🌵 Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer !

Savoir dire non!

C’est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t’aimer.

Arrête d’avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.
Puis d’apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta Présence.
Arrête d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.

T’écoutes tu?


Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t’entourent, mais c’est aussi l’impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle …
Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pure sincérité …
Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es. Ça veut dire que tu dois arrêter d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.
Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.


La vérité, c’est que tu n’es pas pour tout le monde … Et que tout le monde n’est pas pour Toi …


C’est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique …
Tu sauras à quel point c’est précieux …Parce que tu as expérimenté ce qui ne l’est pas …
Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu’un qui n’en est pas capable …Plus tu perdras de temps à te priver de cette même connexion …
Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d’entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de là où elles en sont …


Mais …


Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l’intimité des gens qui t’utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle …Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires.


Peut-être que si tu arrêtes d’apparaître, tu seras moins recherché(e) …
Que si tu arrêtes d’essayer, la relation cessera …
Peut-être que si tu arrêtes d’envoyer des textos, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines …
Peut-être que si tu arrêtes d’aimer quelqu’un, l’amour entre vous va se dissoudre …

Alors prends conscience que :


Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation ! 

Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l’énergie que TOI et TOI SEUL(E) engageais pour la maintenir à flots.
Ce n’est pas de l’amour. C’est de l’attachement.C’est vouloir donner une chance à qui n’en veut pas !


La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c’est ton énergie.


Ce n’est pas que ton temps puisqu’il est est limité …C’est ton énergie !
Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie. C’est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.


Quand tu te rends compte de ça:

tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.
Tu commences à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c’est protéger ton énergie plus farouchement que n’importe quoi d’autre.
Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes “compatibles” avec toi sont autorisées.


Tu n’es pas responsable de sauver les gens.

Tu n’es pas responsable de les convaincre qu’ils doivent être sauvés.
Ce n’est pas ton travail d’exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l’instant !
Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu’ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées …


Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l’aimé(e) de ton destin, et d’accepter l’amour que tu penses mériter.


Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable, et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères.
Puis attends … juste pour un moment …Et regarde à quel point tout commence à changer …


– Auteur Inconnu –

Le Maux du Moi : La patience

S’il est un chemin dont ont pâti d’impatience face à une passion passive… c’est bien ce voyage, celui de l’éveil à Soi et tout autant celui des flammes . Alors que finalement on ne cesse d’entendre dans les guidances « la patience, LA patience tout en agissant ». Je me suis posée cette question : que cache -on derrière la patience…L’accoutumance ? le matérialisme ? l’attachement ? le consommationniste ?

Un jour quelqu’un m’a dit, qu’il m’apprendrait la patience, j’ai envie de répondre : Il ne faut pas abuser de la patience des moutons…

Tout cela pour dire que le mot : « patience » est bien galvaudé de nos jours. Connaissons-nous vraiment le véritable sens de ce mot/maux ?

Cette question a donné naissance à deux chemins : une rubrique “les maux du MOI”, un temps, mensuel ou j’exposerai ma réflexion sur un mot que j’aime ou qui me questionne. Et la reliance avec l’état d’être, l’état d’âme sur lequel il interfère. J’ai toujours aimé les mots, le langage. Je ne suis pas fervente adoratrice de l’orthographe, mais j’aime utiliser les bons mots pour exprimer les ressentis au plus juste. Quand on s’aligne en Soi, que l’on ressent enfin cette présence en Soi, c’est comme une délicieuse évidence.

Dans le langage des oiseaux, on évoquera le PA Science. Le pas vers la connaissance de l’apprentissage vécu, de l’expérience. Il sert beaucoup dans les tirages de cartes afin de comprendre l’expression symbolique de l’inconscient qui souhaite nous faire passer un message. On retrouvera d’ailleurs ce langage dans les rêves. Je vous invite à lire mon article sur ce sujet.

En étymologie il est autre. Tout autre en fonction de sa provenance. Tout autre en fonction de la classe social.

Définition de Mr Larousse :

La patience est l’aptitude d’un individu à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ou encore en sa qualité de persévérance.

On nous demande de travailler la patience, cependant on en a oublié qu’elle est force de l’âme, donc substance et qualité de celle là même. La société la rendu pragmatique, ce n’est pas une critique mais un fait. Elle avait ses raisons, ses besoins, son évolution. Cependant elle nous a montré sa corruption afin de nous proposer des buts à atteindre nous mettant à l’épreuve de l’impatience, et ainsi a enfermé dans une boite notre “inné”: la patience. C’est intéressant de faire le rapprochement entre ces deux miroirs opposés complémentaires et la nécessité d’avoir l’ombre pour percevoir la lumière. Le TAO est donc partout. Ces asiatiques alors !!!!

La patience est la proposition d’une ouverture à nous-même, un retour en nous qui nous amènera à nous reconnecter à ce que nous sommes par essence: Paix intérieur.

Alors oui force est de constater que le mot a varié, vrié même. Au cours des siècles, ces changements sont l’effet des changements sociaux, et occidentaux. De l’évolution vers l’involution.

La patience est d’essence, une faculté innée ; à non pas se satisfaire du moment présent, même si cela en découlera de facto mais à accueillir cette faculté d’ouverture sur l’inattendu. C’est une formule de responsabilité pour autrui, comme l’a évoqué Levinas. Celle du fait de sa volonté, son obstination, sa confiance en soi. Que l’on souffre ou pas, c’est le questionnement de se satisfaire ou pas de ce que l’on ressens. Se laisser traverser en Confiance .

Etymologie du Moi !

Revenons à ses origines.

Du latin patientia (« souffrance, endurance, courage, fermeté, résignation, obéissance, patience »). Elle est loin l’image de sagesse que nous renvoi l’étymologie populaire de vertu, de constance, de calme et de tranquillité. Même si elle évoluer vers ces thermes aujourd’hui et qu’on ne peut lui enlever.

C’est donc une Vertu qui fait supporter les adversités, les douleurs, les injures, les incommodités, …

C’est une qualité qui consiste à supporter sans impatience le comportement pénible d’une personne, d’une situation, mais encore à se persévérer dans une entreprise longue et pleine d’obstacles. Se laisser ainsi “attendre” quelqu’un ou quelque chose qui tarde sans marquer d’impatience. Quel programme !

Rappelons tout de même que l’histoire de ce mot, né du verbe latin PATI, est utilisé bien avant JC pour exprimer l’endurance, le support d’une situation, et ce de manière involontaire. Il est donc entendu que la patience est plus le reflet d’une acceptation passive, que de cette vertu de sagesse que cela sous-entend. Au départ !!!

On aura bien compris ce qui se cache derrière la patience. Cette intention morale de faire face à l’adversité des maux, de rester constant intérieurement (d’où la référence au calme intérieur) face à un extérieur qui nous tiraille. Vivre tranquillement, sans irritation, ce but, cet objectif fixé qui tarde à venir…ou qui doit venir plus tardivement que l’idée que l’on s’est fait de son acquisition. Quoi que ce pose alors la question du ; si la constance de la confiance, fait que la patience en tant que disposition morale est innée, peut-il être envisagé comme déjà acquis dans l’absolu ce qui nous tarde de voir venir à nous dans la matière ?

Je crois que dès lors que l’on accepte la notion. Ce fait, ce quelque chose que l’on ressent comme “fait pour soi”, comme “étant à Soi” (sans pour autant nous appartenir), déjà acquis dans ton âme, alors il n’est plus question de patience, ou d’impatience de souffrance ou de tristesse…

Mais de lâcher prise.

C’est la transmutation plaisante de quelque chose qui ne l’est pas. C’est mettre de l’amour, de la bienveillance, de la douceur là où il n’en est pas ressenti.

Et dès lors, la patience est-elle encore celle que nous croyons ?

La patience dans ce voyage Flammes jumelles

Corneille a dit de la patience, qu’elle est de ceux dont en l’âme on craint les justes défiances.

Combien de site font état de la patience comme une clé dans ce parcours ? j’ai décidé d’ouvrir google et de noter à coté de FJ, le mot patience et voila ce qui s’affiche à moi succinctement :

  • Soyez patient, vous serez récompensé.
  • LA PATIENCE EST LA CLÉ SI VOUS SOUHAITEZ LE RETOUR DE VOTRE FLAMME JUMELLE
  • la patience est la clé 
  • la véritable valeur de la patience et que vous l’appliquerez dans votre vie quotidienne.
  • un autre travail, immobile celui-là, l’attendra : un travail sur la patience…
  •  une qualité essentielle requise pour celui qui aspire à la sagesse
  • maîtrise de soi qui est opposé en général à l’agitation naturelle, à l’impatience innée.

Reprenons l’étymologie, et réfléchissons par un plus large spectre. 

Ne serais ce pas notre inquiétude, notre attente, notre sentiment d’irritation ou tout autre manifestation des blessures intérieures qui corrompt notre patience en nervosité, anxiété et besoin soudain d’y répondre en comblant par l’extérieur. Laissant apparaître dame impatience. Mais si l’on regardait d’un autre point de vue. Ne serait – il pas plus intéressant non pas de « travailler » sa patience mais sa confiance en Soi, ainsi que toutes causes potentielles de souffrances ?

Je parle ici de FJ, dans le sens ou cette quête de fin à la souffrance qui nous tiraille pendant longtemps, la souffrance du manque, de l’abandon, du rejet, de l’insécurité font que nous voulons aller rapidement et que nous connectons avec la patience et l’impatience. C’est notre premier rôle car la mort de notre être connu à frappé à notre porte. Pourtant la patience va à l’encontre du temps, tout comme l’impatience. Ce détacher de ces termes c’est comprendre ce qui nous est demandé.

Finalement sans souffrance, est-il encore question de patience ?

Ou tout autres mots concordants.

Diderot a dit ceci :

À moins que la patience ne lui échappât et ne l’exposât à sortir de son caractère

N’est ce pas ce qui nous est demandé dans un travail d’éveil à Soi, sortir de ce caractère conditionné sur ce chemin que fut le nôtre, au passif !!! et comprendre que l’ordre des choses, la connaissance de soi ne se fait pas dans la douleur, et que la relation à Soi n’a pas obligatoirement à faire état de souffrance au quotidien. Mettre de la lumière là où il n’y en a plus, certes cela se fait dans la patience, certain y perdront leur force, d’autre la patience. Qui comme la dit SACARRON PASSE SCIENCE ou aller au-delà de ce que l’on connaissait jusqu’à’ aujourd’hui pour faire le pas vers Soi, et prendre conscience que dans l’inconnu, en confiance, naît la plus belle des vertus, celle de la relation au cœur.

Nous souffrons car nous nous attachons.

De l’autre côté du lac…

Puisque vous avancez, tôt ou tard vous arriverez au but, l’autre côté du lac…

Pour ça, pas besoin d’être parfait! Car la patience n’est pas une forme d’attente, mais la reconnexion à son pouvoir interieur, sa royauté intérieure, son intuition, son Soi. Vous pouvez l’appeler comme vous le souhaitez mais il s’agit de cet état fluide interieur, d’alignement et de confiance. Une paix que nous propose le non attachement à tout résultat, car ils sont déjà accompli puisque posés en intention profonde. Dans la science, dans les vibrations, en métaphysique et cosmologie, il n’y a pas de passé, ni futur, seulement la conscience de l’instant que nous vivons (ce fameux instant présent) et cela rassemble tout son être, son unicité.

Conclusion

Qui aurait cru que passionpatiencepatient et passif avaient la même origine ? et tous invitent à subir une action, mais bien malgré soi, de suivre les impulsions extérieures, de ne prendre aucune initiative, de n’accomplir aucune action personnelle, voire de manquer d’énergie.

C’est pourquoi transformer une phrase à la voix passive, c’est faire que le sujet grammatical n’accomplisse plus l’action mais la subisse.

Alexandra Manière

Et la passion? celle-ci qui s’oppose à l’action, dans ce qu’elle a d’involontaire, car la passion est ce mouvement violent de l’âme, en bien ou en mal, qu’on ne peut que subir.  A tel point même, qu’on peut souffrir mort ET passion, ce qui vous exposera à de grandes douleurs morales et à de grandes souffrances physiques qu’on appelait, aussi jadis, du nom de tourments.

Enfin, la passion est aussi le fait de souffrir.  Mais cela portera sur un Article distinct tellement y a à dire dessus.