L’énergie des Relations d’âmes #1.

Notre physionomie ne se limite pas seulement à notre enveloppe charnelle. Nous possédons également une enveloppe énergétique constituée de 7 corps subtils ou corps énergétiques, qui sont imbriqués et se chevauchent  les uns dans les autres. Ils constituent la totalité de notre aura. Quand vos énergies sont dans une vibration élevée et alignées, les choses circulent doucement. Nous sommes ouvert les uns aux autres. C’est l’état naturel de la connexion Flamme Jumelle. Mais l’énergie peut etre brusquée, coupée, bloquée, déconnectée…. c’est le reflet de notre état d’être. Une indiction importante de notre vibration à l’instant qui doit etre régulée. Une fois l’harmonie retrouvée, le corps retrouve sa plénitude, son bien être, son équilibre, et sort enfin des différents maux physiques et des différentes torsions internes liés au passé.

Avant de comprendre et d’évoquer en #2 la dynamique énergétique entre flammes jumelles et pour que les non FJ puissent aussi comprendre comment cela se passe en Soi. J’apporte un éclairage sur l’énergie dans sa globalité. Cette vision qui est mienne depuis 10 ans est le fruit de ma propre expérience, de ma parcours avide de savoir ancestraux, et du fonctionnement du Tout.

L’Énergétique qu’est ce que c’est?

Il existe ce que l’on appelle une énergie vitale qui circule en chacun de nous. Ce flux d’énergie reste difficile à définir, c’est une force subtile, à la fois physique, mentale, spirituelle… Tout flaccidité de notre ‘corps énergétique’ entraîne, avec plus ou moins de délai, une vulnérabilité du ‘corps physique’ : les conséquences sont multiples et nous bloques sur notre chemin. Cette énergie joue donc véritablement le rôle de protecteur du corps physique.

L’énergétique, c’est donc l’utilisation de l’énergie vitale qui nous entoure, de la capter et la transmettre le plus « purement » possible. Cela se joue sur l’intention consciente, plus mon intention est « pure » ; est « amour inconditionnel », plus elle aura d’impact, de force vitale pour celui qui en reçoit.

L’aura qu’est ce que c’est?

L’aura peut être défini par ce qui émane de nous, en terme de vibration et de champs électromagnétique.  Le corps subtil réfère au «corps éthérique», le mot «subtil» prend souvent le simple sens d’«invisible» . Attention vous pourrez trouver d’autre nom pour chaque corps, repérer la distance de le numéro de la couche énergétique dans ce cas.  On peut trouver beaucoup de chose sur internet et qui peuvent se contredire. Comme chacun est différent il est possible, que cela se passe aussi dans les corps subtils. Donc tu peux demander pendant une méditation ou se trouve « mes vies antérieures dans mes corps subtils » et avoir la réponse.

Photo formation en  Champ Aurique

Les différents Corps subtils de l’aura

Notre propre apparence ne se limite pas seulement à notre enveloppe charnelle. Nous possédons également une enveloppe énergétique constituée de 7 corps subtils qui sont imbriqués et se chevauchent  les uns dans les autres. 

Plus précisément et dans l’ordre :

  1. Le corps physique contient le corps éthérique,
  2. le corps éthérique déborde du corps physique et interpénètre le corps astral,
  3. le corps astral interpénètre le corps mental,
  4. le corps mental interpénètre le corps causal,
  5. le corps causal interpénètre le corps bouddhique,
  6. et pour finir, le corps bouddhique interpénètre le corps atmique.

Tous ces différents corps s’interpénètrent en même temps qu’ils interpénètrent le corps physique.

Chaque corps vibre à sa propre fréquence, le corps physique étant celui qui possède les vibrations les plus basses. Plus les corps suivants sont éloignés du corps physique et plus leurs vibrations sont hautes.

Le corps physique

Le corps des expériences.

C’est le véhicule de notre âme pour venir expérimenter sur cette terre les événements de la vie. Ce corps physique doit être entretenu pour pouvoir utiliser et maintenir en bon état les autres corps énergétiques. Il est le siège de l’aura et des chakras et il est relié plus particulièrement au 1er chakra, le chakra racine. Le corps physique est constitué de matière dense et est donc par rapport aux corps suivants celui qui vibre  le plus lentement.

Plus les corps subtils suivants sont éloignés du corps physique et plus ils vibrent rapidement.

Le corps éthérique

Le corps de la vie. On l’appelle également le corps vital.

C’est le 1er corps constitué de matière subtile, le plus proche du corps physique. Il est semi-matériel. Il englobe, pénètre et déborde du corps physique de quelques centimètres. Il épouse fidèlement la forme du corps. C’est le corps éthérique qui anime le corps physique. Sans lui le corps serait sans vie. Il assure l’activité des fonctions vitales et les échanges énergétiques au niveau des différents corps subtils. C’est dans ce corps subtil que se trouvent les méridiens, canaux d’énergie, et les chakras qui qui captent les énergies cosmo-telluriques et les redistribuent dans tous les corps. Pour ceux qui peuvent le percevoir, sa couleur va du gris au gris bleuté et même parfois jusqu’au bleu vif. Son apparence reflète l’état de santé du corps physique.

Il est relié au 2e chakra, le chakra sacré.

Le corps astral

Le corps émotionnel.

Ce corps contient toutes nos émotions, désirs, passions, humeurs, joies et peines. Sa couleur n’est pas constante et change continuellement selon nos émotions du moment. C’est également avec ce corps subtil que nous voyageons dans nos rêves. Il permet de se déplacer dans les plans astraux. Il est relié au 3ème chakra, le chakra du plexus solaire.

Le corps mental

Le corps de la réflexion.

Il est le siège de l’intellect, de toutes nos pensées, de notre conscience primaire. Son état dépend de la qualité de ces dernières et de notre évolution spirituelle. Il forme notre personnalité. C’est avec ce corps que nous pouvons aussi faire de la visualisation créatrice. Il est représenté sur les anciennes peintures par une auréole de lumière autour de la tête.

C’est dans le corps mental que l’on trouve ce que l’on appelle les tubes de perceptions sensorielles. Ceux situés au niveau de la tête permettent d’expérimenter la clairvoyance, la clairaudience et la clair-olfaction. D’autres tubes placés sur les deux mains permettent quant à eux de ressentir les énergies.

Le corps mental est divisé en 2 parties distinctes :

  1. le corps mental inférieur (en relation avec le corps astral) et le corps mental supérieur (en relation avec le corps causal). Le corps mental inférieur : raisonnement par le biais de la logique, il fait appel à la personnalité, à l’ego et est influencé par son savoir, ses acquis et ses émotions.
  2. Le corps mental supérieur : accès à son intuition, aux idées innées et créatives. Pensées qui viennent de l’esprit et du divin. La couleur du corps mental est le plus souvent jaune. Le corps mental est relié au chakra du cœur.

Le corps causal

Le corps de la mémoire lointaine

C’est ici que nous emmagasinons la mémoire de toutes nos vies antérieures, de nos expériences passés, et des acquis dans notre vie actuelle. Tous nos traumatismes passés sont inscris ici et peuvent affecter notre vie présente. Figure également ici la cause de notre réincarnation actuelle, les buts et missions que nous sommes fixés d’expérimenter dans cette vie. Ce corps permet donc d’avoir accès aux annales akashiques. Il est le siège de la conscience supérieure. Il est relié au chakra laryngé, gorge.

Le corps bouddhique

Le corps de la connaissance

Ce corps rarement formé chez la majorité des personnes, ne se rencontre que chez les saints ou les personnes ayant atteint une grande spiritualité. Il permet l’illumination spirituelle, la connaissance totale de toute chose et d’atteindre la conscience divine. Ce corps permet de rentrer en communication avec nos guides spirituels et nos anges. Il est relié au chakra frontal, troisième œil.

Le corps atmique

Le corps de la conscience cosmique

Ce corps également appelé corps divin est le siège de la conscience cosmique. A ce stade, nous avons achevé le cycle des réincarnations. Nous ne faisons qu’un avec l’univers et faisons partie de la conscience de Dieu. Il est relié au chakra coronal.

Les 7 Chakras

Les chakras sont des centres énergétiques répartis le long du corps, de la base de la colonne vertébrale au sommet du crâne. Ils représentent notre anatomie subtile et remplissent une fonction aussi bien physique que psychique. Je l’ai déjà évoqué dans un précédant article ici, puis ici. Ils sont fréquemment nombrés à 7 mais réellement il y en a beaucoup plus que cela.

Les chakras ne s’inscrivent pas en tant qu’organes physiques, mais relèvent du corps subtil. Ils sont cependant en relation avec les plexus nerveux, les glandes endocrines et certains organes, selon leur localisation.

De même, toute une activité émotionnelle et psychique leur est associée, ainsi que certains sentiments. Les chakras régulent donc la structure et l’activité du corps physique, de l’énergie vitale ainsi que les différents états de conscience. Tous les chakras sont connectés les uns avec les autres et fonctionnent en interdépendance. À eux tous, ils forment l’unité du corps énergétique.

Correspondances :

Aspects psychologiques – Plexus nerveux – Glandes endocrines

Septième chakra : conscience universelle et divine, unité et illumination – centre coronal – glande pinéale
Sixième chakra : intuition, perception intérieure, facultés psychiques et cognitives – plexus choroïde – hypophyse, hypothalamus
Cinquième chakra : communication, expression, créativité – plexus laryngé – glande thyroïde
Quatrième chakra : centre affectif, sentiments, harmonie, amour compassion, bonté, paix – plexus cardiaque – thymus
Troisième chakra : sensibilité, personnalité, image de soi, volonté, puissance – plexus solaire – glandes surrénales/pancréas
Deuxième chakra : sensations, émotions, instincts, sexualité – plexus hypogastrique – gonades
Premier chakra : stabilité, sécurité, survie, matérialité, équilibre fondamental – plexus pelvien – siège de l’énergie kundalini

Anissa Ouaklani (Bio-énergéticienne) évoque un positionnement que je partage qui est celui ci:

“Travailler positivement sur soi, sur son évolution, c’est travailler sur ses corps subtils, c’est les maintenir en bonne santé (l’aura n’est pas terne, trouée, …), et c’est donc se maintenir en bonne santé physique, mentale, et émotionnelle. C’est prendre soin de soi. Mais il faut travailler dans le bon ordre ! Il ne sert à rien de vouloir accéder à ses vies antérieures, ou à une grande spiritualité, si l’on n’a pas d’abord défricher ses pensées rationnelles limitantes, ou si on n’a pas travaillé sur son émotionnel.”

C’est le principe d’utilité, de curiosité que d’aller voir dans les vies antérieurs, mais il y a l’intérêt de s’occuper de soi en premier lieu, le Soi du présent, de cette incarnation. De comprendre qui l’on est et d’ou on vient en regardant le transgénérationnel. Cette quête prend déjà du temps, de l’énergie, mais encore plus toute une vie.

*Ne pas se substituer à l’avis d’un médecin, car ce travail d’équilibrage des corps ne guérit pas, même si les résultats sont remarquables!  (et résultats remarquables d’incompréhension de la part du corps médical classique)

Sources: Tenzin Wangyal Rinpoché – Guérir par les formes, l’énergie et la couleur – Éditions Claire Lumière // http://www.test-chakras.fr // http://lalignementceleste.com // www.centrephi.fr // transmission par Michel / Arcturius. // Photos: @pinterest

Dépendance affective et/ou Co-dépendance dans le voyage d’incarnation de Soi?

Il est vrai qu’il ne faut pas réduire ces interactions et modes relationnels au seul voyage des liens d’âmes quel qu’ils soient. Il est important de le noter. En effet, on peut effectivement se retrouver en proie à ces problématiques dès lors qu’il y a relationnel: Amoureux, amical, familiale… et j’en passe.

Cependant ce qui Moi me préoccupait, était d’éclaircir ce schéma dans ce voyage précisément. Pour quelle raison, me direz vous? Simplement une réaction à beaucoup de lectures et de visionnages de vidéos sur le sujet, ou apparaît sans fin la dépendance affective et ou cependant dans ce macrocosme d’informations, je ne me retrouve que dans un seul. Oui un seul parmi des milliers qui précise que non, dans ce “lien”, “processus” ou tout autre nom que vous donnerez à cette relation particulière, il n’est pas question de dépendance affective. Et oui, je partage ce point de vue.

Je vais vous l’exposer ici. Mais il est essentiel de reprendre les définitions de chaque principes.

Que nous dit la dépendance affective ?

Qu’elle est une addiction, et oui, on est accro à l’autre !
La dépendance affective est le fait de ne plus vivre pour soi mais pour l’autre. En s’effaçant totalement face à son partenaire, cet autre avec qui l’on est en relation. Le dépendant affectif sombre peu à peu dans la passivité, ou l’a non – action en mouvement. Les personnes qui souffrent de ce type de dépendance ont souvent peu confiance en elles et recherchent sans cesse l’approbation de l’autre dans toutes leurs entreprises. Elles ressentent une peur panique à l’idée d’être abandonnées et vivent la relation quel qu’elle soit, comme un combat de tous les jours.

La dépendance affective peut être le fait d’un seul des partenaires uniquement.

La dépendance affective dans un couple est un lien d’âme soeur. Et de plus je ne parlerai plus de relation amoureuse, mais d’état amoureux. Car il ne s’agit alors que d’une relation non saine, déséquilibrée, donc un état non pas une relation. Mais cela fera l’objet d’un autre billet.

Dans la dépendance affective, il y a l’idée qu’on doit tout faire pour mériter l’amour de l’autre, jusqu’à oublier ses propres besoins. C’est cette croyance d’avoir besoin de l’autre car l’autre est responsable de mon bonheur. On est bien d’accord que cela est inconscient. Et cela, sans pour autant que l’autre est ce même besoin. Cela ce confirme souvent car l’autre est très indépendant, menant sa vie comme il la chante. Cela nourrit encore plus la peur d’abandon du dépendant affectif.

Les 9 signes de la dépendance affective

1- Avoir du mal à prendre des décisions sans conseil ni validation d’un tiers.

2- Compter sur d’autres (conjoint, famille, amis) pour assumer les responsabilités dans les domaines importants de sa vie (revenus, gestion administrative, santé, organisation domestique…).

3- Craindre et éviter tout désaccord avec son interlocuteur (peur des conflits, d’être rejeté, exclu).

4- Avoir du mal à démarrer des projets ou à faire les choses par soi-même.

5- Se sentir anxieux ou complètement détendu quand on est seul, à la pensée de l’être.

6- Se rendre spontanément responsable de ce qui ne va pas (dans le domaine privé ou professionnel).

7- Se sentir obligé de satisfaire les demandes et besoins d’autrui.

8- Avoir vraiment besoin de l’approbation et du réconfort des autres.

9- Être incapable de poser et de défendre ses propres limites.

«Ils sont dépendants à tous les points de vue. Ils adhèrent aux idées et aux comportements des personnes qu’ils fréquentent»


Quentin Debray, professeur de psychiatrie

Que nous dit la codépendance émotionnelle ?

Les codépendants affectifs se sentent responsable du monde entier, 
mais refusent d’assumer la charge et la bonne marche de leur propre existence.  Autant vous dire que si vous ne vous sentez pas sauveur de l’humanité, altruiste et porté sur les autres plus que vous même vous n’êtes pas dans une codép. Comme son nom l’indique, la co-dépendance est la dépendance de deux personnes l’une à l’autre.

En codependance, on se pose en sauveur de l’autre car il y a un vide affectif à combler mais au delà, on se pose en Etre à sauver dans le besoin du sauveur (l ‘autre codépendant qui est en relation avec soi) car lui aussi à un vide affectif à combler.
Un peu comme 2 pièces qui s’emboîtent parfaitement, un peu comme le Yin et le Yang. Et une fois que l’un, celui qui souvent est dans la peur de l’abandon, vibre à l’autre qu’il peut être heureux seul, donc indépendant, car ayant avancé sur son chemin d’éveil, l’autre ne peut plus être dans cette relation, car elle ne comble plus ses manques, ayant cette peur de rejet, il va donc ne plus être possible pour les deux de maintenir la relation stable. Il y aura alors séparation.

La personne codépendante se sent constamment responsable des émotions et des états d’âme des autres.

En peu de mot, on peut dire que la personne codépendante est graduellement devenue accro à la résolution des problèmes des autres, c’est devenu son mode de vie par défaut. et d’ailleur cela se retrouve dans les choix de professions. De la même façon, les problèmes des autres causant une énorme anxiété chez elle, elle ne peut s’empêcher de vouloir trouver une solution afin de calmer celle-ci, d’essayer de rendre l’autre personne heureuse ou de calmer ses humeurs excessives. Ces autres qui sont aussi dans cette co dépendance, puisque je le rappelle il s’agit d’un mode de fonctionnement en duo, un effet miroir.

Le co-dépendant décide inconsciemment de se sacrifier dans l’espoir de le sauver, et est le plus souvent déçu.

L’origine du mal-être

Que des manques: d’Affirmation de soi, d’estime de soi et de confiance en soi. Cela vient de l’enfance

Qu’est ce qui caractéristiques la mise en lumière de la co-dépendance émotionnelle?

Comme je l’ai précisé au départ, je ne suis pas de celle qui parlerait de dépendance affective dans une relation. Je prends position et ce n’est que ma propre vision, celle qu’une relation de dépendance affective, n’est pas commune systématiquement aux deux, mais surtout a un des deux acteurs de la relation. Puisque qu’elle ne concerne qu’un des deux partenaires dans une relation de couple, on parle de blessures, blocages et bien d’autres problématiques en commun (même si traitées psychiquement de manière différentes). Dès lors que les deux sont dans une addiction, cela deviens de la codépendance. Je vous invite alors à observer vos interactions, vous seul êtes en mesure d’y trouver du sens.

Pour être plus précise, je suis celle qui avait peur de l’abandon, qui suis dépendante affective dans mes états amoureux, notamment dans ma relation “non saine” à mon actuel compagnon de vie. Une relation de dépendance, est de Celle ou je cherche à entrer dans chacune des relations à l’autre ou je veux le sauver. Je précise donc que si celui-ci en fut ou en est (oui je me soigne mais ça ne part pas en 3 sec) réceptif et souhaite mon aide, alors je plonge dans mon addiction. Me posant en hauteur – sauveur, et rentrant dans une relation passion qui n’a de cesse que de nourrir ma codépendance. Puis que l’autre aussi recherche en moi ce qui le rend codépendant.

C’est en cela que la codépendance, l’attachement ne peut avoir sa place dans une relation. Les personnes se font miroir sur des mécanismes mis en place dans d’autre relations, pour nettoyer non pas entre elles ou vis à vis d’elles cette problématique. Car deux âmes en relations sont totalement capables de vivre seules, et le cherche d’ailleurs, ce mode de vie indépendant. Etant dans des relations aux autres, conjointes, répondant au sauveur- sauvé fait d’ombre et de lumière. Elles se reflètent cela.

Rappelez vous que la vraie nature de l’Être est d’être libre, et non d’être enchaîné et codépendant.

Les âmes sont deux polarités majeurs différentes comme le + et le -. Il ne s’agit pas de deux moitiés mais de deux entiers qui, au contact l’une de l’autre, gagnent en puissance. Elles sont entières et n’ont pas besoin de l’autre pour exister. Néanmoins, comme elles sont de même essence et de polarité différente, elles s’apportent mutuellement soutien, encouragement, efficacité, performance.

Un+uN = UN

Mais quand le lien est en suspend, quand la distance est le pendant de ce voyage, il met en écho ceci: Le silence comme seul écho est le pire miroir du vide de son âme.

Il est important alors de constater que toutes ses dépendances ont été présentées, ancrées en Soi et qu’il faut avancer et s’en délester. Je me suis engagée pleinement dans la résolution du vide épique, afin de progressivement sortir des dépendances, et être enfin libre de ces chaînes.

on vous invites désormais à cesser de regarder dans votre rétroviseur. C’est ce que j’ai décidé de faire et j’ai pris des décisions fortes. La joie de vivre retrouvée, après un voyage divin mais difficile, j’ai enfin compris que ma mission était d’être indépendante.

Sortir de la dépendance affective

  • Reconnaître la dépendance
  • Prendre la responsabilité, c’est parfois dur pour l’ego, mais c’est indispensable . C’est sur notre comportement, ainsi que sur notre présent qu’il nous est possible d’agir
  • S’aimer Soi, sans culpabiliser et avec beaucoup de compassion pour ces démarches qui seront parfois sensibles.
  • Apprivoiser la solitude et s’autonomiser
  • Parler, être entendu pour être honnête enfin envers soi
  • Cultiver le positif en soi et autour de soi, pour rompre avec les vieux schémas

Sortir de la codépendance

  • Devenir responsable de soi – même et ne plus se projeter vers l’autre
  • Se détacher des personnes qui reçoivent mais ne donnent pas et harmoniser son donner – recevoir afin de ne plus toujours s’accrocher aux vases communicants et à la nécessite de prendre soin de l’autre
  • Il s’agit de lâcher prise par amour, se désinvestir mentalement, affectivement voire même physiquement
  • Réfléchir, ressentir et agir dans notre propre intérêt
  • Prendre conscience que nous n’avons pas à abdiquer notre pouvoir de réflexion et d’émotion en faveur d’un objet ou d’une personne extérieure à nous
  • Vivre sa vie et laisser derrière nous celui qui ne la partage pas de quelque manière que ce soit. La présence.

Pour conclure

La non-dépendance est l’équilibre souhaitable par lequel on admet et on satisfait son besoin naturel des autres et de leur amour sans pour autant développer une dépendance excessive et destructrice à leur égard.