Les 4 états de Conscience.

 

 

 

La conscience qu’est ce?

Définition de la Psychanalyse :
Chez Freud, la conscience n’est que la surface d’un iceberg entièrement immergé et constitué par le pouvoir de l’inconscient. La conscience n’est que “ce qui est connu de soi-même” : “il se passe dans le psychisme bien plus de choses qu’il ne peut s’en révéler à la conscience” (citation de Freud issue de Essai de Psychanalyse).

 

Définition clinique :

La conscience représente l’ensemble des sentiments et des pensées d’une personne et comprend la connaissance de sa propre existence, ses sensations, la perception et l’interprétation de son environnement et de son monde intérieur. En pratique, on peut évaluer le contenu de la conscience du monde extérieur en analysant les gestes moteurs volontaires et reproductives exécutés en réponse aux ordres simples.

Pour le clinicien, la conscience nécessite à la fois l’éveil* et la perception* consciente du monde extérieur.

 

L’éveil (clinique) présente un continuum de comportements, du sommeil profond à l’éveil total. Ce n’est pas non plus un mécanisme de tout ou rien : même durant le sommeil, nous restons sensibles au monde environnant, et une stimulation extérieure intense, inattendue ou nouvelle peut nous éveiller. L’éveil (spirituel ou encore « illumination), s’évoque et se retrouve souvent dans les pensées bouddhiste et à l’hindouiste, désigne un état de conscience supérieur. Cette notion évoque traditionnellement une libération totale de l’ego (en tant que « moi » commun) et l’avènement d’une nouvelle conscience unifiée avec l’univers ou avec le divin, selon les croyances. Un tel état de conscience qui ne pourrait, par nature, être défini par les mots, est censé ouvrir l’individu à la connaissance spirituelle, au ravissement de l’âme, à un sentiment de communion ou une perception holistique de l’existence.

 

Les 4 plans de conscience :

 

 

 :

      « L’esprit est un bon serviteur et un mauvais maître »

H.P Blavatsky

 

Le mental est un ensemble qui vous a été donné. Il ne vous est pas intrinsèque. Le mental est cultivé, il est ce que la société a implanté en nous. Il n’est pas Nous. La conscience est notre nature, le mental est juste la circonférence créée par la société autour de nous, par la culture, par votre éducation. Il est donc notre conditionnement, la logique, ce qui nous permet de comprendre notre environnement, de nous y adapter.

Le mental ne peut pas être tue, ni silencieux. Si le silence est là, il n’y a aucun mental. Lorsque le mental est présent, il n’y a aucun silence. Il nous perturbe, est une maladie. Le mental est une rivière, courant de pensée, créant des pensées tel un flux éternel. Le mental se déplace dans le temps, paradoxalement la conscience vit sans notion de temps. Il ne nous permet pas de s’ancrer, et d’Etre soi.

Il est la logique, cette voix de schéma, de préjugés et stéréotype, de masque et faux – self. Le siège de l’Ego.

 

Comment le faire taire?

Cela n’est pas possible, cependant on peut le dompter. Ne plus être “victime” de son mental, bourreau de sa vie, mais de faire qu’il serve l’âme. La méditation et le changement de la pensée, permette de lâcher son mental, ainsi à force de pratique, vous ressentez un certain calme et une certaine paix. C’est le début de l’ état naturel de fusion consciente avec l’Être qui est, généralement, obscurcie par le mental.

 

Lorsque vous pénétrer de plus en plus profondément dans cet état de vide mental ou de « non-mental », comme on le nomme parfois en Orient, vous atteignez la conscience pure. Et dans cette situation, vous ressentez votre propre présence avec une intensité et une joie telles que toute pensée, toute émotion, votre corps physique ainsi que le monde extérieur deviennent activement insignifiants en comparaison.

 

 

:

 

“Le corps peut réagir à une menace avant même qu’elle ait été consciemment identifiée. “

Serge Tisseron

 

Longtemps mis de côté par la psychanalyse, ravalé au rang de machine par la médecine classique, le corps est en train d’opérer un sérieux come-back en Occident. En témoignent le développement des thérapies psychocorporelles, l’engouement pour les techniques orientales comme le tai-chi, le qi gong ou encore le yoga, mais aussi, paradoxalement, des mises en scènes artistiques ou médiatiques dans lesquelles la présence du corps est affirmée dans l’outrance et la provocation. Aujourd’hui, ces corps « piercés », tatoués, hypersexualisés, tels qu’on peut les voir dans la rue, la publicité ou la mode, ne sauraient être réduits à une simple opération commerciale, mais annoncent un retour en force du corps dans notre culture.

 

Le corps à l’insu de la conscience ne cesse de résoudre des situations complexes. Il possède ses signaux, ses systèmes d’information et de commande. Parfois, il ouvre la voie à une possible transmission de l’indicible, l’inimaginable, l’incompréhensible, le non-symbolisable. Le corps a ses mémoires. Dès lors qu’on accepte qu’il n’y a pas de différence entre le corps et l’esprit, qu’il n’y a pas de pensée sans corps ni de corps sans pensée, une réflexion devient possible sur l’intelligence des corps.

 

 

 

:

 

“Au commencement était l’émotion.”
Louis-Ferdinand Céline 

Lorsque vous commencez à vous ouvrir à ce chemin spirituel ou lorsque vous cheminez depuis un certain temps, vous êtes beaucoup plus fragiles émotionnellement parce votre fréquence vibratoire est moins dense. Vous n’avez donc pas de couches de protection. Certains moments sont donc pénibles parce que les larmes viennent facilement aux yeux.

L’émotionnel a une immense importance ! C’est l’énergie générée par votre centre émotionnel qui dirige vos pensées, vos sentiments et vos relations avec les autres.

Comment pouvoir travailler, discipliner ce centre émotionnel ?Tout simplement en comprenant son fonctionnement !

Le centre émotionnel gère deux énergies : les émotions positives qui vous propulsent vers l’avant et les émotions négatives qui vous clouent sur place. Il faut donc apprendre à faire le tri, à prendre ce qui est bon pour vous, ce qui vous élève et à transformer ce qui vous empêche d’avancer.

Comment le faire ? Simplement en les reconnaissant ! Quand une pensée perturbatrice émanant de votre centre émotionnel se présente à vous et parfois même vous submerge, prenez du receul par rapport à cette émotion, regardez-la et dites lui  : Je te reconnais mais tu ne me déstabilisera pas ! Je t’envoie tout l’Amour que je suis capable de te donner et te demande de me quitter !

Faites-le une fois, deux fois, trois fois et vous verrez avec quelle aisance vous stabilisez votre centre émotionnel. Mais tant que vous serez perturbés par un non lâcher prise, par une souffrance quelle qu’elle soit, votre centre émotionnel générera ces émotions négatives qui vous cloueront sur place, qui vous perturberont.

Plus vous avancerez, plus vous réussirez à rester centrés. Si vous arrivez à élever votre fréquence vibratoire, quitte même à ne plus être protégés de la même façon par la coque de votre matière dense, vous arriverez à comprendre réellement votre fonctionnement au niveau émotionnel et vous n’aurez plus aucun problème.

N’oubliez pas que certaines maladies prennent naissance dans votre centre émotionnel, entre autres les dépressions. Tout peut se gérer avec des prises de conscience. Un jour vous prenez un peu conscience de quelque chose, le lendemain d’une autre chose, et c’est ainsi que vous évoluez, par petites prises de consciences successives.

Ne bloquez pas vos émotions ! Laissez-les s’exprimer, même au travers des larmes, mais essayez vraiment de les comprendre  pour les reconnaître et faire ce que nous avons dit : leur parler, les éclairer afin qu’elles s’en aillent ou soient simplement absorbées par l’Amour que vous leur enverrez. Nous parlons essentiellement des émotions perturbatrices.

Chacun gérera son centre émotionnel selon son niveau de conscience et son évolution. Il n’y a pas de méthode unique, il y en a plusieurs et chacun trouvera la sienne s’il veut réellement se recentrer en permanence. Nous vous donnons une petite méthode mais il en existe bien d’autres. »

Monique Mathieu

 

 

 

:

 

“La spiritualité a besoin d’être cosmique, de nous permettre de vivre avec vénération le mystère de l’existence, avec gratitude le don de la vie et avec humilité dans le lieu que l’être humain occupe dans la nature.”

Leonardo Boff

Ce qui est de l’ordre de l’esprit ou de l’âme, qui concerne sa vie, ses manifestations, qui est du domaine des valeurs morales et intellectuelles; (personne) qui étudie ce domaine.Qui est esprit, qui n’a pas de corps.

Il est très difficile d’expliquer le spirituel, mais je crois revenir souvent sur le sujet.

C’est un mot très utilisé dans la religion, où on le définit comme ce secteur de la vie où se trouve Dieu. Mais la religion n’est pas la seule dimension qui parle du spirituel. D’un point de vue philosophique, ce mot peut avoir d’autres significations. En dehors de la religion, nous avons tendance à penser que le spirituel est la même chose que le psychologique. De ce point de vue, ce qui compose cette spiritualité serait toutes les pensées, les sentiments et les émotions qui nous habitent. Mais ce n’est pas tout à fait vrai : le spirituel va au-delà du psychologique.

 

Les philosophies et les pratiques qui définissent le spirituel comme un tout qui donne un sens de transcendances à la vie sont très nombreuses. Dans cette perspective, le spirituel a un lien avec la pratique de la vertu, dans le but d’atteindre un état de liberté ou de libération ou, en tout cas, de plus grande évolution.

La conscience spirituelle est difficilement atteignable par tous, dans le sens ou elle nécessite que l’on s’investisse dans le monde de soi profond, dans le besoin et l’envie de se rencontrer. Cela implique des étapes d’apprentissage et l’éveil vers Soi.

 

 

Source*

[1] Freud – Essai de Psychanalyse
http://www.laconscience-espace.com
https://developpement-personnel-club.com
http://www.osho.com
http://www.chaouqi.net/index.php?2010/02/25/39-comment-se-liberer-du-mental
http://ducielalaterre.org
https://nospensees.fr

La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 3.

 

 

Combinaison des spiritualités et de la Psychothérapie

 

 « Le monde à besoin d’un supplément d’âme»

Henri BERGSON 

 

Qu’est ce que la Psychothérapie ?

Elle désigne le traitement ou l’accompagnement par un individu formé a cela, d’une ou plusieurs personnes souffrant de problèmes psychologiques, parfois en complément d’autres types d’interventions à visés thérapeutiques.

 

Qu’elle est la différence entre Psychologie et Psychothérapie?

La psychologie est un ensemble de modèles, de théories et de cartographies sur la psyché et les désordres mentaux alors que la Psychothérapie est le moyen mis en œuvre pour soigner les pathologies psychiques et psychosomatiques.

Étymologiquement le mot psychothérapie signifie soigner la psyché c’est à dire le psychisme.

Il existe presque autant de types de psychothérapie qu’il y a d’écoles de psychologie.

 

La place de la Psychothérapie dans une démarche de soin?

Nos concepts de santé et de maladie sont marqués par notre vision du monde et notre culture. La pratique de la psychothérapie n’intervient pas dans un espace dépourvu de valeurs. Je pense qu’il est important ici, de restituer ce que l’on entend pas “Une combinaison de spiritualités”.

 

Qu’entends – je par combinaison de spiritualités?

Ce qui est proche dans les démarches spirituelles et psychothérapeutiques, c’est que chacune vise à trouver un bien-être Psychologique, mais par des voies différentes. Les démarches spirituelles proposent une combinaison de méthodes, d’outils, ou la personne vise à être une personne réalisée, une personne qui se prépare à vivre des états de plénitude, ou de révélation, d’éveil, d’évolution de conscience…

L’objectif commun à ces méthodes et aux personnes qui s’y dirigent, est de tendre à un confort Psychologique, un état ou la personne va pouvoir traverser les différentes étapes de sa vie, de manière plus sereine. Et chaque personne utilisera une méthode, propre à elle, donc différente de celles des autres.

On parle ici principalement de méthodes ! Et je ne parle que de celles que je connais et que j’ai pratiqué, testé.

 

“Il y a une évolution normale de la psychothérapie vers le spirituel et qu’elle est tellement naturelle qu’il ne faut en aucune façon forcer la voie, pousser les choses et inciter les personnes à découvrir une dimension spirituelle. D’ailleurs, toute pression va à l’encontre du spirituel. De plus c’est totalement inutile car le mouvement naturel du travail sur soi ou du développement personnel débouche, selon mon expérience, sur une dimension spirituelle.”

Jacques de PANAFIEU

 

 

 

S’envoler vers Soi, c’est rencontrer un ensemble de techniques, telles que :

La Méditation : Les principes de «pleine conscience» et d’«acceptation non évaluante» tirés de la méditation ont été repris dans une approche de «psychothérapie reposant sur la pleine conscience»

Mais encore :

Il existe un nombre impressionnant d’autres méthodes, mais je le rappelle, je ne parle ici que de celles que j’ai testé. Par exemple, dans la Psychothérapie que l’on appelle « Approche Centrée sur la Personne » le cheminement vise à permettre à la personne de devenir « une personne qui fonctionne pleinement et seule».

 

Points de vigilance?

“Quel pouvoir le thérapeute exerce-t-il pour faire passer ses propres valeurs et méthodes? Quand commence la manipulation? Mais ces questions valent pour l’ensemble de la pratique psychothérapeutique.

Il m’apparaît important que les thérapeutes et les représentants associatifs connaissent l’évolution historique de leur spiritualité et de leurs convictions (valeurs), et soient capables de la refléter dans leur expérience personnelle et leur supervision. Il est nécessaire de clarifier avec le patient s’il voit la spiritualité comme une ressource ou si elle lui est complètement étrangère. Naturellement, l’usage de chaque méthode impose une formation adéquate.”

Laurent Schachmann

 

 

 

Pourquoi combiner les deux?

La psychothérapie combinée avec les méthodes spirituelles à visées thérapeutiques, élargit de façon importante le champ des psychothérapies puisque celle – ci inclut le fait que les êtres humains sont multidimensionnels et que leur vie actuelle n’est qu’une étape, amorçant un mouvement bien plus vaste.

Effectivement, son efficacité sera remise en question par les détracteurs, mais dans les cas spécifiques de personnes réfractaires, physiquement (ou cas rebelles) aux thérapies conventionnelles, est exceptionnelle. C’est ce qui motive de plus en plus de thérapeutes à s’intéresser à cette approche qui aborde le monde de l’inconscient d’une manière beaucoup plus performante que les techniques intellectuelles ou purement psychologiques. C’est aussi parce que celle – ci fait ses preuves que de plus en plus de patient, de personne, s’y tourne.

 

 

En bref !

Imposer une conviction, quelle qu’elle soit, constitue un abus de pouvoir, tandis qu’exclure du traitement le développement spirituel de l’Homme est une erreur de traitement.

«Il est tout aussi important de distinguer psychothérapie et accompagnement spirituel que de noter leur complémentarité dans le quotidien thérapeutique. L’accès au psychique n’est pas unidimensionnel. Une aide immanente et transcendante peuvent se compléter…» (Hell, D. 2013, p. 206).

Grom (2012, S. 200) dresse le bilan suivant: «La religiosité/spiritualité peut-elle être considérée comme un facteur de guérison à la différence d’autres facteurs non spécifiques et en complément de ceux-ci? Oui, dans un environnement fini, en toute assurance et avec le spectre d’indications le plus large possible, si elle est intégrée dans une psychothérapie professionnelle éprouvée.»

 

Je suis respectueuse de la démarche que chacun entreprend dans la quête de son bien – être Psychologique, de son corps, que cela soit d’un point de vue purement médicale, ou paramédicale, d’un chemin dit de développement personnel, d’une psychothérapie, tout ceci sans les hiérarchiser.

La personne est le moteur de son accompagnement. Dans tout mouvement il y a aussi la liberté que chacun prend, de changer la nature de son engagement vers Soi. La consultation de soin, qu’elle soit une étape ponctuelle ou longue, d’entretiens dit: thérapeutiques, constitue une démarche globale et personnelle.

C’est la personne qui est en besoin de soin et d’accompagnement qui peut qualifier sa démarche et ainsi la valider en faisant appel à un professionnel compétent.
En parallèle, le professionnel de l’accompagnement est lié à la dénomination qui qualifie son champ d’intervention et la méthode qu’il à choisi d’y associée. parce qu’une méthode y est forcément associée, tout comme un courant de pensé, une croyance professionnelle et un positionnement professionnel.
Par exemple, l’engagement, le caractère de la profession de Psychothérapeute fait l’objet d’une charte professionnelle générale. Cette caractérisation est encore plus affinée selon l’école du Psychothérapeute.

 

“On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte que l’on en a qu’une.”

Confucius

 

XoXo

C.

 

 

 

Sources*

  • Doris Signer-Brandau, Psychothérapeute ASP reconnue au niveau fédéral, spécialiste en thérapie intégrative et Gestalt-thérapie depuis 1977
  • Sigmund FREUD, et son travail sur l’inconscient et les rêves.
  • Boris Cyrulnik et son oeuvre, Psychothérapie de Dieu,

wiki/Psychothérapie / http://www.psychologie-spirituelle.com/

  • Jacques de PANAFIEU psychothérapeute :

Bibliographie :
– « La rebirth-thérapie » ( éditions Retz )
– « Les séminaires intensifs » et la « clarification » (Editions Bernet-Danilo, collection Essentialis.)

  • Carl Gustave JUNG (1875-1961) Psychiatre et Psychanalyste suisse, fondateur à partir de 1913, de la Psychologie.
  • Roberto ASSAGLIOLI (1888-1974), Neuro-psychiatre et psychanalyste italien, créateur, à partir de 1926, de la Psychosynthèse.
  • Viktor FRANCK (1905-1997), Neuro-psychiatre autrichien, inventeur de la Logothérapie (du grec logos qui signifie : Esprit et Sens signifiant)

 

La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 2.

 

Quel est la différence entre le développement personnel et l’éveil personnel?*

 

 Le développement personnel – Qu’est – ce?

Je me demande souvent son sens actuel, car il est partout, et je me questionne…Forcément, si il devient si populaire, par voie de conséquence, ne perd il pas de sons essence, sens premier?…Je me suis dit que j’allais répondre a mon questionnement.

Il s’agit pour moi, d’une démarche de changement dans laquelle je prends le risque de me rencontrer, en vue de me remettre en cause, me comprendre et comprendre le sens de toutes choses afin de dynamiser autrement mes façons d’être, mes modes de pensées, mes croyances, mes certitudes et mes comportements au quotidien.

Le développement personnel se divise en approches multiformes dans lesquelles on va rencontrer sa vie psychique, sa vie mentale, son corps, sa part de spirituel et de transcendantal. Ce “programme” très ambitieux, nécessite d’ accepter aussi le risque d’ouvrir des portes derrières lesquelles se cachent de vieux schémas, de vieilles blessures et cicatrices pansées ou non.

Un gros risque en somme….

Les outils du développement personnel sont aujourd’hui très nombreux, parfois trop. Ils portent des noms qui renvoient à des chercheurs, des Psychologues ou encore des Psychothérapeutes …. Des professionnels tels que : Carl Rogers et son approche centrée sur la personne, Fritz Perls et la gestalt-thérapie, Stanislav Grof fondateur de la respiration holotropique,  Abraham Maslow cofondateur de la psychologie humaniste, Alfonso Caycedo et la sophrologie, Eric Berne et l’analyse transactionnelle dont sa distinction de trois « états du moi », C.G Jung et son approche de l’Âme et la vie, Martin Seligman et son approche de la psychologie positive….

J’aime aussi aborder le DP du point de vu de l’enfance, alors je m’inspire beaucoup de Françoise Dolto, pionnière avec la liberté qu’elle avait pour mettre en mots l’indicible et son intuition exceptionnelle dans l’écoute des enfants tout comme Maria Montessori qui accompagna les enfants en tenant compte de leur créativité. Mais aussi Isabelle Filliozat, qui me permet de prendre du recul et de changer de point de vu dans une approche plus centrée sur l’éducation positive (*dont je ferai surement un billet au détour d’un besoin)

 

 

« Lorsque nous ne sommes plus en mesure de changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer. »

Viktor Frankl

 

Se lancer dans un développement personnel c’est parler d’ouverture au changement, de mouvement de réalignement du corps, de l’âme et du cœur. Alors ce choix va favoriser un regard de l’autre, un jugement, un rejet, une critique car nombreux sont ceux qui ont peur, de se découvrir et leur réaction très humaine n’est que le reflet de leur propres blessures et immobilisme.

Le développement personnel peut être considéré comme un chemin. Chemin qui aide l’individu à se reconnaître extérieurement en tant que personne à part entière et à reprendre sa place tant intérieurement que dans la société ; cependant, il n’est pas nécessairement profond.

Soyons compatissant.

 

Toute démarche de développement personnel est une épreuve à risques. Ce peut être encore une démarche labyrinthique, anxiogène par les bouleversements qu’éventuellement elle entraîne : nouveaux choix de vie professionnelle, remise en cause des engagements affectifs ou amoureux…

 

Il est donc une méthode, des exercices, un enseignement et un lot d’apprentissage menant soit à une meilleure connaissance de soi et à un équilibre moins fragile de son interieur avec l’extérieur. Soit à l’éveil spirituel, c’est a dire l’intention d’évoluer vers soi qui se fait obligatoirement par un dépouillement important et épuisant (croyances, conditionnements, blessures…).

Le développement personnel (du personæ ego) peut être considéré comme le remplissage par des connaissances, des techniques, alors que l’éveil est selon moi plus un retour vers le Cœur de soi, son cœur, son centre.

Pour autant, le Cœur ne se découvre que dans la nudité. Apprendre donc à faire de la place en soi est nécessaire. Et là, se joue un travail de transmutation profonde, qui engage l’être dans une quête de soi, à vie, à sa rencontre en traversant des étapes qui sont plus ou moins dur.

 

“Du chaos naît une étoile”

 

 L’éveil personnel – Qu’est – ce?

Il s’agit de l’aspect profond du travail sur soi, il est directement lié et connecté avec son interieur. 

 

Ce travail se fait généralement en second partie de l’évolution d’un individu. C’est à dire, une fois que le travail extérieur, l’aspect forme a été accomplis et totalement intégrés par l’âme. La réussite d’une vie spirituelle entière et complète dépendra de l’assimilation de la vie extérieure, de son intégration totale et complète.

 

Contrairement au développement personnel qui attache un rapport entre travail de soi et extérieur en traitant les problématique tel que la famille, la société et le travail, directement en rapport avec l’individu et sa place dans le monde. L’éveil personnel, ou développement spirituel ou encore éveil spirituel, concerne tout le contraire, c’est à dire que le travail est tourné vers son Soi “sacré”. Un soi au delà de l’individu, un soi supérieur, vers l’âme et l’esprit.

Pour s’engager vers cette rencontre, il faut faire la part belle à l’âme et l’esprit en lien avec le corps comme un système complet et complexe dont chaque élément est intiment lié aux autres pour que l’être, l’individu, soi, trouve sa place dans ce monde dual.

 

 

« La vie heureuse, est celle qui est en accord avec sa propre nature. »

Sénèque

 

Ici, il est question d’élévation de la matière. Dans le développement personnel, il est plutôt question de sublimation de la matière. La matière étant ici, NOUS ! mais pouvant être aussi…AUTRE.

C’est de toute façon le seul chemin possible, car quiconque n’a pas terminé, assimilé, intégré la vie dans la matière, ne peut pas réussir sur le chemin spirituel. Il vivra des expériences en boucles, avec cette sensations de vivre de nouveau les même étapes, de revenir en arrière car il n’aura pas appris la leçon.

C’est pour cette raison que la vie matérielle est tout aussi importante que la vie spirituelle. Tel le yin et le yang il est question d’un équilibre des forces, d’un équilibre entre vie interne en soi, et vie interne avec la vie externe. Entre monde terrestre et céleste.

Un large spectre de chercheurs ont d’ailleurs élaborés des théories sur le sujet ( je mettrais des liens en source*). Au travers de la physique quantique et de la connaissance des systèmes, on élargie son point de vu à la connaissance globale du TOUT.

On est sur une élaboration importante entre:” Maîtriser son ego et se tourner vers l’âme”. Mais encore faut il (re)connaitre la notion d’âme et l’accepter afin d’y accéder.

Un travail vers soi qui nécessite de lâcher sa personnalité, conditionnée pour découvrir son essence. Cela passe par des états tel que :

Le lâcher prise

La confiance en notre essence, notre nous véritable

Le décloisonnement,

Le tombé de barrière et l’acceptation de ses peurs.

 

Cependant elle n’est là, qu’une liste exhaustive.

 

C’est une rééducation qui demande de mettre en œuvre certaines qualités et d’adopter certaines attitudes, tel que :

Sincérité et simplicité

Détermination et patience

Cesser d’accuser et de critiquer les autres

Conscience et responsabilité

Se regarder avec tendresse

Rire de soi-même

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

L’attitude spirituelle commence, par exemple, lorsque nous cessons d’accuser les autres de nos malheurs, que nous comprenons que nous sommes seul, seul porteur de notre bonheur et malheur, que nous ne devons rien attendre des autres, que nous sommes notre propre sauveur et que nous sommes notre priorité :

Il est des situations qui sont bien plus difficiles que d’autres pour porter attention à soi et à son Être intérieur, pour lesquelles notre personnalité s’impose. C’est par exemple quand nous nous sentons agressés ou spoliés par d’autres personnes et que nous sommes totalement accaparés par notre émotion. C’est une épreuve très intéressante, car elle nous permet d’aller plus loin dans notre évolution. Le travail consiste à percevoir ce qui est touché en nous et ce que cela révèle de nous. Nous découvrons généralement une vieille blessure, une peur de manquer d’amour, d’être rejeté, etc. Autrement dit, même si l’agression est réelle et doit être traitée concrètement (non en réaction, mais en construisant le meilleur pour nous-mêmes), il est encore bien plus intéressant de voir le message qu’elle nous invite à considérer. Il est une manifestation de l’être intérieur. Les situations auxquelles nous sommes confrontés sont le reflet de quelque chose de nous.

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

Nous appelons cela, les vibrations, basses (négatives) ou hautes (positives) – Sachant que les basses vibrations émises pas notre propre “nous” sont le jeu de l’ego et que les hautes vibrations sont notamment le fait de se détacher et de ne plus chercher à alimenter le négatif environnant.*

Que se soit l’une ou l’autre, se sont des démarches que j’ai entamées, qui sont dures, éprouvantes, déstabilisantes mais une telle rencontre avec soi. Un bouleversement important mais magique, une rencontre d’amour et de surprises. De tout cela, une créativité, une énergie, des émotions et des sensations qui m’on fait comprendre le sens de la vie. Le sens de mon être.

 

“En devenant un agent de changement pour moi-même, je deviens un agent de changement pour autrui. Je deviens, au sens profond du terme, un être planétaire.”

 

Alors oui , la spiritualité n’a rien d’un science exacte, d’une vérité toute faite, elle m’invite, vous invite à la crée en fonction de votre chemin. Je la vois humaniste et liée à d’autres mouvements de pensées. Je vous invite à vous faire votre propre vérité, de la partager, si vous le souhaitez, mais surtout je vous souhaite de trouver le chemin vers les profondeur de votre être.

 

.

 

Sources*

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnel

“Aequus Libra”, que la force soit en ta présence !

La vie n’est supportable que lorsque le corps et l’âme vivent en parfaite harmonie, qu’il existe un équilibre naturel entre eux, et qu’ils ont, l’un pour l’autre, un respect réciproque.
David H Lawrence

 

La vie de tous les jours, je l’observe et l’analyse au quotidien, se sont des micro-décisions, des choix qui font pencher la balance.

Personnellement, en me gardant bien de lourdeurs… je suis balance, je suis hyper – émotive et j’ai bien du mal à prendre des décisions.

Le problème n’est absolument pas mon incapacité à me décider, mais ma tendance à vouloir être bien sûr, avant de prendre une décision, ou de faire un choix…. la maîtrise des éléments.

 

Trouver le juste équilibre.

 

Ceci est – il seulement possible?

“Pourquoi certains n’auraient pas tout? Il y en a qui n’ont rien. Ca fait l’équilibre.” Michel Audiard

 

J’ai donc envie d’aborder ce terme, parce que la société d’aujourd’hui nous présente au quotidien la quête du bien – être, le besoin de se sentir bien, le mot équilibre tout comme l’harmonie ou la paix, reviennent souvent.

Au delà de l’approche théorique de l’équilibre en Psychologie, il y a le point de vue philosophique et spirituel dont je veux parler.

 

L’équilibre en Psychologie

Elle fait état de la notion d’équilibre cognitif, qui a été introduite par Heider en 1946, elle se base sur le postulat que l’individu organise ses relations avec autrui de façon à conserver un système harmonieux. La différence essentielle avec la théorie de Festinger (Auteur et Psychologue, proposant une variante de l’approche de Heider) est qu’elle s’applique aux relations entre les individus.

Je vais rester sur Heider, qui m ‘inspire d’avantage en expliquant son postulat, mais je ne m’aventurerai pas sur la théorie de causalité de l’equilibre, qui ne m’apporte pas vraiment de plus pour le sujet du jour.

 Selon Heider, lorsqu’une contradiction se manifeste dans notre environnement, des forces tendent à restaurer l’équilibre en modifiant les rapports entre les éléments de cet environnement ou en transformant la représentation que la personne s’en fait.

Il existe deux types de relations entre les éléments du champ social (ses sphères, ses amis, sa famille, en clair toutes les personnes qui composent son environnement) d’un sujet :

  • les relations affectives ‘L’ (attitude d’un individu par rapport à une autre personne ou à un objet) et,
  • les relations d’union ‘U’ (similarité, proximité, causalité, association, appartenance).

 

 Selon les hypothèses de Heider :

Il y a équilibre cognitif, si une entité donnée possède à tous les égards les mêmes caractéristiques dynamiques.

  • Dans le cas de deux entités, il y a équilibre si la relation est positive ou négative dans tous les cas.
  • Dans le cas de trois entités, il y a équilibre si les trois relations sont positives à tous les égards ou si deux d’entre elles sont négatives et la troisième positive.

S’il y a équilibre, des forces tendant vers l’équilibre font leur apparition et entraîneront soit une modification des caractéristiques dynamiques, soit des relations d’union.

 

 Quand Heider parle d’entités, on parle de trois “Les triades” éléments et les relations qui les lient.

  • On nomme P, le sujet (Perceiver), O, l’autre (Other) et l’objet (X).
  • On distingue les relations affectives positives L+, des relations affectives négatives L-, mais également les relations d’appartenance positives U+ et négatives U-.

Lorsque l’individu est en état de déséquilibre, il a deux solutions : soit il réalise un acte; émet un comportement, soit il réorganise ses relations avec les “entités” concernées. L’ensemble étant destiné à obtenir une triade équilibrée ou dite: ‘bonne forme’.

 

On peut ramener cette théorie à l’image du tabouret à trois pieds.

Je m’explique:  Si l’on part du principe qu’un tabouret possède trois pieds et que chaque pied représente un pilier de la vie : un pied pour la vie professionnelle, un pied pour la vie personnelle et un pied pour la vie amoureuse.Ce tabouret possède trois pieds de longueurs égales pour se maintenir, stable avec une assise plane.

On peut alors s’asseoir dessus de façon équilibrée.

Si, en revanche, un des pieds est plus long que les autres (autrement dit : si un des piliers de la vie prend le pas sur les autres), l’équilibre est « rompu » : l’assise n’est plus horizontale et la position devient fatigante et de plus en plus difficile à tenir avec le temps. On sent alors apparaître des tensions intérieurs, des mots physique. L’objectif est donc de créer un équilibre entre les trois grands piliers de la vie.

Évidemment, la notion d’équilibre est propre à chacun.

 

Du coté de L’équilibre des Lumières :

« C’est d’après sa façon d’équilibrer sa vie intérieure et extérieure que chacun révèle son intelligence, sa volonté et surtout son discernement. »

L’équilibre consiste essentiellement en une procédure d’ajustement mutuel entre nos croyances générales et nos jugements particuliers, ou l’aboutissement idéal de cette méthode. C’est un état stable, système égalitaire entre deux forces opposées dont la maîtrise de positionnement et de mouvement force les antagonismes à être en juste harmonie. J’entends par force, non pas l’obligation mais la volonté de mouvement, champ d’énergies s’appliquant à tous les êtres vivants. Finalement très proche de la notion de”Force” dans Star Wars…

 

 La notion de l’Aequus Libra est purement philosophique.

On part du principe qu’au démarrage nous allons sur un chemin, notre vie, en ayant que peu de conscience sur la durée de celle ci. Nous devons, coûte que coûte, avancer dans la vie, tout en gardant bien sûr l’équilibre pour ne pas chuter d’un côté ou de l’autre, c’est-à-dire tomber vers des extrêmes.

Cela nous permet d’avancer en prenant de notre environnement, des expériences et des enseignements. Plus nous avancerons avec maîtrise, moins nous chuterons d’un coté ou de l’autre du chemin, d’ou l’expression “son juste milieu”.

L’Aequus Libra nous enseigne que nos capacités à trouver l’équilibre ne tient qu’à nous. C’est à dire, dans nos aptitudes à savoir construire nos civilisations sur un socle universel, épais et durable dans le temps, apte à être donné sans risque, en héritage, à nos générations futures. Nous n’avons besoin que d’une chose pour y arriver, une conscience essentielle à tout démarrage de construction universelle, celle « d’être indissociable en tant qu’humanité ».

Extrait de L’ÉVOLUTION Théorie Philosophique et de Méthodes, Politiques, Sociales et Économiques, par G. Ragnaud

« La seule philosophie authentique est celle qui considère l’être humain dans sa globalité. »

 

De la lumière au cosmos, L’équilibre est harmonie de l’âme.

La vie est folle, n’est-ce pas ? C’est pour ça qu’elle est passionnante. Imaginez que nous soyons équilibrés dans une existence paisible, il n’ y aurait ni événement, ni crise, ni trauma à surmonter, de la routine uniquement, rien à mettre en mémoire : nous ne serions même pas capables de découvrir qui nous sommes.

Sauve-toi, la vie t’appelle – Boris Cyrulnik

 

Bouddha donnait son enseignement de façon très simple, je l’ai découverte en lisant ses ouvrages. Principalement inaudible ou incompris de beaucoup, ce que j’en retiens, est la voie du milieu : apprendre à découvrir l’équilibre, l’harmonie. La voie du milieu consiste à éviter en toutes circonstances de se figer dans les extrêmes.

Le développement personnel, la spiritualité mise au service du bien – être et de la quête de la paix intérieure, firent de l’équilibre une notion clé.

Alors je me suis posée la question de l’équilibre, notion qui est venue sur mon chemin ces derniers jours.

 

Qu’est ce que l’équilibre?*

Comment tendre vers elle, nécessite -t-elle une importante transformation?*

Comment les gens perçoivent -ils cette notions, avec justesse?*

 

Trouver l’équilibre pour moi, c’est : trouver sa place ou l’adéquation entre ses rêves et la réalité, le juste milieu entre ses contraintes et ses aspirations. C’est aussi faire le tri entre les souvenirs qui nous rendent forts et ceux que l’on souhaite oublier.

Lorsque je me sens tiraillée, c’est là que tous se joue, j’ai perdue mon équilibre, je suis en déséquilibre.  Car il y a une dissonance, entre ce que j’ai besoin de vivre, qui je suis,  et ce que je vis. Je ne suis donc pas à ma juste place. Et apparaît une problématique de positionnement.

Qu’est ce qui marque ce tiraillement, ce déséquilibre? est – il le symbole de présence? Ou d’absence de présence? Emergence d’un sentiment profond de s’être trouvé, d’être comme “accompli”, de trouver sa vérité, celle dans laquelle on peut s’épanouir?

« La tendance la plus profonde de toute activité humaine est la marche vers l’équilibre. » “Une marche vers l’équilibre ou peut-être une marche vers sa recherche?” J. Piaget.

Je ne cesse d’analyser pour répondre à mes questions. Ma peur de ne pas m’accomplir, de ne pas m’épanouir.  Cette peur, ce manque de confiance à ne pas être assez à la hauteur, à la bonne place. La peur du rejet….

Je me met la pression, pour faire toujours au mieux, sans accepter de me dire, que le temps est nécessaire à l’apprentissage, que les choses demandent de la patience. J’en suis ma première victime.

Ma quêtes de sens, mes influences m’ont permis d’accomplir bien des choses et au-delà de ce que je pouvais espérer. Mon équilibre pour ma part, c’est en me ressourçant que je le trouve, en me ressourçant dans mes passions et auprès de ce qui me sont chers. C’est me positionner pour vivre ce que je souhaite vivre, en me disant que si mes choix sont claires, alors ils correspondront à un appel du cœur, et que de cette manière ils seront moi.

Dans le respect, l’amour et la bienveillance.

Mon équilibre.

 

Alors finalement l’équilibre, qu’est – ce? Comme l’a dit si justement Stephen carrière : ” L’équilibre c’est se sentir à sa place”.

 

Que pensez-vous de l’équilibre?*

Avez- vous votre propre équilibre? comment réagissez-vous lorsqu’il est mis en branle?*

Sources:
Les différents dictionnaires 
Platon, Piaget, Comte, Stephen carrière, Boris Cyrulnik,G. Ragnaud

Le grand livre du YI KING – Le livre : Qu’est-ce que la philosophie occulte ? Par Pierre A. Riffard – Le Tao, philosophie de l’équilibre
Consultations diverses sur wikipedia & La notion de “force” de Star Wars.