L’enfant intérieur ?

 

« Nous avons tous été des enfants et cet enfant vit encore en nous »

 Carl Gustav Jung

 

 

Comment je me suis réconciliée, j’ai pardonné et laisser prendre sa juste place à mon enfant intérieur?…. et surtout : Pour quelle raison?

 

💖 Notion d’enfant intérieur !

Dès l’aube de la vie d’un enfant, les adultes qui partagent son environnement, conditionnent celui – ci afin de le rentrer dans un mode éducatif, dans des “cases” dites “normales” selon leurs critères et celui de leur propre référentiel.

Imposer à l’enfant d’être ce que l’on attend de lui et pas “être qui il est profondément” engage les premières blessures de l’être.  C’est l'”abandon” du: JE SUIS.

Ce refoulement de l’enfant écrase alors beaucoup de potentiels tels que la créativité, la spontanéité, la joie de vivre, l’autonomie, l’expression de soi, et l’authenticité. Laissant alors apparaître une construction massive de mécanisme de défense face à l’émergence de tiraillements. Je parle là de faux-self, de masque, de manque de confiance en soi, de perte d’estime de soi, du goût de la vie et j’en passe….

Il est celui que nous avons été, qui est toujours présent, en Nous-m’aime, il incarne l’Innocence, la Joie, l’Amour Inconditionnel, et la Confiance.

 

“être ce que nous sommes, telle est la question?”

 

💖 Qui es – tu?

Parce que l’enfant en nous s’émerveille des beautés de la Nature, parce qu’il aime la musique, la vie, il est joie et curiosité des choses, il s’émerveille d’un petit tout et d’un grand rien. Je suis cet enfant intérieur, un adulte tout autant car je suis l’enfant qui a grandi.

Mais dans mon parcours de vie, j’ai été blessé, je me suis laissée blesser. Mes parents, ma famille, mes amis, toutes les personnes qui ont croisé mon chemin, m’ont fait vivre des expériences qui ont marqué mon cœur, qui ont à leur manière, donné de l’eau à mon moulin à blessures. Je suis responsable de cela.

 

L’enfant est souvent renié au profit d’un adulte contrôlant, dictateur et en colère. Conditionné et qui dicte, sous les excuses de responsabilités, de ce qui attrait au bien, au mal, au correct ou pas.

 

Votre Enfant IntéRieur va Guider Votre Créativité, et l’Adulte va Agir pour Concrétiser ses Rêves, parce qu’ils sont Réalisables ?

 

 

💖 Quel est la raison pour laquelle il faut laisser l’enfant en soi prendre toute sa place?

L’enfant n’est pas celui qui veut tout, il veut se qu’il sait bon pour lui. Son âme. Mon âme, donc SOI. Laisser parler l’enfant, ce n’est pas se renier, ou éteindre la part d’adulte, en fuyant ses responsabilités. NON. C’est éclairer sa part d’ombre, car la mission de l’enfant intérieur est telle: Mettre en lumière mes grandes blessures émotionnelles et me permettre de m’en libérer.

Ecouter son enfant intérieur c’est permettre à l’adulte, qui sait, de répondre à l’enfant et à ses attentes, à celui qu’il a été pour panser ses blessures et ainsi faire de grands pas sur le chemin de mon développement personnel.  Je me libère ainsi de toutes les chaînes qui n’ont fait que m’entraver.

Cependant, cessons de croire que l’un ne profite pas à l’autre, ils sont dans un partenariat, je le vois ainsi, une main dans l’autre main; L’adulte est présent pour réconforter l’enfant et non pas le faire taire. L’adulte à la force du déni, l’enfant non. L’adulte à la force des responsabilités, de l’ombre, l’enfant est la lumière du coeur.

Mais l’adulte peut poser des limites à l’enfant, et le doit, mais des limites de justesse, de coeur, pour que l’enfant, ne se perde pas dans l’irréel, pour que l’enfant et l’adulte soit en harmonie, et non pas l’un soumis à l’autre.

 

Se Renier, c’est éteindre la part de l’enfant en nous, pour écouter l’extérieur, le politiquement correct des erreurs à ne pas commettre. Non pas en fonction de qui nous sommes et ce qui est bon pour nous, mais de ce que nous devons renvoyer à l’autre pour être lisse et parfait dans une société qui ne laisse pas de place à l’équilibre enfant/adulte et à l’harmonie de coeur, corps et esprit.

C’est cela se renier. Laisser l’enfant prendre un espace ce n’est pas dire prendre toute LA place mais SA place. Parce que sinon on a cette étrange sensation d’être tiraillé.

 

Que ressent l’enfant en moi?* Qu’ai – je besoin, pour être harmonie, que l’enfant sait mais l’adulte tait?

 

“Tu a en toi une fête, un feu d’artifice, et un archétype qui dit “schut, schut”, ne fait pas cela!”

 

 

Elle est la l’erreur !

Rapellez-Vous l’enfant que Vous Étiez ??Regardez l’enfant que Vous Étiez

 

Votre Enfant IntéRieur va Guider Votre Créativité, et l’Adulte va Agir pour Concrétiser ses Rêves, parce qu’ils sont Réalisables ?

 

C’est C. Face à C., c’est toi, face à toi. Oui je suis responsable de mes ressentis, je dois me pardonner, me cajoler, me réconforter, car toutes ces étapes ont été rudes, mais nécessaires pour qui je suis aujourd’hui et mon rôle d’adulte, et de montrer à l’enfant que j’étais, toutes mes qualités, tout ce que j’ai su développer pour devenir celle que je suis aujourd’hui.

réconfortes – toi, je me réconforte, laisse s’exprimer l’enfant en toi, et l’adulte saura proposer à ton quotidien, les éléments pour que l’enfant ressente à quel point tout cela est juste et qu’il peut être fier de lui, de vous – m’aime!

L’enfant prend alors sa place, et l’adulte tout autant, à eux deux, ils déplaceront des montagnes en laissant s’ exprimer tout le potentiel en l’être.

 

Un jour, je me suis perçu, en position de fœtus, nue, allongée sur un sol froid et humide. Il faisait noir. Et le jour d’après, je me suis tendu la main,  je me suis aidée à sortir de ce puits. Et je me suis regardée, libérée, moi enfant, vêtu d’un rose madras, danser dans un champ de fleurs à la lumière d’un soleil de printemps. J’ai regardé longuement cette scène, j’ai compris. Je me suis pardonné, j’ai déculpabilisée et je suis devenu fière, main dans la main entre l’adulte et l’enfant qui font ce que je suis aujourd’hui, marchant, déterminée, vers la vie. Joyeuse, riant, pleine de rêves. Écoutée, entendue.

 

 

Sources*

Photo pinterest – wikipedia – psychologies.com – MyMind – PDC

Tu ne trahiras point.

Ma trahison. Notre trahison,

Cette sensation d’attachement à l’autre, de séparation douloureuse, d’être coupé en deux, qui n’est autre que la peur de soi, de tomber le masque d’un traumatisme.

J’ai respecté mon engagement au maximum, en étant fidèle en tout. Très exigeante avec moi-même, je lui ai montré, prouvé que je serai invincible pour elle, pour lui , pour nous. J’ai voulu contrôler. Me contrôler,  contrôler l’ autre aussi, pour m’assurer qu’il, elle ne me trahirait pas. Ainsi ma confiance serait totale, viscérale, une confiance.

Elle n’est pas si pathétique parce qu’elle m’a blessé, mais aujourd’hui elle n’est pas importante.

Nous avons tous plus ou moins, ressentis cette piquante sensation d’avoir été trahi alors que l’on était engagé dans une relation.

“On fait parfois des efforts considérables pour souffrir d’une trahison ; et l’on y parvient.”

J’ai eu une relation fusionnelle. Celle qui est venue à moi sans que je l’ai demandé, celle qui n’était pas prévu, car fuyant les engagements, pour ne pas être blessée, finalement m’est arrivée.

 

Ça à durée plusieurs années. Elle avait une place privilégiée dans mon environnement, elle en faisait partie pleinement, sur – engagement. Nous nous sommes mutuellement accompagnés dans nos questionnements, nos envies de comprendre nos évolutions, expériences. Comme l’envie de trouver sa place et sa fonction dans un monde en développement constant. J’ai rêvé quelques instants. J’étais créative. C’est comme si je savais ou j’allais dans l’avenir, que je visualisant mes rêves clairement… A sens unique. J’ai donc éteint la lumière. Dans un monde seul.

Les rêves revêtent une sorte de robe enfantine dont le but est de rester à l’état de nuit, dans nos sommeils. Rappelons nous de rêver endormis mais de projeter ceux – ci a Etat de veille. Pour que notre quotidien soit à l’image de nos plus belles pensées.

La trahison n’a pas supportée que je plonge dans ma conscience spirituelle et la vision magique de la vie, probablement. Elle a vampirisé ma vie pour en faire sienne, tout du moins essayé… en vain. J’étais tout, j’étais l’autre, j’étais aliénée….Et un jour elle m’a quitté. Je le dit comme je l’ai ressentis sur le moment.

Je lui ai ouvert mon cœur sans concession et il a été broyé. Même lui, ne m’a jamais fait ça. Normal, ils ne savent pas tout . J’ai aujourd’hui accepté qu’elle avait le droit de choisir ce chemin. Que c’est la vie. Mais le mal à été fait avant que le recul ne “soigne” mes blessures.

Suite à ça j’ai vraiment tout fermé. Cela m’a coûté, j’ai fini genoux à terre et ça a duré un an.

Autant te dire que je suis parfois dans la peur. Mais je ne suis plus la même, c’était il y a longtemps et je suis bien différente.

 

L’aliénation, ma douleur et le temps qu’il t’a fallut pour prendre du recul, m’ont permis de comprendre que l’on se sent trahi quand on attends quelque chose de bien spécifique de l’autre. Si tu es ouverte(e) à n’importe quelle réponse ou comportement comme étant l’autre et pas un masque, il n’y a plus de jugement. Que des questions et des réponses.
On se sent trahi, car avant tout on accepte pas que l’autre puisse être différent. Pourtant la différence et universelle, à aucun moment nous sommes similaire à l’autre.
 
 
 
As – tu toi aussi cette sensation d’être différent(e)?*
As-tu parfois regretté de t’engager a corps perdu dans une expérience?*
As – tu toi aussi eu cette sensation d’être privé de ton libre arbitre?*
 
 
 

Sache qu’à aucun moment je ne regrette la tournure de l’histoire. Dans le sens où la vie est à vivre à fond. Et que tout à une fin. J’aime l’équilibre des éléments. Et que je ne reproduis jamais deux fois les mêmes situations.

J’y ai perdu mon libre arbitre, j’y ai perdu ma liberté d’être soi. La maîtrise, de mes forces propres au profit d’un(e) autre. Mon ego c’est dédouané du choix de l’ inauthenticité de l’existence vécue personnellement. Se pose alors la question d’un transfert de propriété?  par des passions, des sentiments qui finissent par prendre la maîtrise de l’âme, qui l’agitent et l’égarent.

 

Contrôler, et développer ce sentiment de trahison, n’est ce pas satisfaire son ego et surtout de ne pas affronter le fait qu’au sein même de ce genre de relations, on se trahit soi-même?

 

C’est aujourd’hui que tout se joue !!!

Aujourd’hui je t’invite à lire ce billet tout en écoutant l’album de One republic, “Dreaming out loud. Parce que c’est avec ces douces mélodies que j’ai écris mes maux !!!

Cela fait quelques semaines, que je n’ai pas pris la plume, ici.  Beaucoup de choses se passent et le temps passe tel que je ne me rends pas compte que je délaisse parfois les choses qui me tiennent le plus a cœur. Plume de Cactus, par exemple.

N’est ce pas cela la vie? Inattendue.

C’est de cela aussi que tout ce joue aujourd’hui, de la vie, de ma vie. J’avais envie de partager un peu de moi, pour toi. J’ai toujours eu cette sensation profonde, de vide, de manque, d’avoir besoin d’une nouvelle histoire pour vivre. Je n’ai pas compris jusqu’alors que l’histoire est à écrire chaque jour, comme on souhaite la vivre.

Je ne suis pas perdue, l’es – tu?

J’avance vers la direction de mes rêves, je vis la vie que je souhaite vivre, et pas que. Un jour, une belle âme, parmi celles qui ont croisé mon chemin, m’a dit :

“Tu es tel Christophe Colomb en plein milieu de l’océan, tu cherches vers ou aller et tant que tu n’as pas accosté sur un rivage, tu n’es rien. Pour y arriver il s’est guidé grâce à des bouts de bois flottant, des signes, des intuitions, etc… Le doute ne l’a surement jamais quitté quand à ses choix ou, à la véracité de ce qu’il ressentais pour être dans la bonne direction.”

J’aime l’image, elle me correspond tellement.  Je crois sincèrement que le jour venu, ou, on fait le choix de comprendre, de donner du sens à sa vie, on ne peut plus jamais….oui,oui, JAMAIS faire marche arrière.
 
C’est souvent dur à comprendre pour beaucoup, on peut avoir ce sentiment d’être seul à vivre nos expériences, les “cartésiens” diront que nous sommes dans “notre délires”. Mais je pense qu’une vie intérieure riche, passe par la connaissance de Soi. Cela passe et donc par une prise de risque, celle de plonger dans son aventure intérieure. Celui qui est heureux chaque jour (ou le prétend), celui qui a le bonheur quotidien sur son chemin, celui qui dit je ‘sais” ne sait rien d’autre que ses certitudes, et celles – ci le rendent immobile, fixe dans son temps de vie. Tout ça pour dire qu’il n’y a que l’expérience qui me diras si je suis dans ma vérité ou pas.
 
Je ne parle pas de l’expérience scientifique, mais de l’expérience que l’on vis, de cette expérience quotidienne.
 
Et non, ce n’est pas se torturer, ni se poser trop de questions que de vouloir comprendre. Ma maman, que j’aime profondément, m’a toujours dit “tout, analyse tout, tu te poses trop de questions”
NON, NON ou bien, peut être, mais quand bien même !!! Who cares!!??.
 
Mes questions, elles me nourrissent, ce n’est pas m’en abstenir qui va rendre ma vie plus fluide, moins perturbée. J’ai fait le choix de vivre pleinement ma réalité!!
 
Et vous?
 
 
La vie je la vois ainsi, au delà du bonheur simple, je la vois simplement, en l’acceptant, tel qu’elle est. Parfois dur, et simple, harmonieuse et chaotique, heureuse, et triste. Ma vie elle n’est pas immobile. Il y a des jours ou je vois clairement, d’autre ou je me mens a moi-même, l’important n’est ce pas de me le dire, de l’accepter, humaine que je suis?
 
“Les jours passent mais ne se ressemblent pas” prend tout son sens dans l’ esprit. Car oui le bonheur est une perception de l’esprit.
On cherche le bonheur dans l’idée qu’il sera toujours la, vivant heureux jusqu’à la fin de nos jours, mais c’est un erreur…C’est bien, expérimenter l’erreur fait grandir.
 
La vie est une expérience, chacun décide d’en faire ce qu’il veut. Moi j’aime la mienne. Mon quotidien terrestre est sain, équilibré et plein d’amour, il est à l’image de ce que je voulais, je me suis battu pour, je me questionne, j’évolue au quotidien pour le conserver. Ma vie spirituelle, intérieure, est riche d’une envie d’apprendre, de carcans à dénouer, d’évolutions possibles, ma vie c’est l’envie de surmonter mes frustrations, d’en faire ainsi naître mes désirs…ou le rêve de projets !!! C’est l’expression de la nécessite a élaborer un peu plus ma vie intérieure.
 
 
C’est aujourd’hui que tout se joue, ce jour ou on décide de faire le choix, pour soi-même, du chemin que l’on souhaite empreinter pour comprendre qui nous sommes.
Je ne suis pas perdue, je suis en marche, en actions constantes; le lundi je pleure, le mardi je rie, le mercredi je réfléchie et ce n’est jamais fini. Parfois face à la montagne, souvent en chute libre. Je me regarde et je veux ressentir, comprendre mais surtout expérimenter.
 
J’avance en confiance car j’ai compris le sens d’attirer à soi ce qui est bon pour soi, même si je sais que le mettre en pratique au quotidien me demandera force de conviction et réparation. Et cette impression que l’on voit clairement son intérieur,  mais que celui qui nous regarde de l’extérieur n’y comprend peut être pas grand chose? et bien cela lui appartient mais en même temps n’est il pas le miroir d’un voile que l’on c’est posé sur soi?
C’est une invitation a continuer de construire ses désires, accueillir ceux qui veulent faire un bout de chemin en sa compagnie mais n’obligeant jamais personne à ne pas prendre son envole, pour un temps ou définitivement, loin de soi. Chacun à besoin de vivre ses expériences, c’est là ou tout se joue.
 
C’est le respect !
 
 
Aujourd’hui je me donne le droit de créer ce que je veux, car j’offre à la créativité, une nouvelle orientation, plus vrai, plus moi, plus Psychique encore .
 
 
 
 Image source: https://www.showroomprive.com/ventestickerspenséespositives

 

Tiens tes doutes par la main, suis ta route, coûte que coûte !!

Nous avons tous des blocages, des difficultés et cela nous empêche parfois de passer à l’action pour avancer sur notre chemin de vie.

Par exemple, j’ai mis longtemps à me lancer dans l’écriture de ce blog, tout simplement parce que j’avais #PEUR.

Il faut le dire, je ne manie pas la langue française à la perfection, du moins à l’écrit. On parle des fautes d’accord et d’orthographe?

C’est toujours compliqué pour moi de fournir des écrits car je ne me sens pas crédible, ni légitime à écrire sur le développement personnel.

As-tu du mal à te lancer dans l’écriture par manque de légitimité ?*

Pour autant, ce sujet, je le connais et je me sens complètement crédible à l’aborder, à transmettre à son propos. N’est-ce pas paradoxal ?

Les moments les plus propices à ma créativité, à l’écriture, sont quand je suis en voiture, ou que j’observe de profonds paysages. Ce qui n’est d’ailleurs pas simple pour s’en souvenir ou encore les reporter sur papier.

As-tu un moment propice à la créativité ? Comment exprimes-tu celle ci ?

Quand je roule, je passe souvent devant le même paysage. Ce matin, le sol était nappé d’un fin brouillard. Celui-ci m’a donné envie d’évoquer celui dans ma tête. Je l’ai, il m’a accompagné pendant si longtemps.

Certains paysages inspirent, celui-ci me rappelle combien il est important de passer par des phases de brouillard, de chaos pour ensuite voir percer le soleil, le bonheur et l’amour.

Avoir vécu cela m’a donné envie de construire une plateforme de partage avec ma copine So. Alors oui, j’ai douté, pour les raisons que j’ai évoquées.

Toi aussi, tu as déjà douté?*

T’es-tu empêché-e de réaliser tes rêves?*

Quel serait ton plus grand rêve aujourd’hui?*

Si j’ai compris une chose, même plusieurs, c’est que :

  • L’important, ce n’est pas le sujet mais la manière de l’aborder.
  • Comme j’aime le développement personnel, comme certainement beaucoup d’entre nous, j’ai envie d’en parler, avec ma touche personnelle.
  • J’ai accepté de me dire que je le fais de manière unique, avec mes mots, parfois maladroits et accompagnés de coquilles mais toujours avec le coeur.

Je sais que ma démarche, mon intention sont de transmettre ma vue de l’esprit, ma connaissance, mes découvertes sur les sujets qui me tiennent à cœur. La différence, mon plus à moi, c’est la pointe de spiritualité et l’esprit positif qui m’animent au quotidien, même si parfois je dois me forcer pour garder le cap.

Toi aussi, as-tu des moments de doutes ? Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de renoncer à cause d’eux, ou es-tu plutôt du genre à foncer ?

Je te propose d’en discuter ensemble, l’espace commentaire est fait pour ça !!!

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