Tant Qu’on refuse de PARDONNER…

Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.

Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.

Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux. C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

J’ai coaché des milliers de personnes dans ma vie. Le pardon est un thème central de la majorité des démarches d’accompagnement. Et je n’ai JAMAIS rencontré quelqu’un qui avait regretté d’avoir pardonné.

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui ce produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot : PARDONNEZ !

Texte par Diane Gagnon

Source : http://www.dianegagnon.net/


L’ego vs Ego spirituel, quel est la différence ?

 

Aimer, c’est aimer l’autre en parvenant à discerner la personne derrière un ego parfois déplaisant, et voir alors ce dernier se dissoudre.

Et tu trouveras le trésor qui dort en toi – Laurent Gounelle

 

 

Lorsque nous cheminons dans la Vie et que nous prenons conscience de certains apprentissages que nous devons faire, nous commençons à nous ouvrir à de nouvelles manières de voir les choses, de vivre nos difficultés, de comprendre l’autre… et soi-même.

Plus nous avançons, plus nous croyons savoir des choses que d’autres n’ont pas encore comprises, du moins c’est ce que nous croyons.

Il nous est tous arrivé de rencontrer des gens qui, parce qu’ils s’intéressent au développement personnel et spirituel, semblent se croire au-dessus des autres et savoir mieux que les autres ce que chacun a besoin de faire pour évoluer. On dirait que ces personnes détiennent la vérité sur tout ! Elles ont l’impression d’avoir réussi à maîtriser leur ego mental mais elles oublient de voir que leur ego spirituel est en train de prendre toute la place !

Nous sommes tous sujets à vivre le gonflement de notre ego spirituel ! Il est tellement bon de vivre en fonction de ses valeurs et de sa propre philosophie de vie que nous croyons que tout le monde devrait faire comme nous, tant nous nous sentons mieux maintenant qu’avant de nous ouvrir à notre vie spirituelle.

Pourtant, il faut nous rappeler que l’ego aime s’immiscer dans toutes les sphères de notre vie ! Et qu’un égo, fut-il spirituel, demeure… un ego!

Sur notre chemin de croissance personnelle ou spirituelle, gardons-nous de croire que nous savons plus ou mieux que les autres car ce que chacun d’entre nous apprend, chaque leçon que la Vie lui enseigne, n’est destiné qu’à lui seul ! Chacun d’entre nous a des chemins différents, des apprentissages différents à faire, des choses différentes à comprendre. Ce qui est bon pour nous ne l’est peut-être pas pour l’autre. Et ce que l’autre trouve difficile, peut-être le trouverions nous, facile. Mais ça ne minimise pas la difficulté de l’autre. L’inverse est aussi vrai dans les deux cas.

Personne ne peut se targuer d’être meilleur qu’un autre. Nous sommes tous égaux, même si nous sommes rendus à des étapes différentes de notre développement.

L’une des principales caractéristiques du développement personnel et spirituel devrait toujours être l’humilité. Car l’humilité nous enseigne à demeurer dans l’amour, dans le non-jugement, l’authenticité, la vulnérabilité, le respect, l’accueil.

Dès que notre ego prend trop de place dans notre vie spirituelle, nous ne sommes déjà plus dans notre spiritualité ! Et ce n’est pas parce que nous tentons d’aider les autres de notre mieux que nous sommes meilleurs qu’eux. L’enseignement doit rester un geste d’amour, pas d’ego supérieur.

Quel que soit le niveau de spiritualité dans lequel nous évoluons, nous ne sommes pas à l’abri des coups durs et des leçons de la Vie. Personne n’est parfait et la Vie se charge de nous le rappeler douloureusement, surtout lorsque l’ego nous fait croire que nous sommes au-dessus de tout ça!

Poursuivons notre cheminement en restant ouverts aux autres et aux signes de la Vie quant à notre prochaine étape. Car c’est la Vie qui nous enseigne le mieux. Et elle le fait avec un ego en sommeil!

Voici un petit article que j ‘aime beaucoup, je vous le partage ainsi que son auteur !! Enjoy !!

 

:

Travail sur soi
  
L’ego spirituel

« Nous allons parler un petit peu du sujet de l’ego spirituel, mais nous y reviendrons ultérieurement. Ce sujet est vaste mais aussi important.

Les êtres humains fonctionnent à plusieurs niveaux de conscience, mais parfois ces différents niveaux de conscience peuvent fonctionner simultanément. Les humains reçoivent aussi des impulsions, souvent même des informations venant de leurs multidimensionnalités.

 

Chacun d’entre vous a de l’ego spirituel, même s’il ne s’en rend pas compte ! Petit à petit, lorsque vous aurez réellement compris qui vous êtes, ce que vous êtes, ce que vous êtes venus apporter en toute humilité, ce que vous êtes venus donner et aussi ce que vous êtes venus ancrer, vous n’aurez plus besoin de l’ego spirituel ni de l’ego tout court. L’ego spirituel est une autre énergie de l’ego, c’est le vouloir bien faire, le vouloir être reconnu, le vouloir aider les autres, le vouloir être apprécié des autres par un comportement spirituel. Ce mot vouloir n’existera bientôt plus pour chacun d’entre vous.

 

Vous devez simplement vous poser ces questions chaque fois que vous agissez :

Dans quel état d’esprit est-ce que je le fais ?

Pour qui et pourquoi ai-je ce comportement ou pour quelle raison est-ce que j’agis ainsi ?

 

Quand j’aide au travers du soin (quel qu’il soit) pour qui est-ce que je le fais ?

Lorsque vous le faites, que ce soit par Amour total, c’est-à-dire pour aider l’autre sans rien en attendre, sans en éprouver de satisfaction !

Certes, vous pouvez, dans vos comportements, avoir le plaisir du travail accompli, de la mission accomplie, mais entre ce plaisir du travail accompli et le plaisir caché, camouflé d’un ego qui montre le petit bout de son nez, il faudra apprendre à faire la différence.

 

La seule chose que nous vous demandons c’est de prendre conscience de la façon dont vous fonctionnez et de vous questionner, d’être très vigilants avec la parole. La maîtrise de la parole est une étape très importante dans votre évolution. Elle vous mène vers la sagesse.

 

Les êtres humains veulent souvent apporter aux autres, les soulager, les aider. Cela part souvent d’un très noble sentiment mais s’ils ne sont pas vigilants, ce sentiment peut se transformer en pouvoir inconscient.

 

Nous pourrions encore vous dire beaucoup de choses sur l’ego ou sur l’ego spirituel. A notre avis l’ego spirituel est beaucoup plus fourbe parce que beaucoup moins facile à détecter, à déceler, que l’ego de la vie quotidienneL’ego spirituel se pare souvent des plus belles couleurs, des plus beaux atours, c’est pour cela qu’il est plus difficile à détecter et également à transformer.

Ce qui peut vous mettre à l’abri de l’ego spirituel c’est l’Amour que vous apportez aux autres et la façon dont vous les aidez, parce que l’ego spirituel se trouve souvent dans l’aide que vous leur apportez.

 

Si dans l’aide que vous apportez aux autres vous n’êtes simplement qu’un canal très humble et plein d’Amour, il n’y aura jamais de satisfaction de l’ego !.

 

Sachez que plus vous vous rendrez compte de votre évolution, moins vous aurez envie d’en parler, moins il faudra en parler. Votre évolution spirituelle ne concerne que vous, tout comme votre évolution tout court. L’autre ne peut pas comprendre ce que vous êtes vraiment pour la bonne raison que vous avez vous-mêmes des difficultés à vous comprendre, à vous cerner, mais petit à petit les portes de votre conscience humaine s’ouvriront les unes après les sur la conscience spirituelle.

 

Beaucoup de choses se transformeront en chacun d’entre vous, que vous ne comprendrez pas tout de suite, que vous n’intègrerez pas non plus immédiatement. Petit à petit les voiles tomberont et c’est à ce moment-là qu’il faudra être le plus vigilant avec vous-mêmes pour ne pas tomber dans l’ego spirituel.

Parfois, même si vous ne l’entendez pas, votre ego vous dit : « tu vois, tu as un tout petit peu plus de capacités que ton voisin, tu as les capacités d’aider, de soigner, de bien parler, de bien écrire, de réconforter, tu es plus élevé que ton voisin ! »

 

Si ces pensées vous effleurent, il faudra les éclairer par votre Amour et les refuser le plus vite possible. Tout ce que vous faites, le moindre acte de votre vie doit être fait avec humilité, avec reconnaissance, avec sagesse, avec Amour, avec gratitude.

 

Pour vous faciliter la tâche, lorsque vous aidez, offrez également cette aide à l’Univers ! Quelle que soit la façon dont vous soignez, faites votre soin pour la personne qui est venue (le mot soin d’ailleurs est tout à fait incorrect mais nous continuons à l’employer par facilité), faites ce que vous avez à faire avec tout votre Amour et offrez tout cela à l’Univers.

 

Tout ce que vous donnez aux personnes qui viennent vers vous, donnez-le également à l’Univers . Quand vous faites un acte de don, un acte de projection d’énergie d’amour, ayez simplement cette pensée : tout ce que je donne à telle personne, tout ce que je lui offre pour l’aider, je le donne et je l’offre aussi à l’Univers car sans la Source, je ne suis rien, sans l’énergie Universelle, sans cette immense énergie d’Amour qui est autour de moi, je ne suis rien. Donc, en offrant également tout cela à l’Univers, je le reconnais.

 

Voilà un peu une façon d’offrir à l’Univers.

 

Pour en terminer avec ce sujet, il est toutefois très important que vous aidiez les êtres qui en ont besoin, que vous leur donniez, redonniez la confiance, le courage de continuer leur route et, qu’autant que vous le puissiez le faire, vous les soulagiez de leurs souffrances physiques ou morales.

 

Chaque fois que vous faites un tel acte, reliez-vous à l’Univers, à la Source ou à la mère Divine pour que vous ayez bien en conscience que ce n’est pas vous l’acteur, que vous êtes le transmetteur mais cependant qu’au-dedans de vous la partie Divine qui illumine entre en grande activité.

 

Voilà ce que nous voulions dire sur ce sujet. Bien évidemment il est beaucoup plus vaste et demanderait un développement beaucoup plus important mais nous avons fait un petit tour dans le développement de ce sujet.

 

 

Sources1*

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :
  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre sitehttp://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Voir sur un autre de ses blogs :
http://pensees.positives.over-blog.com/2014/11/votre-ego-vous-pousse-t-il-a-l-autodestruction-et-plus.html
Sources *

Diane Gagnon

Mon livre, « Apprendre à s’aimer, un jour à la fois », est disponible ici. Aussi Disponible sur Amazon (Europe)Amazon (Canada)iTunesKoboGoogle Play,.

Mon deuxième livre, « À MOI DE MOI, 101 cadeaux à se faire avec amour pour développer l’estime de soi » est disponible sur Amazon et iTunes!!

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L’effet miroir de l’ombre

 

“Le tarot révèle alors son effet miroir de l’ombre, des mémoires pénibles du passé.”

PdC

 

Jusqu’où j’ai changé? Jusqu’où j’ai évolué. Puis – je aller encore plus loin?*

 

 

Quand le besoin d’être reconnu et bien vu est plus fort, on est sur le non respect de son territoire, l’incapacité de dire non, on est très éloigné de sa lumière intérieure. C’est aller chercher à l’extérieur tout ce que nous trouverions à l’intérieur de nous. Si nous nous donnions la peine de nous plonger en nous.

Cette colère intérieure à dire oui alors qu’on sait que c’est à l’encontre du bon en Soi. On deviens colère citrique, médisance à plus ou moins grande intensité. L’ombre.

J’aime l’ombre, car je suis à la fois, Ombre et lumière. La lumière existe à elle seule, mais sans elle, il n’y aurait pas d’ombre. Alors je me suis souvent demandée ce qu’était, ou en tout cas ce que représente la part d’ombre en chacun de nous. J’aime croire qu’il s’agit du caché, de l’enfouit, de ce que l’on ne souhaite pas voir faire surface, des côtés qui sont notre personnalité, notre ego…mais qui ne sont que le(s) masque(s) poser sur notre visage tel un mécanisme de défense face à l’autre qui nous fait souffrir.

La communication en Soi avec Soi est biaisée. Donc, le discernement, la réflexion, ne sont pas simple.

 

Comment s’exprime alors ce refoulé : Par la Colère

«Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime. Tout ce qui est imprimé cherche à s’exprimer»

As-tu l’impression de bloquer ta colère?*

“Durant  ces  5  mois,  je  me  suis  retrouvée  face  à  moi-même.    Je  me  suis  perdue,  tant  de  fois,  pour  mieux  me  trouver  encore.  J’ai  découvert  une  force,  un  certain  pouvoir  en  moi.  Je  me  suis  affirmée  et  j’ai  trouvé  une  confiance  en  moi  que  je  ne  soupçonnais  pas.*  Aujourd’hui  j’ai  ce  besoin  de  me  faire  entendre,  de  poser  des  limites  et  de  parler  pour  moi,  en  moi.  Je  pense  surmonter  progressivement  mes  peurs,  oui  j’ai  appris  à  être  plus  présente,  moins  impatiente  et  apprendre  pas  à  pas  de  mes  expériences.  Je  suis  parfois  rigide  et  figée  sur  des  petits  détails  qui  m’ont  blessés.  Je  pense  que  le  cœur  serré,  je  cherche  encore  à  l’ouvrir  pour  plus  d’émotions,  m’ouvrir  d’avantage.  Je  suis  en  équilibre  et  stable  aujourd’hui.  Mes  choix  sont  faits.  Ils  se  sont  imposés  à  moi  avec  violence,  mais  dans  le  respect  de  mon  cœur,  comme  une  évidence. 

Il  y  a  beaucoup  de  choses  pour  lesquelles  je  me  suis  trompée.  Je  suis  changée,  et  je  suis  fière  de  mon  chemin. 

Cependant,  je  dois  prendre  le  temps  d’être  prête  et  laisser  le  puzzle  se  mettre  en  place  au  rythme  qui  doit  être  et  pas  que  j’impose  au  monde.  J’ai  éclairé  trop  fort,  trop  vite,  j’ai  été  aveuglé  à  mon  tour.  Pour  autant  aujourd’hui  mon  cœur  c’est  exprimé  pleinement  et  à  prit  pleinement  position  à  travers   mes  choix.  C’est  assez  paradoxal. 

J’ai  ce  besoin  de  trancher  au  cœur  de  cette  confusion,  celle  dans  laquelle  la vie  m’a  transporté.  Même  cela m’est  confus.  Ce  que  je  sais, est  que  je  n’ai  pas  besoin  “d’autre”  que  moi-même,  mais cette présence,  dans  ma  vie,  est  un  élément primordial.  Et  bien  d’autres  choses  aussi…

J’ai  ce  besoin  ardent  de  partager  mes  sentiments les yeux grands ouverts.  Je  ne  cherche  pas  à  contrôler,  je  souhaite  être  honnête  sur  mes  impressions  et  je  suis  déterminée. J’ accepte les  éléments  qui  composent  ma  vie.  J’ai  besoin  d’échanges,  de  tendresse,  d’un  renouveau,  sans  être  enflammée,  mais  dans  ce  qui  est  en  mon  cœur,  aujourd’hui.  Un  jour  il m’a été dit:  «   quand  je  toucherais,  quand  je  verrai,  je  saurais ».  C’est  cela  que  je  veux  vivre  pour  moi.  Alors  je  le dis: “Mon coeur, veux-tu  bien,  quand  tu  seras  prêt,  m’accueillir  en confiance !?”

WL” 

 

Quand le mental est si fort, qu’il érige des barrières infranchissables pour que ton âme soit éloignée de ton corps*

Changer son point de vue sur sa relation au monde ne se fait pas dans la souffrance car est très éloigné du Soi. Changer son regard sur sa relation à Soi, voilà ce qui se fait dans la douleur ?!*

La douleur, la souffrance sont des choix, pour lesquels je n’opte pas. Etre moi, avec moi, cela ne se vis pas dans la douleur, mais dans l’amour.

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“Confiance et estime de soi sont la clé de cette belle aventure”

 

Au nom de la Lune !

 

 

Qu’est – elle?

Depuis des milliards d’années, la Lune est la fidèle compagne de notre berceau, la Terre. Depuis toujours, sa présence est pour nous un réconfort. Elle a permis à beaucoup d’hommes de se repérer la nuit. C’est un astre si proche de nous que 12 hommes y ont déjà posé le pied !

Sans la Lune, il est probable que la vie telle que nous la connaissons n’ait jamais pu voir le jour sur Terre. Malgré le fait que la Lune ne soit que notre satellite naturel, son influence sur notre planète est immense.

C’est elle qui organise le va-et-vient incessant des marées, grâce à sa force gravitationnelle. C’est sa force qui maintient la Terre sur son axe légèrement penché, permettant l’existence des saisons. Sans la Lune, notre Terre serait un monde déchaîné par les vents violents et les cataclysmes, et seule une forme de vie primitive serait capable de résister à un tel climat. Au delà de toutes considérations scientifiques, elle est en fait un objet céleste exceptionnel.

De plus aucune théorie scientifique actuelle ne propose des éléments autres que toutes ces incohérences que nous pouvons lire, et aucune ne prouve réellement comment la Lune s’est formée.

Au cours des décennies il y a eu beaucoup de rapports scientifiques pour et contre l’effet de la Lune sur le comportement de l’homme. Celles ci, on fait naître des textes, qui montrent une activité de l’esprit plus émergeante, différente.  Certains rapport signale, que statistiquement il y a une augmentation des visites des services d’urgences générale ou psychiatrique et des personnes se plaignant de détresses physiques et mentales.

La fondation de recherche de la science de la Spiritualité (SSRF) a examiné les effets de la Lune sur le comportement humain en utilisant des recherches spirituelles méthodologiques:

“La recherche spirituelle que nous avons menée pour déterminer l’effet de la lune sur le comportement humain résulte d’une réponse courte, oui, il y a des effets sous différents aspects de comment la Lune affecte notre vie.”

 

Fonction de l'espirt d' une personne- l' effet de la lune sur l'esprit de l'homme

Les fréquences de la Lune sont un peu plus subtiles (intangibles) que les fréquences subtiles de nos pensées mais sont moins subtiles que les fréquences des impressions dans notre esprit. Les fréquences de la Lune  ont la capacité de pousser à faire surface les fréquences de pensées des impressions qui sont dans notre subconscient au conscient. Une fois qu’elles arrivent au conscient on prend conscience de ces pensées. Ainsi on est influencé par rapport aux impressions qui sont prédominantes dans notre esprit. 

 

 

Symbolisme de la Lune

La Lune est en premier lieu la lumière de la nuit dans le ciel. Elle illumine la terre les nuits de pleine lune et replonge cette dernière dans le mystère de l’obscurité jusqu’à la nouvelle Lune. Ce phénomène de constante apparition, croissance et disparition de la lune symbolise la vie, la mort, puis la renaissance avec l’apparition de la nouvelle Lune. Les peuples anciens mesuraient d’ailleurs le temps grâce au cycle régulier de la lune plutôt qu’a celui du soleil.

 

La Lune est associée aux déesses et au principe féminin dans la plupart des cultures, même si elle est peut être associée au principe masculin dans certaines d’entre elles, comme dans le panthéon nordique pré-chrétien et dans l’Egypte ancienne. En effet, Thoth était le dieu de la lune avant que les hellénistes ne l’ait assimilé à Mercure. 
La diversité des déesses lunaires dans les cultures conquises par les Grecs et les Romains est attestée par le grand nombre de divinités de la lune présentes dans leur mythologie.

La plus ancienne déesse grecque est Selene, dont les deux filles ont été engendrées par Zeus. Selene a finalement été supplantée par Artémis (Diana latine, Luna), soeur jumelle d’Apollon. Artémis était la déesse vierge de la chasse et des animaux. Elle parcourait les forêts accompagnée d’une biche (cf. “Signification des symboles : le cerfs et la biche”). Tous les hommes qui lui manquaient de respect étaient sévèrement punis et souvent tués. Artémis était également l’un des protectrices de la maternité et de l’accouchement, la transformation progressive du corps féminin pendant la grossesse étant symbolisée par le croissant de lune et la pleine lune.

Les Grecs ont également affecté différentes déesses aux différentes phases lunaires. En tant que vierge chasseuse indépendante, Artemis symbolisait généralement la Lune croissante. La matrone, aspect fertile de la pleine lune estsymbolisée par Héra (Junon latine), épouse de Zeus et protectrice de la maison et de la famille.
Hécate était la déesse de la lune décroissante et symbolisait la vieillesse dans la vie de la femme. Elle est un exemple de déesse qui fut puissante et vénérée et qui a été par la suite subsituée au profit de croyances orientées masculin. L’homologue de Hécate, la déesse égyptienne Hekit, présidait l’accouchement, notamment la naissance de l’enfant dieu-soleil chaque matin. 

 

 

Les Phases lunaires

La Lunaison (ou période synodique) correspond aux 29,5 jours que la Lune met pour accomplir une révolution complète. Lors de ce cycle, on a l’impression que la Lune change d’apparence.
  • Lorsque la Lune est placée entre le soleil et la Terre, on ne la voit plus, il s’agit de la nouvelle lune.
  • Lorsqu’elle se déplace sur son orbite, on commence à en voir une partie qui s’illumine progressivement. C’est le croissant de Lune.
  • Alors qu’elle continue sur son orbite, on finit par voir toute une moitié éclairée. Il s’agit du premier quartier.
  • Lorsque la Lune se situe à l’opposé du soleil par rapport à nous, il s’agit de la pleine Lune. Toute sa face est visible, car éclairée par le soleil.
  • La Lune continue alors sa révolution orbitale et recommence à s’assombrir progressivement, jusqu’à ce qu’elle soit invisible de moitié, c’est le dernier quartier.

Les phases lunaires

 

 

 

Les pouvoirs magiques de la lune d’après les spirituelles.com

La pleine Lune c’est le grand moment du cycle lunaire.  C’est un passage très important pour le travail intérieur – pour chercher en soi, pour guérir, pour transformer les blocages, pour se libérer du vieux dans notre vie c’est à dire d’abandonner les énergies inférieures et négatives, se débarrasser de ce que nous ne voulons plus comme la culpabilité, la peur, la déception, la jalousie qui sont contre productif pour les remplacer par du productif.

La nouvelle Lune, c’est le moment où nous semons notre intention.

C’est lâcher prise et recommencer à nouveau.

Les rituels de pleine Lune

Si vous lisez ces lignes, c’est que vous croyez à la puissance de la Lune ou du moins vous avez cette curiosité d’en savoir plus.  Je vous partage donc des informations complémentaires pour toutes celles et tous ceux qui souhaitent approfondir ses connaissances.  Elles sont tirées du livre « La Lunologie de Yasmin Boland », co-auteure de « L’Astrologie angélique » avec Doreen Virtue et de mes propres recherches sur les mystères de la Lune.

À quoi ressemble le mois lunaire ?

Plusieurs connaissent déjà 3 phases : la nouvelle Lune, le croissant et la pleine Lune.  Mais quelles sont les 5 autres phases et à quel moment arrivent-elles dans le mois ?

Les 8 phases de la Lune

Phase 1 – Nouvelle Lune – Nuit 0 – la lune est noire.  C’est la phase où nous semons les graines de ce que nous souhaitons accomplir durant le mois.  C’est le moment de nous dire que tout est possible, de songer à ce que l’on veut et non à ce que l’on ne veut pas.  C’est le moment de visualiser notre intention, notre rêve, notre projet.

Phase 2 – Le premier croissant : 4e Nuit –  la Lune est comme un croissant. Cette phase est le meilleur moment pour avoir la foi et croire en notre intention, notre rêve et de commencer les étapes pour y arriver.  Les peurs apparaissent et nous devons les voir comme des apprentissages et des enseignements.

Phase 3 – Le premier quartier de Lune : 7e Nuit – demi-Lune.  Cette phase nous demande de nous engager dès maintenant.  L’ego se pointe à cette phase et essaye de nous persuader que nous n’avons pas ce qu’il faut pour réaliser notre rêve.  C’est donc une phase pour faire le vide et laisser-aller toutes les peurs avec souplesse sans rigidité.

Phase 4 – La phase gibbeuse croissante : 11e Nuit – la Lune est au 3 quart pleine éclairée.  C’est le moment de s’assurer qu’on garde le cap, qu’on se souvienne qu’il ne faut jamais abandonner.  Ne laissons jamais notre ego gâcher nos plans et Dieu sait qu’il essayera.  Profitons de ce moment pour ajuster, affiner, rectifier notre intention ou notre rêve pour qu’il soit parfaitement comme on le souhaite.  On peut même se permettre de le changer un peu et même d’en lancer de nouveaux… car nous sommes sous l’influence de la Lune gibbeuse qui veut dire gonflée, gonflée de plein de potentiel.

Phase 5 – La pleine Lune : 15e Nuit – la Lune est complètement éclairée.  C’est la phase des résultats, du pardon et de la gratitude.  La pleine Lune c’est le grand moment de la phase lunaire, car c’est la phase où les vœux, les intentions, les rêves se matérialisent et/ou la phase où nous recevons des signes qu’ils se matérialiseront.  C’est la phase du point culminant où l’on doit pardonner à tous et à soi pour se désintoxifier.  Plus on se dégage, mieux on peut aller vers nos rêves. La pleine lune est la phase du lâcher-prise pour passer à autre chose.

Phase 6 – La phase gibbeuse décroissante : 18e Nuit – 3 quart pleine éclairée.   C’est le moment de r-e-s-p-i-r-e-r.  C’est le temps de se détendre et de laisser la pleine Lune faire son travail des derniers jours.  Il faut avoir la foi et donc cette phase invite à augmenter sa foi.  Si notre rêve ne se réalise pas, nous devons dire merci à la pleine Lune qui voit plus loin que nous.  Elle sait pourquoi ce n’est pas le bon moment.

Phase 7 – Le dernier quartier de Lune : 22e Nuit – demi-Lune.  C’est la phase de réévaluation et d’équilibre.  C’est le point médian entre la pleine Lune et la nouvelle Lune.  Il y a une tension durant cette période parce que c’est dans le milieu du soleil égotiste et la Lune émotionnelle. C’est le moment de nous donner une poussée dans le dos et de nous dire :  let’s go, tu es dans un tournant, prends une décision et ce sera la meilleure.

Phase 8 – Le dernier croissant – ou la Lune balsamique – 26e Nuit– la Lune ressemble à un croissant.  C’est la phase de guérison, de soulagement, d’abandon.  Balsamique vient du mot baume qui signifie guérir et soulager.  C’est le moment de croire que l’âme voit et sait pour nous.  C’est un grand moment pour laisser aller ce qui ne fonctionne pas comme des relations en qui vous ne trouvez plus la joie.  C’est un moment de relâchement.

Et pour terminer je vous dirais que La pleine Lune est aussi appelée « La reine des émotions » alors si parfois vos émotions vous semblent différentes, dites-vous que la Lune commence peut-être à avoir une grande influence sur vous !

 

 

La Lune dans le Tarot

(bey oui, je n’allais pas oublier quand même) 

 

Kim Krans

 

Kim Krans est non seulement illustratrice, mais aussi musicienne. Elle est l’artiste qui a créé The Wild Unknown, mon jeu fétiche !!!! Coup de foudre, quoi.

Dans son jeu, la Lune Nous rappelle que la conscience est vaste et profonde. Certaines parties de notre conscience se sentent en sécurité et confortables – d’autres parties se sentent mystérieuses et effrayantes. La Lune parle de toutes les manières dont l’immensité de notre inconscient peut se manifester: les rêves, les fantasmes, les visions, les illusions, les angoisses et les instincts.

Cela peut être décourageant d’explorer les vastes chambres de notre conscience. Il y a certains aspects de nous-même que vous pourriez être terrifiés à affronter, nous conduisant à les nier et à les réprimer. La Lune nous rappelle que lorsque nous refusons d’intégrer ces énergies, les énergies peuvent être destructrices. Mais quand nous sommes prêt à entrer doucement dans la lueur de la Lune, nous pouvons intégrer ces énergies inconscientes dans notre conscience consciente.

J’aime regarder cette carte, je m’imagine assise au bord du Lac, je contemple la forêt en fond de paysage et, perché au sommet des arbres, cette Lune, l’ombre illuminant la lumière, comme un éclairage dans les profondeurs de l’eau paisible d’un lac attristé.

Quand je vois la Lune, je sais que je suis actuellement en train de faire l’expérience de la perplexité. Mon imagination est l’outil le plus puissant que j’ai et quand il est utilisé avec révérence, et modération, il est une mine d’or à l’expression de mon être. Cependant, si je m’y plonge trop profondément, je me retrouve perdu dans la confusion obscure de mon esprit inconscient. Il peut être si sain de faire de la place pour le spirituel et l’anormal dans notre vie. Mais il est également important de nous assurer de ne pas perdre complètement notre orientation, les pieds sur terre, car c’est ici que nous vivons, sur terre, bien enraciné dans la matière.

 

 

Cherchez des façons de laisser vagabonder votre imagination tout en conservant votre lien avec quelque chose de solide.

 

C’est ce que m’a appris mon inspiratrice, Carrie Mallon* a qui je dois comme a tous, la traduction et l’interprétation pointu de mon jeu de tarot. Un apprentissage au quotidien.

 

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Sources*

http://www.care2.com/greenliving/moon-as-symbol-of-women.html
http://www.europe1.fr/societe/la-lune-tout-un-symbole-42450
http://www.umich.edu/~umfandsf/symbolismproject/symbolism.html/M/moon.html
http://wiki.astro.com/astrowiki/en/Moon
http://www.horoscope.fr/news/la-lune-symbole-feminin-par-excellent-250
https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Lune
http://aucoeurdesanges.over-blog.com/page-4226267.html
http://crystallia.unblog.fr/les-phases-de-la-lune-dun-point-de-vue-energetique/
https://www.espritsciencemetaphysiques.com/phase-lunaire-moment-naissance.
https://escapingstars.wordpress.com/blog/

Faire face à sa part d’Ombre : l’Ego dans la nuit noire de l’âme.

“Cette séparation avec les autres induit un mode de vie basé sur la satisfaction de ses intérêts personnels. La vie devient un champ de bataille où chacun apprend à se débrouiller seul

 Satish Kumar

J’ai du exprimer l’Ego en bien des articles précédemment écrits. C’est en ce jour que je ressens le besoin de l’aborder, surement parce que jusqu’à aujourd’hui mes recherches n’étaient pas aboutis et à ce stade, j’ai fait de telles découvertes que je pense le moment venu. Rien ne m’empechera de me repositionner au gré de mes nouvelles découvertes, celles à venir.

Je vais reprendre la définition de l’ego, de manière simplifié, puis je reviendrais sur son aspect multidimensionnel en fonction des schémas de l’être.

 L’Ego ?

Il désigne généralement la représentation et la conscience que l’on a de soi. Il est tantôt considéré comme le soutien de la personnalité OU comme une entrave à notre développement spirituel. L’ego serait l’équivalent Psychologique de la conscience au sens philosophique. Il vient du latin “je”, le sujet en somme. L’unité transcendantale du Moi. Le mot ego désigne en Psychanalyse la part de la personnalité chargée d’équilibrer les différentes forces auxquelles est confronté le psychisme de l’individu. Ces forces incluent ses pulsions profondes, sa morale personnelle (comprise dans le surmoi) et la réalité du monde extérieur tel qu’il le perçoit .

 La fonction de l’Ego ?

C’est un processus dynamique qui, dans son fonctionnement, produit le sentiment d’individualité. Je lis énormément sur la Psychologie et notamment depuis quelque temps sur la spiritualité. Souvent on présente l’ego comme l’ennemie publique, celui qu’il faut abattre. pourtant il est impossible de s’en débarrasser, a moins d’être mort. Déjà parce qu’il fait partie intégrante de nous, puis parce qu’il est impalpable, illusion. Malgré tout cela, l’ EGO est utile, il est notre personnage mais aussi les blessures que ce personnage s’impose à lui même et impose aux autres. Nous sommes notre pire ennemie.

L’ego a une appétence fondamentale : un désir d’existence et de plaisir, qui se traduit en pulsions de possession, de rejet et d’indifférence. Ce fonctionnement se manifeste ainsi par des attitudes passionnelles d’attraction, de répulsion ou d’indifférence, développées face aux personnes, aux choses, ou aux situations auxquelles l’ego est confronté : “je” veux ce qui est bon, ” je” ne veux pas ce qui est mauvais, “je” ne veut pas être exposé à ce qui m’est indifférent. Ces appétits de l’ego le font s’engager dans toutes sortes de lutte pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est désagréable.
Malheureusement et paradoxalement, au lieu d’aboutir à ses fins, sa lutte lui crée des désagréments, conditionnements et souffrances ! Ce fonctionnement de l’ego est notre conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance.

“L’ego est notre fonctionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance. Le comprendre, c’est la clé d’une approche spirituelle !”
                                                                                                                                   Lama Denys Teundroup

Fondamentalement , l’ego n’est rien qu’une impression : ce sentiment que l’on a “d’être” et “d’avoir” un ego ne repose sur rien, c’est simplement une illusion. L”ego n’est pas “quelque chose” qui aurait une existence indépendante et autonome. C’est pourquoi l’ego est dit “vide d’existence propre” : cette impression n’existe que dans la combinaison des facteurs interdépendants qui la constituent. Une fois que l’illusion de l’ego est apprécié de chacun, les peurs ne sont plus, et c’est alors que l’on peut prendre en considération avec justesse que l’ego n’est pas  réel et donc de fait non mesurable. Il sera alors possible d’ouvrir son esprit et prendre en considération son aspect multidimensionnel.

 L’Ego multidimensionnel !

Il s’agit là d’un sujet extrêmement délicat puisqu’il demande à l’humain endoctriné dans ses croyances limitées, d’ouvrir sa conscience a des concepts inédits qui ont longtemps été cachés à l’humanité. Je ne cache pas que jusqu’à peu, je n’avais pas ouvert les yeux sur cet aspect.

Dans les croyances de 3ème dimension, l’ego exprime la personnalité de l’individu, qui a compilé toutes les leçons de ses expériences vécues depuis sa plus tendre enfance. Les psychiatres et psychologues savent très bien que la personnalité d’un individu se construit à ce moment-là. Cependant ce que la plupart des gens n’ont pas encore compris, c’est que les expériences vécues depuis cette enfance, ne sont que la juxtaposition de certains événements douloureux non résolus, provenant des « incarnations passées » de l’Âme.

L’ego doit être compris sous plusieurs niveaux, aucun n’est “mieux” ou encore “plus valable” que les autres mais tous sont à mettre en lien en fonction du profil de personnalité de chacun.

Tous détenons notre expérience, depuis l’enfance, donc chacun a un savoir, sa vérité, dont l’Ego a identifié des souffrances et mis en place un process, un schéma correspondant.

L’objectif serait que toutes personnes puisse passer par cette étape pour atteindre la 4 eme conscience, spirituelle, pour explorer, découvrir, éclairé qu’est ce que nous sommes. La nature même de notre âme. Une révélation qui n’est accessible cependant qu’à certains, quand ils sont face a eux mêmes. L’effet miroir.

Ce qui serait intéressant serai d’aborder l’Ego d’un point de vue énergétique, et de le mettre en lien avec les 4 niveaux de consciences, ce que je ferai dans un autre, ou plusieurs autres articles.

Comme je l’ai déjà dit plus haut, l’ego est nécessaire à l’élaboration d’un Moi, d’une identité, d’une personnalité. La construction d’un état d’être qui n’est en réalité l’illusion est construction de souffrances.

Cependant en fonction de nos souffrances d’enfances, et au – delà, dans le principe spirituel de la probabilité de karma d’âme, venue de vie antérieures, l’Ego est dysfonction par nécessité.

Celui ci se présente sous deux dimensions : L’ego égotique et l’ego en berne ou encore “ego inversé”. je vais revenir sur ces deux dimensions une après l’autre. Dans mes lectures j’ai pu constater que certains, parlent d’ego surdimensionné ou ego en berne (qui va comprendre tout les ego avec manque d’estime de soi) je ne suis pas tout à fait en accord avec cette conception, donc moi et mon ego, égotique, bey on va rester sur ma vérité ! celle qui me fait le plus écho.

Donc l’Ego égotique : il contrôle son environnement, sa vie et les autres. C’est un peu Moi !!! Mme maîtrise tout comme ça, pas de surprise et on voit sa vérité par sa lorgnette !!!

Puis il y a l’Ego inversé :  Il pense souvent qu’il n’est pas assez bien, pas assez à la hauteur alors il va se créer un faux self, un personnage fictif qui à pour but d’être aimé et aimable par sa sphère extérieure, et il va faire ce qu’il faut pour.

“Quand je suis au contact des autres, je suis “gris”, ainsi, en fonction de mon interlocuteur, je vais tendre vers le blanc ou le noir” – Effet caméléon sociale.

 La nuit noire de l’âme

Elle débarque quand l’Ego est au bout de son chemin solitaire, que tout seul on a fait son travail personnel et spirituel est qu’on est face au mur. Que seul on ne pourra plus avancer et que l’autre, est là pour qu’il se “détruise”.

Alors attention, j’entends une destruction des vieux schémas, pour transcender l’Ego et proposer un processus neuf, hors des souffrances de celui – ci. Comme il ne peut et ne doit pas être détruit, celui – ci sera parfois en sourdine et puis d’autre fois en face de Soi, pour une fois encore dépasser ses souffrances. Dépasser les illusions.

La vie, nous met sur notre chemin, des rencontres, des expériences, chacune a un sens profond, décidé à l’avance. C’est quand de manière individuelle nous sommes en quelque sorte, arrivé face au mur, celui ou l’on a appris tout ce que nous pouvions par nous même que la vie fait en sorte de nous mettre face à un élément qui va déclencher le dépassement de son Moi afin de parvenir au Soi.

J’imagine que cela dépend des personnes, que cela n’engage que celles qui souhaitent se trouver, plonger dans les profondeurs de la compréhension de leur Etre……tout entier.

Voila ce qu’est la nuit noire de l’âme, une étape de vie, je dirai même de non vie, qu’une personne va devoir traverser selon un schéma systémique, c’est une étape d’une grande intensité. C’est ce sentiment de tiraillement et/ou déchirement de l’âme. Une sensation, qui est en lien avec ce qui uni l’ensemble de notre fonctionnement interne.

Lorsque nous sommes dans un développement spirituel (je vous renvoie à mon article sur les différences entre personnel et spirituel dans le développement de Soi) , notre Âme cherche à tout prix  la construction concrète de la voie du milieu*. Cela se dénote par une intense souffrance qui va toucher la personne, une étape destructrice de la personnalité, de la structure comportementale de l’Ego.

En gros on a l’impression que c’est  une peine de cœur, mais en fois mille, car incomparable puisque l’on parle de la destruction de ce qui nous a permis de survivre depuis l’enfance, et au – delà. NOTRE EGO, notre Moi. et surtout que la ne se joue aucunement une relation amouro – personnel.

L’objectif ? Faire la connaissance de  notre Soi profond, en gros qui nous sommes par Essence.

*Essence: Partie de notre Être qui est pure intelligence et pur amour. Il peut donc
s’agir de notre Esprit “divin” ou de n’importe laquelle des parties plus denses de notre Etre. par exemple: l’âme divine et l’âme humaine utilisant son libre-arbitre selon la guidance qu’elle reçoit de l’âme “divine” et de l’Esprit “divin”. c’est notre croyance en quelque chose de plus grand, de moins matériel que le monde dans lequel nous vivons. En somme; l’univers, un dieu, le grand tout, ou encore la source, selon chacun.

L’essence en nous entraîne des expériences particulièrement lumineuses et heureuses puisqu’elles sont imprégnées d’amour et d’intelligence on reconnaît la présence de l’essence à la confiance, l’ouverture, la joie, l’émerveillement, la vie créative, la sensation du temps qui disparaît (dans le bonheur le temps passe et on ne le voit pas passer).

*Chemin du milieu: est une des voies à suivre pour nous reconnecter avec nous même. Une voie qui se définit comme celle qui mène à la fin de la souffrance et à l’accès vers la délivrance (défini dans le Bouddhisme comme le Nirvana). Le Chemin du Milieu est basé avant tout sur une attitude juste, adoptée au quotidien et construite sur des valeurs humaines que nous avons le plus souvent oubliées.

J’ai vécue une nuit noire de l’âme. Pour quelle raison j’en parle ici, parce que cela m’a permis de comprendre réellement le fonctionnement de l’Ego, au – delà de l’apport théorique que j’en avais retenue de mes études de Psycho et l’outillage fait pour ma pratique professionnelle. Une conception nouvelle, et une approche plus vivante puisque je l’ai expérimenté.

Cette nuit noire, m’a mise face à moi même, dont le seul but était de faire ma propre rencontre, celle de Soi, en éradiquant toutes les croyances inconscientes et monolithique de ma construction interne. Le travail de compensation est encore en cours, mais déjà les bienfaits se font ressentir.

Pour en revenir au profond intérêt de cette étapes d’âme. Il faut déjà prendre en considération que pour ce faire, il faut que l’être, en gros C. (moi mais dans le sens Soi) ait pris connaissance de processus importants, notamment de la Quadri dimension de la conscience de mon Moi (j’y reviendrai dans un autre article).

Ma nuit noire m’a insécurisé. Perte de temps, de construction, de tangible, d’avancée concrète, le contrôle contrôlant que je suis, en a été déstabilisé.

Plus j’ai été dans le contrôlant, plus les étapes ont augmenté en force, et en multiplicités. Jusqu’à ce que j’ai enfin accepté de lâcher prise (oui je sais, même en le notant j’ai toujours du mal à le concevoir celui – ci).

En gros je me suis dit: “Ce que je pensais être n’est pas, ce que je pense qui sera si je fais en fonction de mon schéma habituel, ne sera pas….etc….” L’objectif, je le comprends maintenant plus que jamais est de dépasser le voile de l’Ego et j’ai compris que je ne contrôlais rien.

J’ai perdu tous repères personnels de fonctionnement, de déduction. Dés que je pensais avoir trouvé une solution je constatais avec souffrance que cela ne marchait pas. Mes démarches, mes contrôles engageaient encore plus de besoin de temps….pour comprendre et lever ce voile.

J’ai compris que la manière dont j’abordais les choses, n’était pas la bonne pour atteindre mon Soi.

Donc j’ai cessé, j’ai avancé, laissant le passé au passé, mon vieux moi au passé.

Je peux dire aujourd’hui que j’ai eu une modification profonde de mes croyances. Celles envers moi-même et ce que j’ai compris de l’humanité et de la Psychologie de l’humain, et bien au – delà de ce que j’ai appris par le passé et estimé être “la vérité”. J’ai donc affranchi mes croyances, ce qui était bien ou mal, de manière méthodique, et à mon insu. J’ai touché le fond, par destruction de mes fondations. Tout ce qui était pour moi acquis ne l’était finalement pas. J’ai donc enfin vu les yeux grands ouverts ! et ça fait mal.

J’ai aussi compris et intégré que ma vérité, n’était pas la vérité, mais une vision de celle ci, la mienne. Et bien différente ou en tout cas pas celle de l’autre.

Finalement celle – ci à détruit toutes les conditions.

Je me suis retrouvée dépossédée de tout.

Plus j’ai été dans l’ego égotique, plus j’ai eu mal. ! Le but étant de réveiller une part de moi-même que je méconnais. L’enfant intérieur.

Celui dont j’ai déjà parlé, la petite moi, couchée en position fœtale. J’ai ainsi compris ma tache. La seule pour finir.: Libérer l’enfant pour lui redonner vie.

J’ai finalement déjà vécu cela de manière brève lorsque je me suis rencontrée il y a quelque temps, mais malheureusement l’Ego la ré-en murer tout aussi vite. Mais là c’est bon elle est dehors, libre dans son champ de fleur.

VA et VIS !

Tout cela pour dire que je n’ai pas cet interrupteur, celui-ci qui coupe les émotions et qui coupe la conscience face aux souffrances d’âme, je ne peux pas chuinter la souffrance, même si celle-ci est là. Je ne peux pas me fondre dans le déni.

 La nuit noire de l’Âme et la destruction des Egos

Quels sont les objectifs de cette étape en fonction des types d’Ego :

1/ L’Ego égotique : L’objectif est de libérer l’enfant intérieur afin qu’il vive et non plus survive. Le laisser avoir confiance en lui. S’affirmer, poser des limites, être. Profil : Faible confiance en soi.

2/ L’Ego en berne ou Ego inversé : Réveiller l’enfant intérieur, le rendre adulte, sans le détruire ou le tuer. C’est le construire par la colère, la révolte face à sa structure parentale. Faire grandir cet enfant intérieur, sans jamais le travestir, le murer (comme dans l’autre type), le museler en lui faisant la leçon (comme sil ‘adulte qui n’est autre que l’ego, avait la raison, la vérité). Arrêter de laisser les sphères extérieures avoir le dernier mot sur ce qui est bon pour Soi. Profil : Faible estime de soi.

Cette phase de destruction et reconstruction d’un Moi au profit du Soi est très ancienne, cela remonte a Égypte antique, l’objectif était et est encore d’amener les Etre à un éveil spirituel, l’éveil de la 4 eme conscience.

Sources*

http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Psychanalyse

*Enseignements de l’unicité est la clé.

*Thérapie par L’écoute des mots –  www.msahuguede-sophrologue-pibrac.com

La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 3.

 

 

Combinaison des spiritualités et de la Psychothérapie

 

 « Le monde à besoin d’un supplément d’âme»

Henri BERGSON 

 

Qu’est ce que la Psychothérapie ?

Elle désigne le traitement ou l’accompagnement par un individu formé a cela, d’une ou plusieurs personnes souffrant de problèmes psychologiques, parfois en complément d’autres types d’interventions à visés thérapeutiques.

 

Qu’elle est la différence entre Psychologie et Psychothérapie?

La psychologie est un ensemble de modèles, de théories et de cartographies sur la psyché et les désordres mentaux alors que la Psychothérapie est le moyen mis en œuvre pour soigner les pathologies psychiques et psychosomatiques.

Étymologiquement le mot psychothérapie signifie soigner la psyché c’est à dire le psychisme.

Il existe presque autant de types de psychothérapie qu’il y a d’écoles de psychologie.

 

La place de la Psychothérapie dans une démarche de soin?

Nos concepts de santé et de maladie sont marqués par notre vision du monde et notre culture. La pratique de la psychothérapie n’intervient pas dans un espace dépourvu de valeurs. Je pense qu’il est important ici, de restituer ce que l’on entend pas “Une combinaison de spiritualités”.

 

Qu’entends – je par combinaison de spiritualités?

Ce qui est proche dans les démarches spirituelles et psychothérapeutiques, c’est que chacune vise à trouver un bien-être Psychologique, mais par des voies différentes. Les démarches spirituelles proposent une combinaison de méthodes, d’outils, ou la personne vise à être une personne réalisée, une personne qui se prépare à vivre des états de plénitude, ou de révélation, d’éveil, d’évolution de conscience…

L’objectif commun à ces méthodes et aux personnes qui s’y dirigent, est de tendre à un confort Psychologique, un état ou la personne va pouvoir traverser les différentes étapes de sa vie, de manière plus sereine. Et chaque personne utilisera une méthode, propre à elle, donc différente de celles des autres.

On parle ici principalement de méthodes ! Et je ne parle que de celles que je connais et que j’ai pratiqué, testé.

 

“Il y a une évolution normale de la psychothérapie vers le spirituel et qu’elle est tellement naturelle qu’il ne faut en aucune façon forcer la voie, pousser les choses et inciter les personnes à découvrir une dimension spirituelle. D’ailleurs, toute pression va à l’encontre du spirituel. De plus c’est totalement inutile car le mouvement naturel du travail sur soi ou du développement personnel débouche, selon mon expérience, sur une dimension spirituelle.”

Jacques de PANAFIEU

 

 

 

S’envoler vers Soi, c’est rencontrer un ensemble de techniques, telles que :

La Méditation : Les principes de «pleine conscience» et d’«acceptation non évaluante» tirés de la méditation ont été repris dans une approche de «psychothérapie reposant sur la pleine conscience»

Mais encore :

Il existe un nombre impressionnant d’autres méthodes, mais je le rappelle, je ne parle ici que de celles que j’ai testé. Par exemple, dans la Psychothérapie que l’on appelle « Approche Centrée sur la Personne » le cheminement vise à permettre à la personne de devenir « une personne qui fonctionne pleinement et seule».

 

Points de vigilance?

“Quel pouvoir le thérapeute exerce-t-il pour faire passer ses propres valeurs et méthodes? Quand commence la manipulation? Mais ces questions valent pour l’ensemble de la pratique psychothérapeutique.

Il m’apparaît important que les thérapeutes et les représentants associatifs connaissent l’évolution historique de leur spiritualité et de leurs convictions (valeurs), et soient capables de la refléter dans leur expérience personnelle et leur supervision. Il est nécessaire de clarifier avec le patient s’il voit la spiritualité comme une ressource ou si elle lui est complètement étrangère. Naturellement, l’usage de chaque méthode impose une formation adéquate.”

Laurent Schachmann

 

 

 

Pourquoi combiner les deux?

La psychothérapie combinée avec les méthodes spirituelles à visées thérapeutiques, élargit de façon importante le champ des psychothérapies puisque celle – ci inclut le fait que les êtres humains sont multidimensionnels et que leur vie actuelle n’est qu’une étape, amorçant un mouvement bien plus vaste.

Effectivement, son efficacité sera remise en question par les détracteurs, mais dans les cas spécifiques de personnes réfractaires, physiquement (ou cas rebelles) aux thérapies conventionnelles, est exceptionnelle. C’est ce qui motive de plus en plus de thérapeutes à s’intéresser à cette approche qui aborde le monde de l’inconscient d’une manière beaucoup plus performante que les techniques intellectuelles ou purement psychologiques. C’est aussi parce que celle – ci fait ses preuves que de plus en plus de patient, de personne, s’y tourne.

 

 

En bref !

Imposer une conviction, quelle qu’elle soit, constitue un abus de pouvoir, tandis qu’exclure du traitement le développement spirituel de l’Homme est une erreur de traitement.

«Il est tout aussi important de distinguer psychothérapie et accompagnement spirituel que de noter leur complémentarité dans le quotidien thérapeutique. L’accès au psychique n’est pas unidimensionnel. Une aide immanente et transcendante peuvent se compléter…» (Hell, D. 2013, p. 206).

Grom (2012, S. 200) dresse le bilan suivant: «La religiosité/spiritualité peut-elle être considérée comme un facteur de guérison à la différence d’autres facteurs non spécifiques et en complément de ceux-ci? Oui, dans un environnement fini, en toute assurance et avec le spectre d’indications le plus large possible, si elle est intégrée dans une psychothérapie professionnelle éprouvée.»

 

Je suis respectueuse de la démarche que chacun entreprend dans la quête de son bien – être Psychologique, de son corps, que cela soit d’un point de vue purement médicale, ou paramédicale, d’un chemin dit de développement personnel, d’une psychothérapie, tout ceci sans les hiérarchiser.

La personne est le moteur de son accompagnement. Dans tout mouvement il y a aussi la liberté que chacun prend, de changer la nature de son engagement vers Soi. La consultation de soin, qu’elle soit une étape ponctuelle ou longue, d’entretiens dit: thérapeutiques, constitue une démarche globale et personnelle.

C’est la personne qui est en besoin de soin et d’accompagnement qui peut qualifier sa démarche et ainsi la valider en faisant appel à un professionnel compétent.
En parallèle, le professionnel de l’accompagnement est lié à la dénomination qui qualifie son champ d’intervention et la méthode qu’il à choisi d’y associée. parce qu’une méthode y est forcément associée, tout comme un courant de pensé, une croyance professionnelle et un positionnement professionnel.
Par exemple, l’engagement, le caractère de la profession de Psychothérapeute fait l’objet d’une charte professionnelle générale. Cette caractérisation est encore plus affinée selon l’école du Psychothérapeute.

 

“On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte que l’on en a qu’une.”

Confucius

 

XoXo

C.

 

 

 

Sources*

  • Doris Signer-Brandau, Psychothérapeute ASP reconnue au niveau fédéral, spécialiste en thérapie intégrative et Gestalt-thérapie depuis 1977
  • Sigmund FREUD, et son travail sur l’inconscient et les rêves.
  • Boris Cyrulnik et son oeuvre, Psychothérapie de Dieu,

wiki/Psychothérapie / http://www.psychologie-spirituelle.com/

  • Jacques de PANAFIEU psychothérapeute :

Bibliographie :
– « La rebirth-thérapie » ( éditions Retz )
– « Les séminaires intensifs » et la « clarification » (Editions Bernet-Danilo, collection Essentialis.)

  • Carl Gustave JUNG (1875-1961) Psychiatre et Psychanalyste suisse, fondateur à partir de 1913, de la Psychologie.
  • Roberto ASSAGLIOLI (1888-1974), Neuro-psychiatre et psychanalyste italien, créateur, à partir de 1926, de la Psychosynthèse.
  • Viktor FRANCK (1905-1997), Neuro-psychiatre autrichien, inventeur de la Logothérapie (du grec logos qui signifie : Esprit et Sens signifiant)

 

La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 2.

 

Quel est la différence entre le développement personnel et l’éveil personnel?*

 

 Le développement personnel – Qu’est – ce?

Je me demande souvent son sens actuel, car il est partout, et je me questionne…Forcément, si il devient si populaire, par voie de conséquence, ne perd il pas de sons essence, sens premier?…Je me suis dit que j’allais répondre a mon questionnement.

Il s’agit pour moi, d’une démarche de changement dans laquelle je prends le risque de me rencontrer, en vue de me remettre en cause, me comprendre et comprendre le sens de toutes choses afin de dynamiser autrement mes façons d’être, mes modes de pensées, mes croyances, mes certitudes et mes comportements au quotidien.

Le développement personnel se divise en approches multiformes dans lesquelles on va rencontrer sa vie psychique, sa vie mentale, son corps, sa part de spirituel et de transcendantal. Ce “programme” très ambitieux, nécessite d’ accepter aussi le risque d’ouvrir des portes derrières lesquelles se cachent de vieux schémas, de vieilles blessures et cicatrices pansées ou non.

Un gros risque en somme….

Les outils du développement personnel sont aujourd’hui très nombreux, parfois trop. Ils portent des noms qui renvoient à des chercheurs, des Psychologues ou encore des Psychothérapeutes …. Des professionnels tels que : Carl Rogers et son approche centrée sur la personne, Fritz Perls et la gestalt-thérapie, Stanislav Grof fondateur de la respiration holotropique,  Abraham Maslow cofondateur de la psychologie humaniste, Alfonso Caycedo et la sophrologie, Eric Berne et l’analyse transactionnelle dont sa distinction de trois « états du moi », C.G Jung et son approche de l’Âme et la vie, Martin Seligman et son approche de la psychologie positive….

J’aime aussi aborder le DP du point de vu de l’enfance, alors je m’inspire beaucoup de Françoise Dolto, pionnière avec la liberté qu’elle avait pour mettre en mots l’indicible et son intuition exceptionnelle dans l’écoute des enfants tout comme Maria Montessori qui accompagna les enfants en tenant compte de leur créativité. Mais aussi Isabelle Filliozat, qui me permet de prendre du recul et de changer de point de vu dans une approche plus centrée sur l’éducation positive (*dont je ferai surement un billet au détour d’un besoin)

 

 

« Lorsque nous ne sommes plus en mesure de changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer. »

Viktor Frankl

 

Se lancer dans un développement personnel c’est parler d’ouverture au changement, de mouvement de réalignement du corps, de l’âme et du cœur. Alors ce choix va favoriser un regard de l’autre, un jugement, un rejet, une critique car nombreux sont ceux qui ont peur, de se découvrir et leur réaction très humaine n’est que le reflet de leur propres blessures et immobilisme.

Le développement personnel peut être considéré comme un chemin. Chemin qui aide l’individu à se reconnaître extérieurement en tant que personne à part entière et à reprendre sa place tant intérieurement que dans la société ; cependant, il n’est pas nécessairement profond.

Soyons compatissant.

 

Toute démarche de développement personnel est une épreuve à risques. Ce peut être encore une démarche labyrinthique, anxiogène par les bouleversements qu’éventuellement elle entraîne : nouveaux choix de vie professionnelle, remise en cause des engagements affectifs ou amoureux…

 

Il est donc une méthode, des exercices, un enseignement et un lot d’apprentissage menant soit à une meilleure connaissance de soi et à un équilibre moins fragile de son interieur avec l’extérieur. Soit à l’éveil spirituel, c’est a dire l’intention d’évoluer vers soi qui se fait obligatoirement par un dépouillement important et épuisant (croyances, conditionnements, blessures…).

Le développement personnel (du personæ ego) peut être considéré comme le remplissage par des connaissances, des techniques, alors que l’éveil est selon moi plus un retour vers le Cœur de soi, son cœur, son centre.

Pour autant, le Cœur ne se découvre que dans la nudité. Apprendre donc à faire de la place en soi est nécessaire. Et là, se joue un travail de transmutation profonde, qui engage l’être dans une quête de soi, à vie, à sa rencontre en traversant des étapes qui sont plus ou moins dur.

 

“Du chaos naît une étoile”

 

 L’éveil personnel – Qu’est – ce?

Il s’agit de l’aspect profond du travail sur soi, il est directement lié et connecté avec son interieur. 

 

Ce travail se fait généralement en second partie de l’évolution d’un individu. C’est à dire, une fois que le travail extérieur, l’aspect forme a été accomplis et totalement intégrés par l’âme. La réussite d’une vie spirituelle entière et complète dépendra de l’assimilation de la vie extérieure, de son intégration totale et complète.

 

Contrairement au développement personnel qui attache un rapport entre travail de soi et extérieur en traitant les problématique tel que la famille, la société et le travail, directement en rapport avec l’individu et sa place dans le monde. L’éveil personnel, ou développement spirituel ou encore éveil spirituel, concerne tout le contraire, c’est à dire que le travail est tourné vers son Soi “sacré”. Un soi au delà de l’individu, un soi supérieur, vers l’âme et l’esprit.

Pour s’engager vers cette rencontre, il faut faire la part belle à l’âme et l’esprit en lien avec le corps comme un système complet et complexe dont chaque élément est intiment lié aux autres pour que l’être, l’individu, soi, trouve sa place dans ce monde dual.

 

 

« La vie heureuse, est celle qui est en accord avec sa propre nature. »

Sénèque

 

Ici, il est question d’élévation de la matière. Dans le développement personnel, il est plutôt question de sublimation de la matière. La matière étant ici, NOUS ! mais pouvant être aussi…AUTRE.

C’est de toute façon le seul chemin possible, car quiconque n’a pas terminé, assimilé, intégré la vie dans la matière, ne peut pas réussir sur le chemin spirituel. Il vivra des expériences en boucles, avec cette sensations de vivre de nouveau les même étapes, de revenir en arrière car il n’aura pas appris la leçon.

C’est pour cette raison que la vie matérielle est tout aussi importante que la vie spirituelle. Tel le yin et le yang il est question d’un équilibre des forces, d’un équilibre entre vie interne en soi, et vie interne avec la vie externe. Entre monde terrestre et céleste.

Un large spectre de chercheurs ont d’ailleurs élaborés des théories sur le sujet ( je mettrais des liens en source*). Au travers de la physique quantique et de la connaissance des systèmes, on élargie son point de vu à la connaissance globale du TOUT.

On est sur une élaboration importante entre:” Maîtriser son ego et se tourner vers l’âme”. Mais encore faut il (re)connaitre la notion d’âme et l’accepter afin d’y accéder.

Un travail vers soi qui nécessite de lâcher sa personnalité, conditionnée pour découvrir son essence. Cela passe par des états tel que :

Le lâcher prise

La confiance en notre essence, notre nous véritable

Le décloisonnement,

Le tombé de barrière et l’acceptation de ses peurs.

 

Cependant elle n’est là, qu’une liste exhaustive.

 

C’est une rééducation qui demande de mettre en œuvre certaines qualités et d’adopter certaines attitudes, tel que :

Sincérité et simplicité

Détermination et patience

Cesser d’accuser et de critiquer les autres

Conscience et responsabilité

Se regarder avec tendresse

Rire de soi-même

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

L’attitude spirituelle commence, par exemple, lorsque nous cessons d’accuser les autres de nos malheurs, que nous comprenons que nous sommes seul, seul porteur de notre bonheur et malheur, que nous ne devons rien attendre des autres, que nous sommes notre propre sauveur et que nous sommes notre priorité :

Il est des situations qui sont bien plus difficiles que d’autres pour porter attention à soi et à son Être intérieur, pour lesquelles notre personnalité s’impose. C’est par exemple quand nous nous sentons agressés ou spoliés par d’autres personnes et que nous sommes totalement accaparés par notre émotion. C’est une épreuve très intéressante, car elle nous permet d’aller plus loin dans notre évolution. Le travail consiste à percevoir ce qui est touché en nous et ce que cela révèle de nous. Nous découvrons généralement une vieille blessure, une peur de manquer d’amour, d’être rejeté, etc. Autrement dit, même si l’agression est réelle et doit être traitée concrètement (non en réaction, mais en construisant le meilleur pour nous-mêmes), il est encore bien plus intéressant de voir le message qu’elle nous invite à considérer. Il est une manifestation de l’être intérieur. Les situations auxquelles nous sommes confrontés sont le reflet de quelque chose de nous.

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

Nous appelons cela, les vibrations, basses (négatives) ou hautes (positives) – Sachant que les basses vibrations émises pas notre propre “nous” sont le jeu de l’ego et que les hautes vibrations sont notamment le fait de se détacher et de ne plus chercher à alimenter le négatif environnant.*

Que se soit l’une ou l’autre, se sont des démarches que j’ai entamées, qui sont dures, éprouvantes, déstabilisantes mais une telle rencontre avec soi. Un bouleversement important mais magique, une rencontre d’amour et de surprises. De tout cela, une créativité, une énergie, des émotions et des sensations qui m’on fait comprendre le sens de la vie. Le sens de mon être.

 

“En devenant un agent de changement pour moi-même, je deviens un agent de changement pour autrui. Je deviens, au sens profond du terme, un être planétaire.”

 

Alors oui , la spiritualité n’a rien d’un science exacte, d’une vérité toute faite, elle m’invite, vous invite à la crée en fonction de votre chemin. Je la vois humaniste et liée à d’autres mouvements de pensées. Je vous invite à vous faire votre propre vérité, de la partager, si vous le souhaitez, mais surtout je vous souhaite de trouver le chemin vers les profondeur de votre être.

 

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Sources*

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnel

Citations et pensées positives Vs Psychologie positive

 

«Agis comme s’il était impossible d’échouer» Dorothea Bronde

Les journées sont rythmées par des citations et pensées positives. Que ce soit sur des abonnements mailing, sur des pages FB ou encore via des cartes d’auto-motivation, l’inspiration de mots pour soulager les maux sont partout.

Connais – tu l’impacte de la pensée positive?

“Ce ne sont pas les choses extérieures et les circonstances qu’il faut changer en premier lieu, mais ton attitude intérieure. Lorsque la transformation intérieure est accomplie, la transformation extérieure suit d’elle-même”

Dans mon cadre professionnel, j’aime incrémenter mes propos par des exemples. Plus particulièrement par une citation. Celle qui va rythmer une séance, une intervention. C’est comme un titre de film, un slogan invitant à la créativité. C’est en pratiquant cette petite action sans conséquence apparente que je me suis rendu de son impacte.

La pensée positive ne repose sur aucune base scientifique ; elle désigne l’ensemble des pratiques basées sur la méthode Coué et construites sur l’autosuggestion (consciente ou inconsciente). L’idée est de changer son état d’esprit et de s’ouvrir au monde et aux opportunités en intégrant en soi des pensées positives.

Cette pratique peut bien sur apporter du réconfort mais peut aussi s’avérer douteuse car elle nous enjoint tous de penser positif, tout le temps et partout. Aussi lorsqu’elle ne prend pas en compte le véritable problème, la pensée positive peut être dangereuse et engager l’individu dans le sinistre chemin du déni. Parfois « un pessimisme modéré » peut nous amener à mieux préparer une situation et éviter le sentiment d’échec. Prendre en compte le coté “moins nounours” de la vie, est nécessaire pour observer celle ci dans sa globalité. Nous ne sommes pas que positif, ce n’est pas le positif qui nous fait réfléchir et avancer. Penser positif « à tout va » peut nous conduire à sous estimer la vie, ce qui a du sens, voir a ne jamais nous faire réfléchir sur nous même.

La pensée positive n’est pas pertinente pour des personnes qui ont une mauvaise image d’elles-mêmes. C’est un paradoxe me direz vous mais pour autant elle peut susciter l’inverse, et sans s’en rendre compte engendrer une portée très périlleuse et négative. Cela réveil la culpabilité, le sentiment d’incapacité et d’injustice a ne pas y arriver plus qu’un autre. Effet miroir dévastateur.

 

«Vous êtes maître de votre vie et qu’importe votre prison, vous en avez la clé»

Dalaï Lama

Il est nécessaire de regarde son mal-être en face pour le dépasser, la pensée positive ne permet pas cela, elle camoufle pour un temps ce qui nous fait mal pour nous faire nous sentir mieux.

Alors vous me direz c’est mieux que rien. Bien entendu, mais cela ne doit pas etre le seul outil utiliser, voir pas en fonction du profil de souffrance, de l blessure concernée.

 

Connais-tu  la Psychologie positive?

Elle est née de Martin Seligman et son courant de Psychologie humaniste. C’est l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des personnes, des groupes et des institutions. Elle est construite sur des études scientifiques empiriques et reproductibles.

Alors je vous arrête tout de suite pour certains, cela ne veut pas dire que je pense que tout est a prouver scientifiquement, je pose les contexte. Je ne crois pas en ce qui me concerne a la valeur absolu des connaissances scientifiques. Je sais que beaucoup d’éléments de réflexion, émergent de documentations, de vécu et sont non vérifiable par des études encadrer dans un environnement purement scientifique.

cependant c’est de ce vécu que je me pose aujourd’hui en alerte des certains méfait de ne penser un travail sur soi que par les mantra et phrases du quotidien. C’est une outil, de développement personnel, non pas une thérapie.

En développent personnel et cela fera objet d’un autre article on ne travail pas le fond d’un problème, la cause, la racine. On adoucit le symptôme sur l’instant T pour améliorer le futur dans la mesure du possible.

Cela sous entend, que nous pouvons par le biais de cet outil, ouvrir des portes, qui sur le moments sembles “guerrir” notre problème évoqué, mais qu’en est il du retour du refoulé? de la blessure archaïque qui se cache au fond de la pièce de laquelle on vient d’ouvrir la porte?

Attention au caché, tapis dan sle noir, qui va resurgir.

Ce matin justement j’évoquais avec un patient, la bulle dans laquelle il mettait toutes ses émotions avant de prendre sa mission de Psy. Les cordonniers les plus mal chaussés, 3 ans après sa bulle émotionnelle nacrée a explosé, de son désir d’évolution, laissant passer, extérioriser toutes les émotions pansées, non cicatrisées, un KO.

 

La psychologie positive, humaniste est la pour nous aider à mieux comprendre ce qui constitue les bases de notre être. Elle tient compte également des spécificités individuelles, et garde à l’esprit en permanence que face au bien-être et au bonheur nos sommes tous différents.

 

Je ne nie pas l’effet positif de l’optimisme, ses vertus, mais je reconnais qu’a une situation donnée, la pensée négative en ce sens qu’elle est, et qu’elle est réalise est nécessaire. Elle est permet de meilleur compréhension des apprentissages de la vie. Affronter son mal-être, ses souffrances c’est faire un pas vers Soi, vers son pouvoir interieur caché, blessé. Démontré, la force de la Psy peut importe ses forme, permet le chemin de la “guérison”.