L’enfant intérieur ?

 

« Nous avons tous été des enfants et cet enfant vit encore en nous »

 Carl Gustav Jung

 

 

Comment je me suis réconciliée, j’ai pardonné et laisser prendre sa juste place à mon enfant intérieur?…. et surtout : Pour quelle raison?

 

💖 Notion d’enfant intérieur !

Dès l’aube de la vie d’un enfant, les adultes qui partagent son environnement, conditionnent celui – ci afin de le rentrer dans un mode éducatif, dans des “cases” dites “normales” selon leurs critères et celui de leur propre référentiel.

Imposer à l’enfant d’être ce que l’on attend de lui et pas “être qui il est profondément” engage les premières blessures de l’être.  C’est l'”abandon” du: JE SUIS.

Ce refoulement de l’enfant écrase alors beaucoup de potentiels tels que la créativité, la spontanéité, la joie de vivre, l’autonomie, l’expression de soi, et l’authenticité. Laissant alors apparaître une construction massive de mécanisme de défense face à l’émergence de tiraillements. Je parle là de faux-self, de masque, de manque de confiance en soi, de perte d’estime de soi, du goût de la vie et j’en passe….

Il est celui que nous avons été, qui est toujours présent, en Nous-m’aime, il incarne l’Innocence, la Joie, l’Amour Inconditionnel, et la Confiance.

 

“être ce que nous sommes, telle est la question?”

 

💖 Qui es – tu?

Parce que l’enfant en nous s’émerveille des beautés de la Nature, parce qu’il aime la musique, la vie, il est joie et curiosité des choses, il s’émerveille d’un petit tout et d’un grand rien. Je suis cet enfant intérieur, un adulte tout autant car je suis l’enfant qui a grandi.

Mais dans mon parcours de vie, j’ai été blessé, je me suis laissée blesser. Mes parents, ma famille, mes amis, toutes les personnes qui ont croisé mon chemin, m’ont fait vivre des expériences qui ont marqué mon cœur, qui ont à leur manière, donné de l’eau à mon moulin à blessures. Je suis responsable de cela.

 

L’enfant est souvent renié au profit d’un adulte contrôlant, dictateur et en colère. Conditionné et qui dicte, sous les excuses de responsabilités, de ce qui attrait au bien, au mal, au correct ou pas.

 

Votre Enfant IntéRieur va Guider Votre Créativité, et l’Adulte va Agir pour Concrétiser ses Rêves, parce qu’ils sont Réalisables ?

 

 

💖 Quel est la raison pour laquelle il faut laisser l’enfant en soi prendre toute sa place?

L’enfant n’est pas celui qui veut tout, il veut se qu’il sait bon pour lui. Son âme. Mon âme, donc SOI. Laisser parler l’enfant, ce n’est pas se renier, ou éteindre la part d’adulte, en fuyant ses responsabilités. NON. C’est éclairer sa part d’ombre, car la mission de l’enfant intérieur est telle: Mettre en lumière mes grandes blessures émotionnelles et me permettre de m’en libérer.

Ecouter son enfant intérieur c’est permettre à l’adulte, qui sait, de répondre à l’enfant et à ses attentes, à celui qu’il a été pour panser ses blessures et ainsi faire de grands pas sur le chemin de mon développement personnel.  Je me libère ainsi de toutes les chaînes qui n’ont fait que m’entraver.

Cependant, cessons de croire que l’un ne profite pas à l’autre, ils sont dans un partenariat, je le vois ainsi, une main dans l’autre main; L’adulte est présent pour réconforter l’enfant et non pas le faire taire. L’adulte à la force du déni, l’enfant non. L’adulte à la force des responsabilités, de l’ombre, l’enfant est la lumière du coeur.

Mais l’adulte peut poser des limites à l’enfant, et le doit, mais des limites de justesse, de coeur, pour que l’enfant, ne se perde pas dans l’irréel, pour que l’enfant et l’adulte soit en harmonie, et non pas l’un soumis à l’autre.

 

Se Renier, c’est éteindre la part de l’enfant en nous, pour écouter l’extérieur, le politiquement correct des erreurs à ne pas commettre. Non pas en fonction de qui nous sommes et ce qui est bon pour nous, mais de ce que nous devons renvoyer à l’autre pour être lisse et parfait dans une société qui ne laisse pas de place à l’équilibre enfant/adulte et à l’harmonie de coeur, corps et esprit.

C’est cela se renier. Laisser l’enfant prendre un espace ce n’est pas dire prendre toute LA place mais SA place. Parce que sinon on a cette étrange sensation d’être tiraillé.

 

Que ressent l’enfant en moi?* Qu’ai – je besoin, pour être harmonie, que l’enfant sait mais l’adulte tait?

 

“Tu a en toi une fête, un feu d’artifice, et un archétype qui dit “schut, schut”, ne fait pas cela!”

 

 

Elle est la l’erreur !

Rapellez-Vous l’enfant que Vous Étiez ??Regardez l’enfant que Vous Étiez

 

Votre Enfant IntéRieur va Guider Votre Créativité, et l’Adulte va Agir pour Concrétiser ses Rêves, parce qu’ils sont Réalisables ?

 

C’est C. Face à C., c’est toi, face à toi. Oui je suis responsable de mes ressentis, je dois me pardonner, me cajoler, me réconforter, car toutes ces étapes ont été rudes, mais nécessaires pour qui je suis aujourd’hui et mon rôle d’adulte, et de montrer à l’enfant que j’étais, toutes mes qualités, tout ce que j’ai su développer pour devenir celle que je suis aujourd’hui.

réconfortes – toi, je me réconforte, laisse s’exprimer l’enfant en toi, et l’adulte saura proposer à ton quotidien, les éléments pour que l’enfant ressente à quel point tout cela est juste et qu’il peut être fier de lui, de vous – m’aime!

L’enfant prend alors sa place, et l’adulte tout autant, à eux deux, ils déplaceront des montagnes en laissant s’ exprimer tout le potentiel en l’être.

 

Un jour, je me suis perçu, en position de fœtus, nue, allongée sur un sol froid et humide. Il faisait noir. Et le jour d’après, je me suis tendu la main,  je me suis aidée à sortir de ce puits. Et je me suis regardée, libérée, moi enfant, vêtu d’un rose madras, danser dans un champ de fleurs à la lumière d’un soleil de printemps. J’ai regardé longuement cette scène, j’ai compris. Je me suis pardonné, j’ai déculpabilisée et je suis devenu fière, main dans la main entre l’adulte et l’enfant qui font ce que je suis aujourd’hui, marchant, déterminée, vers la vie. Joyeuse, riant, pleine de rêves. Écoutée, entendue.

 

 

Sources*

Photo pinterest – wikipedia – psychologies.com – MyMind – PDC

“Aequus Libra”, que la force soit en ta présence !

La vie n’est supportable que lorsque le corps et l’âme vivent en parfaite harmonie, qu’il existe un équilibre naturel entre eux, et qu’ils ont, l’un pour l’autre, un respect réciproque.
David H Lawrence

 

La vie de tous les jours, je l’observe et l’analyse au quotidien, se sont des micro-décisions, des choix qui font pencher la balance.

Personnellement, en me gardant bien de lourdeurs… je suis balance, je suis hyper – émotive et j’ai bien du mal à prendre des décisions.

Le problème n’est absolument pas mon incapacité à me décider, mais ma tendance à vouloir être bien sûr, avant de prendre une décision, ou de faire un choix…. la maîtrise des éléments.

 

Trouver le juste équilibre.

 

Ceci est – il seulement possible?

“Pourquoi certains n’auraient pas tout? Il y en a qui n’ont rien. Ca fait l’équilibre.” Michel Audiard

 

J’ai donc envie d’aborder ce terme, parce que la société d’aujourd’hui nous présente au quotidien la quête du bien – être, le besoin de se sentir bien, le mot équilibre tout comme l’harmonie ou la paix, reviennent souvent.

Au delà de l’approche théorique de l’équilibre en Psychologie, il y a le point de vue philosophique et spirituel dont je veux parler.

 

L’équilibre en Psychologie

Elle fait état de la notion d’équilibre cognitif, qui a été introduite par Heider en 1946, elle se base sur le postulat que l’individu organise ses relations avec autrui de façon à conserver un système harmonieux. La différence essentielle avec la théorie de Festinger (Auteur et Psychologue, proposant une variante de l’approche de Heider) est qu’elle s’applique aux relations entre les individus.

Je vais rester sur Heider, qui m ‘inspire d’avantage en expliquant son postulat, mais je ne m’aventurerai pas sur la théorie de causalité de l’equilibre, qui ne m’apporte pas vraiment de plus pour le sujet du jour.

 Selon Heider, lorsqu’une contradiction se manifeste dans notre environnement, des forces tendent à restaurer l’équilibre en modifiant les rapports entre les éléments de cet environnement ou en transformant la représentation que la personne s’en fait.

Il existe deux types de relations entre les éléments du champ social (ses sphères, ses amis, sa famille, en clair toutes les personnes qui composent son environnement) d’un sujet :

  • les relations affectives ‘L’ (attitude d’un individu par rapport à une autre personne ou à un objet) et,
  • les relations d’union ‘U’ (similarité, proximité, causalité, association, appartenance).

 

 Selon les hypothèses de Heider :

Il y a équilibre cognitif, si une entité donnée possède à tous les égards les mêmes caractéristiques dynamiques.

  • Dans le cas de deux entités, il y a équilibre si la relation est positive ou négative dans tous les cas.
  • Dans le cas de trois entités, il y a équilibre si les trois relations sont positives à tous les égards ou si deux d’entre elles sont négatives et la troisième positive.

S’il y a équilibre, des forces tendant vers l’équilibre font leur apparition et entraîneront soit une modification des caractéristiques dynamiques, soit des relations d’union.

 

 Quand Heider parle d’entités, on parle de trois “Les triades” éléments et les relations qui les lient.

  • On nomme P, le sujet (Perceiver), O, l’autre (Other) et l’objet (X).
  • On distingue les relations affectives positives L+, des relations affectives négatives L-, mais également les relations d’appartenance positives U+ et négatives U-.

Lorsque l’individu est en état de déséquilibre, il a deux solutions : soit il réalise un acte; émet un comportement, soit il réorganise ses relations avec les “entités” concernées. L’ensemble étant destiné à obtenir une triade équilibrée ou dite: ‘bonne forme’.

 

On peut ramener cette théorie à l’image du tabouret à trois pieds.

Je m’explique:  Si l’on part du principe qu’un tabouret possède trois pieds et que chaque pied représente un pilier de la vie : un pied pour la vie professionnelle, un pied pour la vie personnelle et un pied pour la vie amoureuse.Ce tabouret possède trois pieds de longueurs égales pour se maintenir, stable avec une assise plane.

On peut alors s’asseoir dessus de façon équilibrée.

Si, en revanche, un des pieds est plus long que les autres (autrement dit : si un des piliers de la vie prend le pas sur les autres), l’équilibre est « rompu » : l’assise n’est plus horizontale et la position devient fatigante et de plus en plus difficile à tenir avec le temps. On sent alors apparaître des tensions intérieurs, des mots physique. L’objectif est donc de créer un équilibre entre les trois grands piliers de la vie.

Évidemment, la notion d’équilibre est propre à chacun.

 

Du coté de L’équilibre des Lumières :

« C’est d’après sa façon d’équilibrer sa vie intérieure et extérieure que chacun révèle son intelligence, sa volonté et surtout son discernement. »

L’équilibre consiste essentiellement en une procédure d’ajustement mutuel entre nos croyances générales et nos jugements particuliers, ou l’aboutissement idéal de cette méthode. C’est un état stable, système égalitaire entre deux forces opposées dont la maîtrise de positionnement et de mouvement force les antagonismes à être en juste harmonie. J’entends par force, non pas l’obligation mais la volonté de mouvement, champ d’énergies s’appliquant à tous les êtres vivants. Finalement très proche de la notion de”Force” dans Star Wars…

 

 La notion de l’Aequus Libra est purement philosophique.

On part du principe qu’au démarrage nous allons sur un chemin, notre vie, en ayant que peu de conscience sur la durée de celle ci. Nous devons, coûte que coûte, avancer dans la vie, tout en gardant bien sûr l’équilibre pour ne pas chuter d’un côté ou de l’autre, c’est-à-dire tomber vers des extrêmes.

Cela nous permet d’avancer en prenant de notre environnement, des expériences et des enseignements. Plus nous avancerons avec maîtrise, moins nous chuterons d’un coté ou de l’autre du chemin, d’ou l’expression “son juste milieu”.

L’Aequus Libra nous enseigne que nos capacités à trouver l’équilibre ne tient qu’à nous. C’est à dire, dans nos aptitudes à savoir construire nos civilisations sur un socle universel, épais et durable dans le temps, apte à être donné sans risque, en héritage, à nos générations futures. Nous n’avons besoin que d’une chose pour y arriver, une conscience essentielle à tout démarrage de construction universelle, celle « d’être indissociable en tant qu’humanité ».

Extrait de L’ÉVOLUTION Théorie Philosophique et de Méthodes, Politiques, Sociales et Économiques, par G. Ragnaud

« La seule philosophie authentique est celle qui considère l’être humain dans sa globalité. »

 

De la lumière au cosmos, L’équilibre est harmonie de l’âme.

La vie est folle, n’est-ce pas ? C’est pour ça qu’elle est passionnante. Imaginez que nous soyons équilibrés dans une existence paisible, il n’ y aurait ni événement, ni crise, ni trauma à surmonter, de la routine uniquement, rien à mettre en mémoire : nous ne serions même pas capables de découvrir qui nous sommes.

Sauve-toi, la vie t’appelle – Boris Cyrulnik

 

Bouddha donnait son enseignement de façon très simple, je l’ai découverte en lisant ses ouvrages. Principalement inaudible ou incompris de beaucoup, ce que j’en retiens, est la voie du milieu : apprendre à découvrir l’équilibre, l’harmonie. La voie du milieu consiste à éviter en toutes circonstances de se figer dans les extrêmes.

Le développement personnel, la spiritualité mise au service du bien – être et de la quête de la paix intérieure, firent de l’équilibre une notion clé.

Alors je me suis posée la question de l’équilibre, notion qui est venue sur mon chemin ces derniers jours.

 

Qu’est ce que l’équilibre?*

Comment tendre vers elle, nécessite -t-elle une importante transformation?*

Comment les gens perçoivent -ils cette notions, avec justesse?*

 

Trouver l’équilibre pour moi, c’est : trouver sa place ou l’adéquation entre ses rêves et la réalité, le juste milieu entre ses contraintes et ses aspirations. C’est aussi faire le tri entre les souvenirs qui nous rendent forts et ceux que l’on souhaite oublier.

Lorsque je me sens tiraillée, c’est là que tous se joue, j’ai perdue mon équilibre, je suis en déséquilibre.  Car il y a une dissonance, entre ce que j’ai besoin de vivre, qui je suis,  et ce que je vis. Je ne suis donc pas à ma juste place. Et apparaît une problématique de positionnement.

Qu’est ce qui marque ce tiraillement, ce déséquilibre? est – il le symbole de présence? Ou d’absence de présence? Emergence d’un sentiment profond de s’être trouvé, d’être comme “accompli”, de trouver sa vérité, celle dans laquelle on peut s’épanouir?

« La tendance la plus profonde de toute activité humaine est la marche vers l’équilibre. » “Une marche vers l’équilibre ou peut-être une marche vers sa recherche?” J. Piaget.

Je ne cesse d’analyser pour répondre à mes questions. Ma peur de ne pas m’accomplir, de ne pas m’épanouir.  Cette peur, ce manque de confiance à ne pas être assez à la hauteur, à la bonne place. La peur du rejet….

Je me met la pression, pour faire toujours au mieux, sans accepter de me dire, que le temps est nécessaire à l’apprentissage, que les choses demandent de la patience. J’en suis ma première victime.

Ma quêtes de sens, mes influences m’ont permis d’accomplir bien des choses et au-delà de ce que je pouvais espérer. Mon équilibre pour ma part, c’est en me ressourçant que je le trouve, en me ressourçant dans mes passions et auprès de ce qui me sont chers. C’est me positionner pour vivre ce que je souhaite vivre, en me disant que si mes choix sont claires, alors ils correspondront à un appel du cœur, et que de cette manière ils seront moi.

Dans le respect, l’amour et la bienveillance.

Mon équilibre.

 

Alors finalement l’équilibre, qu’est – ce? Comme l’a dit si justement Stephen carrière : ” L’équilibre c’est se sentir à sa place”.

 

Que pensez-vous de l’équilibre?*

Avez- vous votre propre équilibre? comment réagissez-vous lorsqu’il est mis en branle?*

Sources:
Les différents dictionnaires 
Platon, Piaget, Comte, Stephen carrière, Boris Cyrulnik,G. Ragnaud

Le grand livre du YI KING – Le livre : Qu’est-ce que la philosophie occulte ? Par Pierre A. Riffard – Le Tao, philosophie de l’équilibre
Consultations diverses sur wikipedia & La notion de “force” de Star Wars.

C’est aujourd’hui que tout se joue !!!

Aujourd’hui je t’invite à lire ce billet tout en écoutant l’album de One republic, “Dreaming out loud. Parce que c’est avec ces douces mélodies que j’ai écris mes maux !!!

Cela fait quelques semaines, que je n’ai pas pris la plume, ici.  Beaucoup de choses se passent et le temps passe tel que je ne me rends pas compte que je délaisse parfois les choses qui me tiennent le plus a cœur. Plume de Cactus, par exemple.

N’est ce pas cela la vie? Inattendue.

C’est de cela aussi que tout ce joue aujourd’hui, de la vie, de ma vie. J’avais envie de partager un peu de moi, pour toi. J’ai toujours eu cette sensation profonde, de vide, de manque, d’avoir besoin d’une nouvelle histoire pour vivre. Je n’ai pas compris jusqu’alors que l’histoire est à écrire chaque jour, comme on souhaite la vivre.

Je ne suis pas perdue, l’es – tu?

J’avance vers la direction de mes rêves, je vis la vie que je souhaite vivre, et pas que. Un jour, une belle âme, parmi celles qui ont croisé mon chemin, m’a dit :

“Tu es tel Christophe Colomb en plein milieu de l’océan, tu cherches vers ou aller et tant que tu n’as pas accosté sur un rivage, tu n’es rien. Pour y arriver il s’est guidé grâce à des bouts de bois flottant, des signes, des intuitions, etc… Le doute ne l’a surement jamais quitté quand à ses choix ou, à la véracité de ce qu’il ressentais pour être dans la bonne direction.”

J’aime l’image, elle me correspond tellement.  Je crois sincèrement que le jour venu, ou, on fait le choix de comprendre, de donner du sens à sa vie, on ne peut plus jamais….oui,oui, JAMAIS faire marche arrière.
 
C’est souvent dur à comprendre pour beaucoup, on peut avoir ce sentiment d’être seul à vivre nos expériences, les “cartésiens” diront que nous sommes dans “notre délires”. Mais je pense qu’une vie intérieure riche, passe par la connaissance de Soi. Cela passe et donc par une prise de risque, celle de plonger dans son aventure intérieure. Celui qui est heureux chaque jour (ou le prétend), celui qui a le bonheur quotidien sur son chemin, celui qui dit je ‘sais” ne sait rien d’autre que ses certitudes, et celles – ci le rendent immobile, fixe dans son temps de vie. Tout ça pour dire qu’il n’y a que l’expérience qui me diras si je suis dans ma vérité ou pas.
 
Je ne parle pas de l’expérience scientifique, mais de l’expérience que l’on vis, de cette expérience quotidienne.
 
Et non, ce n’est pas se torturer, ni se poser trop de questions que de vouloir comprendre. Ma maman, que j’aime profondément, m’a toujours dit “tout, analyse tout, tu te poses trop de questions”
NON, NON ou bien, peut être, mais quand bien même !!! Who cares!!??.
 
Mes questions, elles me nourrissent, ce n’est pas m’en abstenir qui va rendre ma vie plus fluide, moins perturbée. J’ai fait le choix de vivre pleinement ma réalité!!
 
Et vous?
 
 
La vie je la vois ainsi, au delà du bonheur simple, je la vois simplement, en l’acceptant, tel qu’elle est. Parfois dur, et simple, harmonieuse et chaotique, heureuse, et triste. Ma vie elle n’est pas immobile. Il y a des jours ou je vois clairement, d’autre ou je me mens a moi-même, l’important n’est ce pas de me le dire, de l’accepter, humaine que je suis?
 
“Les jours passent mais ne se ressemblent pas” prend tout son sens dans l’ esprit. Car oui le bonheur est une perception de l’esprit.
On cherche le bonheur dans l’idée qu’il sera toujours la, vivant heureux jusqu’à la fin de nos jours, mais c’est un erreur…C’est bien, expérimenter l’erreur fait grandir.
 
La vie est une expérience, chacun décide d’en faire ce qu’il veut. Moi j’aime la mienne. Mon quotidien terrestre est sain, équilibré et plein d’amour, il est à l’image de ce que je voulais, je me suis battu pour, je me questionne, j’évolue au quotidien pour le conserver. Ma vie spirituelle, intérieure, est riche d’une envie d’apprendre, de carcans à dénouer, d’évolutions possibles, ma vie c’est l’envie de surmonter mes frustrations, d’en faire ainsi naître mes désirs…ou le rêve de projets !!! C’est l’expression de la nécessite a élaborer un peu plus ma vie intérieure.
 
 
C’est aujourd’hui que tout se joue, ce jour ou on décide de faire le choix, pour soi-même, du chemin que l’on souhaite empreinter pour comprendre qui nous sommes.
Je ne suis pas perdue, je suis en marche, en actions constantes; le lundi je pleure, le mardi je rie, le mercredi je réfléchie et ce n’est jamais fini. Parfois face à la montagne, souvent en chute libre. Je me regarde et je veux ressentir, comprendre mais surtout expérimenter.
 
J’avance en confiance car j’ai compris le sens d’attirer à soi ce qui est bon pour soi, même si je sais que le mettre en pratique au quotidien me demandera force de conviction et réparation. Et cette impression que l’on voit clairement son intérieur,  mais que celui qui nous regarde de l’extérieur n’y comprend peut être pas grand chose? et bien cela lui appartient mais en même temps n’est il pas le miroir d’un voile que l’on c’est posé sur soi?
C’est une invitation a continuer de construire ses désires, accueillir ceux qui veulent faire un bout de chemin en sa compagnie mais n’obligeant jamais personne à ne pas prendre son envole, pour un temps ou définitivement, loin de soi. Chacun à besoin de vivre ses expériences, c’est là ou tout se joue.
 
C’est le respect !
 
 
Aujourd’hui je me donne le droit de créer ce que je veux, car j’offre à la créativité, une nouvelle orientation, plus vrai, plus moi, plus Psychique encore .
 
 
 
 Image source: https://www.showroomprive.com/ventestickerspenséespositives

 

Tiens tes doutes par la main, suis ta route, coûte que coûte !!

Nous avons tous des blocages, des difficultés et cela nous empêche parfois de passer à l’action pour avancer sur notre chemin de vie.

Par exemple, j’ai mis longtemps à me lancer dans l’écriture de ce blog, tout simplement parce que j’avais #PEUR.

Il faut le dire, je ne manie pas la langue française à la perfection, du moins à l’écrit. On parle des fautes d’accord et d’orthographe?

C’est toujours compliqué pour moi de fournir des écrits car je ne me sens pas crédible, ni légitime à écrire sur le développement personnel.

As-tu du mal à te lancer dans l’écriture par manque de légitimité ?*

Pour autant, ce sujet, je le connais et je me sens complètement crédible à l’aborder, à transmettre à son propos. N’est-ce pas paradoxal ?

Les moments les plus propices à ma créativité, à l’écriture, sont quand je suis en voiture, ou que j’observe de profonds paysages. Ce qui n’est d’ailleurs pas simple pour s’en souvenir ou encore les reporter sur papier.

As-tu un moment propice à la créativité ? Comment exprimes-tu celle ci ?

Quand je roule, je passe souvent devant le même paysage. Ce matin, le sol était nappé d’un fin brouillard. Celui-ci m’a donné envie d’évoquer celui dans ma tête. Je l’ai, il m’a accompagné pendant si longtemps.

Certains paysages inspirent, celui-ci me rappelle combien il est important de passer par des phases de brouillard, de chaos pour ensuite voir percer le soleil, le bonheur et l’amour.

Avoir vécu cela m’a donné envie de construire une plateforme de partage avec ma copine So. Alors oui, j’ai douté, pour les raisons que j’ai évoquées.

Toi aussi, tu as déjà douté?*

T’es-tu empêché-e de réaliser tes rêves?*

Quel serait ton plus grand rêve aujourd’hui?*

Si j’ai compris une chose, même plusieurs, c’est que :

  • L’important, ce n’est pas le sujet mais la manière de l’aborder.
  • Comme j’aime le développement personnel, comme certainement beaucoup d’entre nous, j’ai envie d’en parler, avec ma touche personnelle.
  • J’ai accepté de me dire que je le fais de manière unique, avec mes mots, parfois maladroits et accompagnés de coquilles mais toujours avec le coeur.

Je sais que ma démarche, mon intention sont de transmettre ma vue de l’esprit, ma connaissance, mes découvertes sur les sujets qui me tiennent à cœur. La différence, mon plus à moi, c’est la pointe de spiritualité et l’esprit positif qui m’animent au quotidien, même si parfois je dois me forcer pour garder le cap.

Toi aussi, as-tu des moments de doutes ? Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de renoncer à cause d’eux, ou es-tu plutôt du genre à foncer ?

Je te propose d’en discuter ensemble, l’espace commentaire est fait pour ça !!!

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