moi, cela ne se vis pas dans la douleur, mais dans l’amour.

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“Confiance et estime de soi sont la clé de cette belle aventure”

 

Comment ne plus s’oublier?

 

Se prioriser par la force des choses !

 

“Finalement, ce qui compte, ce ne sont pas les années accumulées dans une vie, mais la manière de les avoir vécues.”
-Abraham Lincoln-
Le matin, je me réveille et je n’arrive pas à me sortir du lit! La journée, je me sens fatiguée et je n’arrive plus à générer cette énergie qui me faisait soulever des montagnes.
Le soir, je mange à peine, je n’arrive plus à faire mes activités quotidiennes, car je suis épuisée de la journée. Je me couche tôt, ou tard à défaut, avec cette sensation de n’avoir pas pu faire tout ce que j’aurai aimé faire dans cette journée.
Ma nuit ne sera pas plus reposante, car soit, je vivrais des rêves qui me feront comprendre….ou pas la journée vécu, soit, je ne ferai pas de rêve mais pour autant mon réveil sera encore sous l’effet d’avoir pris un bus.
Je suis frustrée?..sûrement !
Je suis… décentrée.
Je ne suis pas malheureuse, pour autant il y a se bruit de fond,  cet appel du cœur, de l’âme qui me dit “je veux aller – mieux”
Que m’arrive – t- il?
Je suis décentrée, mais je suis surtout en oubli  de moi – même.
Et si je commence par me prioriser?
J’étouffe a la simple présence d’enfants qui me sollicite tout le temps?, Je hurle intérieurement de la non expression de mon être plein et en paix? J’accumule la frustration et la perte de repère? 
Je dois me pardonner d’avoir eu de la colère et de la haine envers moi même et cette habitude de respecter mes systèmes égotiques à défaut de mon enfant intérieur.

Penser a soi, d’abord n’est pas être ego – centré ou encore prétentieux ou égoïste. C’est être présent en soi pour soi, et pouvoir ainsi proposer aux autres, une présence de qualité.

Être une priorité, rechercher mon propre bonheur, non au détriment des autres, mais en étant en harmonie, pure et simple avec mes décisions. est finalement ma bonne résolution 2018.

 

Cela passe par quoi?

  • Demander un rdv de soin, pour aligner mes chakras, sans y mettre d’attente envers l’autre mais plutôt une intention envers soi, en confiance.
  • Prendre du temps à réfléchir à ce qui me procurerai du plaisir en cette nouvelle année et d’acter.
  • Savoir dire: “Je ne suis pas disponible dans l’instant pour toi”, “Non”, “On se capte demain, là je suis occupée, ou Je ne suis pas en forme pour être présente pour toi”, “Je n’ai pas envie de suite, peut être tout à l’heure”.
  • C’est s’affirmer, sans la peur que l’autre nous rejette, nous abandonne, nous oublie!
  • C’est se rendre compte, que nous n’avons pas besoin des autres, et que les autres n’ont pas besoin de nous. Que cela est, parce que l’essence même de chacun est en chacun de nous. De l’intérieur et non pas vers l’extérieur.

 

Le défi?

  1. Équilibrer le partage duel de l’amour,
  2. Éliminer le matériel lourd que l’on porte depuis des décennies, même des vies,
  3. Se désengager des pièges de l’ego,
  4. Etre dans une mission de vie, d’amour envers soi et les autres. Mais soi d’abord,
  5. Ne pas écouter la voix de l’ego sacrificielle et déstructurante,
  6. Ne pas se sentir coupable,
  7. Accueillir nos émotions réelles et pas les fausses croyances erronées, d’un regard voilé.

 

Vous pensez au bonheur des gens, avant le vôtre?

Je suis une personne disponible, loyale, fiable, et heureuse dans la vie,

J’ai compris, appris, pardonné, soutenu, aimé sans condition,

Je me suis blessé(e), abîmé(e), j’ai du me réparer aussi.

Cela suffit !! STOP !!

 

Le pire est nous sommes blessés par des gens que nous aimions, tendrement. Normal, la leçon n’en serait pas apprise si cela venait de personne dont nous n’engageons aucun affect.
Pour qu’elle raison je prends tant soin de l’autre à défaut de moi – même?
Un besoin profond de combler un vide, de chercher la valorisation extérieure, ou un espoir que ce que je vais donner, sera donné en retour. Mais encore une reconnaissance…..
Que me procure cet état?
Sentiment d’exister, d’avoir de la valeur, d’être, d’être aimé? Mais surtout un vide qui n’est pas rempli, ou qui se désempli tout aussi rapidement, car l’acte entrepris n’est pas la clé de soi.
C’est en son coeur que l’on trouve son authenticité. Ce libérer, est la clé!
XoXo
C.

Suceur de Sang, Per – version de l’âme.

Comment j’ai vécu au contact de Pervers Narcissique?

Cela à été tout nouveau ces derniers mois, je les avais autour de moi, mais je n’en saisissais pas l’impacte, ni la puissance. Puis j’ai ouvert les yeux. J’avais besoin mais aussi l’envie de partager, pour que chacun puissent puiser consciemment des informations, une aide, à sa convenance, mais aussi inconsciemment une manière de changer le mouvement qui s’opère dans leur environnement.

Je vois le monde d’une manière assez pure, que, tout être à une partie d’amour en lui, parfois apparente, mais parfois tellement enfouie suite à des blessures et des traumatismes, qu’il faut œuvrer avec peine et persévérance pour la faire émerger. Je m’emploie toujours avec optimisme à croire en l’autre, et je ne veux jamais perdre cette partie de moi. Cependant la difficulté première de cette démarche c’est d’accepter que tout n’est “ni blanc, ni noir”.

Un PN, ou d’ailleurs, une, ne sont pas du tout dans cet amour. Le cœur a laissé place au vide. Ce qui fait que j’ai mis longtemps à me rendre compte de leur présence et de leur essence monstrueuse.

Alors entendons nous bien, que je vois en eux, l’enfant brisé, abandonné, non désiré, qui pour survivre dans ce vide à crée une carapace dont le nom me vient théoriquement: Narcisse d’Ovide. Cette vision me pousse à ne pas les fuir, ou les rejeter, mais accepter qu’ils sont plus à plaindre qu’à craindre, même si oui, il faut les craindre car ils sont dangereux.

 

Avez-vous, vous aussi un PN dans ton entourage?*

Avez-vous, des solutions pour vivre à coté de ces personnes? si oui, lesquelles?*

doivent – ils être éloigné de l’amour? Comment vivre avec eux en tant que partenaire, ami, tout en ce protégeant?*

 

Pour commencer, petit rappel de comment, je perçois être un PN (pervers narcissique) : C’est un hybride, que je vois, en chacun d’eux.

Image associée

Il ne s’agit pas d’une maladie mentale, mais plutôt un trouble de la personnalité qui se produit lorsqu’une personne a une image particulièrement mauvaise d’elle-même. Cette personne va chercher à se valoriser et se grandir en rabaissant les autres (son conjoint, des collègues, un ami, un membre de la famille,…) par le biais de harcèlement et de la manipulation mentale. Les causes de la perversion narcissique restent à ce jour inconnues. Un traumatisme psychologique (blessure narcissique profonde) comme la violence durant l’enfance (comportement des parents, rejet de la mère, abandon du père…) et un terrain génétique sont probablement à l’origine de ce trouble.

 

Le pervers narcissique est souvent un trouble de la personnalité qui est difficile à soigner, dans la mesure où le principal intéressé ne s’aperçoit pas toujours de son trouble. C’est souvent l’entourage qui voit que quelque chose ne va pas. S’il ne prend pas les mesures nécessaires, comme consulter un psychologue ou entamer une psychanalyse, le phénomène peut entraver lourdement ses relations. Le pervers narcissique a souvent une vie de couple instable et des rapports avec l’entourage familial ou social conflictuels. Il est donc important pour lui de se faire aider.

 

Voici un article très intéressant à lire :  https://www.espritsciencemetaphysiques.com/empathe-et-un-narcissique.html

La première chose que je constate à leur contact, c’est cette impression qu’ils essayent de “rentrer” d’invertir mon Moi profond, comme pour m’aspirer, me détruire, m’étrangler, m’emperchant d’agir. Ils me sont physiquement très désagréable. Je me rappelle un jour, avoir failli m’évanouir, j’avais un tel malaise, qu j’en aurai fait un, littéralement. J’ai compris avec le temps que m’on coté “empath(ique)” fait que je laisse entrer toute personne qui souhaite le faire. Je suis ainsi. Cependant cela me génère des contreparties destructrices, car je sens dans ces cas là que je suis aspirée, comme si on me vampirisait, suçant mon sang jusqu’à ce que j’ai plus aucune énergie vitale en moi.

 

La violence morale n’est pas l’apanage des seuls hommes.

 

Le PN est autant homme, que femme, je connais les deux. Je dirai que la différence ce situe au niveau de la puissance. La femme est plus maligne, plus manipulatrice et sa violence physique st moindre que psychologique et moral. J’aurai envie de dire d’une femme PN qu’elle est plus une sorcière perfide.

Voici ce que je retiens d’un profil PN:

  1. Sa vie consiste à chercher son reflet dans le regard des autres. L’autre n’existe pas en tant qu’individu mais en tant que miroir. Un Narcisse est une coque vide qui n’a pas d’existence propre ; c’est un pseudo, qui cherche à faire illusion pour masquer son vide. Son destin est une tentative pour éviter la mort. C’est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu comme un être humain et qui a été obligé de se construire un jeu de miroirs pour se donner l’illusion d’exister. Comme un kaléidoscope, ce jeu de miroirs a beau se répéter et se multiplier, cet individu reste construit sur du vide.
  2. Toujours en position de victime, dans une relation, cette attitude de victime séduit un partenaire qui veut consoler, réparé, avant de le mettre dans une position de coupable. Lors des séparations, ils se posent en victimes abandonnées, ce qui leur donne le beau rôle et leur permet de séduire un autre partenaire, consolateur.
  3. Ils culpabilisent à outrance leur proie, ne supportent pas d’avoir tort. Rejeter la faute sur l’autre, médire de lui en le faisant passer pour mauvais permet non seulement de se défouler, mais aussi de se blanchir. Jamais responsables, jamais coupables : tout ce qui va mal est toujours de la faute des autres.
  4. Ils ne sont pas autonomes, ne peuvent se passer d’autrui, ce qui les conduit à un comportement collant et à une peur de la séparation (souhaitant tout faire avec l’autre: cinéma, vie, sorties, activités de loisirs….) ; pourtant, ils pensent que c’est l’autre qui sollicite la sujétion. Ils refusent de voir le caractère dévorant de leur accrochage à l’autre, qui pourrait entraîner une perception négative de leur propre image. Cela explique leur violence face à un partenaire trop bienveillant ou réparateur. Si au contraire celui-ci est indépendant, il est perçu comme hostile et rejetant, non – présent. “
  5. Il critique tout le monde, n’admettent aucune mise en cause et aucun reproche. Exacerbation de la fonction critique qui fait qu’ils passent leur temps à critiquer tout et tout le monde. De cette façon, ils se maintiennent dans la toute-puissance : Si les autres sont nuls, je suis forcément meilleur qu’eux.
  6. Rejeter la faute sur l’autre, médire de lui en le faisant passer pour mauvais “objet” permet non seulement de se défouler, mais aussi de se blanchir et rester dans le rôle du bon “objet”. Jamais responsables, jamais coupables : tout ce qui va mal est toujours de la faute des autres.
  7. Il envie la réussite des autres, qui les met face à son propre sentiment d’échec, car il n’est pas plus content des autres qu’il ne l ’est de lui-même; Alors il choisira une des deux chemins: Soit la réussite professionnelle a son maximum, ou alors la position de victime dépressive, rien ne va jamais, tout est compliqué, tout est une épreuve. Il impose alors aux autres sa vision péjorative du monde, de la situation et son insatisfaction chronique concernant la vie. Il casse tout enthousiasme autour de lui, cherche avant tout à démontrer que le monde est mauvais, que les autres sont mauvais, que le partenaire est mauvais. Par son pessimisme, il entraîne l’autre dans un registre dépressif pour, ensuite, le lui reprocher.
  8. Face à ce monde de pouvoir, la victime est forcément dans un monde de failles. Montrer celles des autres est une façon de ne pas voir ses propres failles, de se défendre contre une angoisse.
  9. La relation ne comporte aucune affectivité, car le principe même du fonctionnement est d’éviter tout affect. Le but est de ne pas avoir de surprise. Il maintiennent une distance affective suffisante pour ne pas s’engager vraiment. L’efficacité de leurs attaques tient au fait que la victime ou l’observateur extérieur n’imaginent pas qu’on puisse être à ce point dépourvu de sollicitude ou de compassion devant la souffrance de l’autre.
  10. Agresser les autres est le moyen d’éviter la douleur, la peine, la dépression.
  11. Petites brimades, des phrases anodines mais méprisantes, pleines de sous-entendus blessants, avilissants, voire violents, c’est la répétition constante de ces actes qui rend l’agression évidente. Plus le temps passe, plus le caractère despotique s’affirme, allant jusqu’à porter des coups physiques. Les hommes ne sont pas à l’abri de ses violences physiques et peuvent tout aussi bien en être victime.
  12. Au fur et à mesure du temps, vous deviendrez fort peu de chose, noyé sous les critiques acerbes et parfois
    violentes. Ils se nourrissent de l’énergie de ceux qui subissent leur charme. Ils tentent de s’approprier le narcissisme gratifiant de l’autre en envahissant son territoire psychique. Le problème du pervers narcissique est de remédier à son vide.
  13. Il se présente souvent comme le sauveur ou le grand confident qui prétend apporter des solutions à tous vos problèmes. Il est à l’ écoute de votre souffrance. Le pervers narcissique est si intelligent qu’il peut même jouer le parfait psychologue !
  14. Il va archiver et mémoriser dans sa tête tout ce que vous lui dites et il vous le ressortira un jour (des années plus tard !!) pour vous déstabiliser psychologiquement en appuyant là où ça fait très mal.
  15. Il cherche à vous donner l’impression d’être impuissant. Cette culpabilité a pour but de supprimer le plaisir éprouvé par l’homme, de créer une sexualité sans plaisir et sans joie, le sexe n’est plus besoin. Une sexualité à la fois mécanique et compulsive. Par exemple, face à une femme totalement passive, apparemment indifférente ou souvent silencieuse, l’homme cherche désespérément à la rendre heureuse et satisfaite sans jamais pouvoir réellement y parvenir. Il est perdu, ne voit rien, ne comprend plus rien. Son but est de montrer à l’homme à quel point il peut être faible, pervers ou impuissant. Là encore, l’impossibilité d’établir la moindre communication constructive empêche la construction d’une sexualité épanouie.La sexualité est un enjeu de pouvoir pour il/elle. Un moyen infaillible de provoquer un stress qui sera à l’origine de troubles psychosomatiques. Inversement séduction par une activité sexuelle importante, afin de garder la main sur la victime. Lui donnant ainsi l’illusion d’assouvir tout ses besoins pour ensuite, que lui même assouvisse tout les besoins du PN.

Sources : 1. 2. 3. 4

Dès son plus jeune âge, un enfant construit son estime de lui au contact des autres mais aussi en lui – même. Ce sont ses parents qui ont le rôle le plus important dans l’acquisition d’une bonne estime de soi par l’enfant. Il est important pour lui, qu’il soit revalorisé dans son unicité, dans sa différence, et accepté comme tel par ses parents. Regard bienveillant, d’amour pur. L’enfant doit sentir qu’il est un individu valorisé par ses parents pour ces éléments là. Quand on manque d’estime de soi, on culpabilise à tout bout de champ. On se rend coupable de tout.
 
On s’excuse et on se justifie même quand on a rien fait de mal :
« C’est de ma faute si…»
« J’aurais dû…»
« Je vais lister ses besoins, être présent, me recentrer sur ma famille, me faire pardonner mon défaut de présence »
 
Au risque de tomber sous l’emprise des manipulateurs. Les personnes qui ont une blessure narcissique sont avides de reconnaissance et sont trop sensibles aux marques d’attention. Ceci fait qu’elles tombent plus facilement sous l’emprise des personnes toxiques et manipulatrices.
 
 
 
Cinq catégories de personnes sont à risques de devenir des victimes de la perversion narcissique :
1.Les personnes qui manquent d’estime et de confiance en elle,
2.Les personnes qui sont en situation de dépendance affective (en couple, celles qui ont été blessées, abandonnées, …),
3.Toutes les personnes qui ignorent l’existence de la perversion narcissique,
4.Les personnes débordant d’énergie et de joie de vivre (les pervers narcissiques cherchent à s’approprier ces qualités),
5.Les empathes.
 
 
 
Je reste cependant persuadé, qu’il faut aider ces personnes, s’en protéger, parfois s’en éloigné, mais pourquoi ne pas mettre en place un protocole d’accompagnement pour les remplir afin qu’eux même se découvre et panse les blessures de l’enfant, pour retirer un maque, une carapace, leur donner l’opportunité de faire un choix : Celui de changer profondément leur structure pour Etre.
 
 
 
La psychanalyse va aider le “patient PN” à faire ressortir le mal-être qui a occasionné ce type de personnalité et à mettre au jour l’origine de ce mécanisme de défense en remontant souvent à la petite enfance. Il faut cependant que la personne veuille faire cette démarche difficile pour lui, puisqu’il ne se voit pas en cause.
Il ne faut pas détruire des années de vie en commun sur des présomptions. Doutes, ressentis, émerges, consultez un spécialiste pour avis, et engagé le mouvement du changement si cela s’avère juste.
 
 

Quand moi idéaliser toi, blesser moi !!!

 

 
Dans la pénombre de ma chambre, je regarde par la fenêtre, je ne vois plus rien.
 
 
Quand un matin tu décides que certaine choses ne vont pas, mais tu ne sais pas quoi.
Quand un jour tu te dis qu’il faut changer les choses, mais tu ne sais pas comment.
 
 
Qu’est ce qui ne conviens pas?
Qu’est ce qui blesses?
Qu’est ce qui au final angoisse?
 
 
 
Je suis depuis toujours portée vers l’analyse, vers la compréhension des choses. Pour autant ça ne me donne pas forcement la réponse. Une chose est sûr, je continue de réfléchir et d’analyser car mon but est de comprendre le pourquoi du comment.
 
 
 
Qu’est ce qui fait que nous n’arrivons pas à être honnête envers nous-même et fidèle à nos valeurs?
 
Voila ce que notre voix intérieure nous amène à désirer:
 
“J’aimerais avoir un peu, beaucoup, passionnément plus confiance en moi-même. J’aimerai augmenter d’avantage mon estime de moi-même; augmenter ma sécurité intérieure. Chaque jour, je suis incertaine, de faire les bons choix, que ce à quoi j’aspire est plus qu’un rêve, une réalité en devenir. Le résultat d’années d’efforts à me comprendre, comprendre le monde qui m’entour et a m’accepter, m’aimer d’avantage.”
 
 
 
Nous avons souvent l’impression que ces notions sont un cadeau du destin pour ceux qui semblent en être dotés. Pourtant de mon expérience et des gens que je rencontre au quotidien ce n’est que le résultat  d’un travail quotidien et non pas d’une chance que nous n’avons pas eue.
 
 
Nous sommes les magiciens de nos propres vies, nous décidons d’être ce que nous sommes. Meme si nous croyons l’inverse.
 
Devenir plus confiant, sûr et certain de notre chemin (même si cette notre est toute relative), n’est pas hors de notre portée, mais accessible à tous. Vous, moi et les autres. Tous ceux qui veulent un jour défaire les chaînes de ces crises d’angoisses, de la peur et du stress.
Ce qui appartient à d’autres peut aussi appartenir a soi-même, si le souhait est émis. Si la confiance en ce que l’on sait, est présente.
 
 
 
Dans les actes quotidiens, on essaie d’être honnête envers soi – même et de mettre en place une écoute de l’autre, une tolérance, une bienveillance et un respect. On obtient de bon résultats de ce travail car nous sommes présence et humanité. Mais que ce passe-t-il si on en doute?.
 
Les qualités qui font de nous qui nous sommes sont, précisément, la résultante des actions que nous menons pour avancer sur notre chemin.
Les personnes qui sont soucieuses de se respecter vont mettre en place des comportements et agir de façon singulière pour maintenir ces actions et atteindre leurs objectifs.
 
 
 
Quelles actions mettez – vous en place pour développer votre confiance et votre estime de soi?*
 
 
 
Ressentez-vous le doute? l’absence de confiance? Pourtant, dans mon cas, je le vis au quotidien, donc cela fait partie de ma réalité. En toute confiance, je le dis, c’est ma vérité!
 
 
 

Je crois profondément que chacun de nous est en capacité de constater à partir de son vécu, le bienfait de ses actions sur lui – même.

 

En effet, chaque fois que l’on mets en place une action, un comportement qui respectent vraiment qui nous sommes, ou de la manière dont nous souhaitons évoluer dans l’avenir, cela à un effet intérieur immédiat.

Je mets souvent en place des “défis”, afin de formaliser l’action. Cela m’aide à me rappeler ma démarche, à noter les avancées de mon projet. Ainsi j’ai une trace, j’écris, je verbalise et donc je me prouve que je vie une expérience.

 
 
Faites – vous appel à des défis pour formaliser vos intentions?*
 
 
Nous pouvons être conscients de cet effet si nous prenons soin de nous y arrêter.
 
 

“Chaque fois, nous pouvons immédiatement constater une augmentation de notre estime de nous-même. Autrement dit, nous avons immédiatement une meilleure opinion de nous-même, de notre valeur. Selon les situations, ce changement prend des formes légèrement différentes : estime de nous-même, fierté, contentement, etc. Mais toujours, nous pouvons constater cet effet immédiat, dès que nous faisons un choix qui est vraiment fidèle à ce que nous sommes. “

 

Les effets se bâtissent peu à peu par l’accumulation des expériences de fidélité à nous-même.

 

MA sécurité intérieure est l’effet le plus facile à déceler et le premier à devenir tangible, mais aussi le premier à se déstabiliser, se fragiliser. Je la ressent immédiatement suite à une action qui est vraiment fidèle à moi- même. C’est le cas, par exemple, quand, pour la première fois, je m’exprime en argumentant vraiment sur un sujet qui me tiens à cœur. Chose que je ne faisais jamais avant, par peur. Cette ouverture me donne un sentiment de solidité, d’importance, d’intelligence et de capacité. Je découvre alors combien je gagne de mes actions. Combien je grandis de mes expériences.

 

Je me sent alors plus forte, mieux enracinée, en meilleur équilibre interne.

 

Quand je prends position, de manière claire et précise, je sais que je n’ai plus besoin de me cacher, de dissimuler qui je suis et ce que je souhaite faire. Je suis enfin transparente, dans le sens ou je suis moi, j’existe pour et par moi-même. Cela me rassure quant à mes choix, je sais que même si je connais de nouvelles expériences de vie difficiles je serai d’avantage en mesure de les surmonter.

 

Nous ne pouvons être dénoncé, désarçonné ou pris à contre-pied, car nous sommes solidement installé au centre de notre vérité. 
 
 
 
Par contre soyons lucide, la confiance en soi est le résultat d’un long travail, le point de fidélité qui prend le plus de temps a se consolider, à apparaître. Il va falloir être patient(e). C’est donc parce que j’ai accumulé un bon nombre d’expériences positives que je peux avoir confiance en moi. J’ai besoin d’avoir fait mes preuves, à mes propres yeux, avant d’obtenir une confiance aussi globale. Peut-être que ça vous semble difficile, presque hors d’atteinte? Pourtant, nous avons tous acquis de telles confiances au cours de notre vie. Ce n’est absolument pas impossible ou surhumain.
 
 
 Pourtant, y à des jours ou tous semble d’écrouler, ou je perds pieds, ou je doute de tout. Je remets en question les étapes, les avancées et je ne crois plus en moi. Car il m’arrive de ne plus voir et ne de voir que ce qui m’arrange. Le verre a moitié vide.
Par exemple, il suffit que je sois dans le creux de la vague et j’oublie au combien les précédentes expériences ont été bénéfiques. Qu’elles m’ont permises d’être là ou je suis aujourd’hui. Ou encore, d’écrire ce post, d’oser me dévoiler au monde.
 
Le désir d’y arriver et mon entourage, me donnent le courage de faire les efforts, de vivre les échecs et de ne pas abandonner avant d’avoir réussi. Tout ça n’est que naturel au final. Si on regarde de plus prés nos habiletés humaines, on se rend compte que notre quotidien est fait de confiance.
 
  • Prendre la voiture pour conduire
  • Prendre le metro pour voyager
  • Se servir d’un ordinateur

…. j’en passe…

 

Ça se passe de la même façon aujourd’hui, qu’est ce qui fait que j’ai un peu plus confiance chaque jour? C’est parce que j’ose passer à l’action, dans la direction de mes rêves, que je suis maintenant en confiance. Je sais non seulement que je peux y parvenir, mais je sais en plus à quels indices intérieurs je peux me fier pour identifier le moment où je suis dans mon “vrai”.

 

 Comment maintenir quotidiennement cette estime, fidélité, confiance, et cela dans tous les versants d’une vie?*