🌵 Celui que je ne méritais pas.

Vous êtes paralysé par la peur de perdre votre trésor. Celui qui vous fait vibrer. Qui fait battre votre coeur. Celui qui entend votre âme et la comprend.

Il est votre autre, votre trésor.
Mais savez-vous que la peur de perdre ne fait pas bon ménage avec le couple…?

Savez vous ce sentiment de trouver l’autre trop bien pour soi, de ne vouloir rien risquer, à le perdre ou le faire quitter est révélateur d’un manque?

Le mérite est le rideau qui cache la valeur de l’être.

MERITER cet amour, mériter ce trésor, mériter ci, ou cela, c’est voir sa valeur. A l’inverse, on se mésestime.

Oui, vous ne croyez pas assez en vous!

L’Amour, c’est le sentiment le plus mystérieux du monde. Faisant vibrer les coeurs et les âmes des hommes depuis la nuit des temps, survenant pour des raisons tant chimiques que d’affinités, il nous emporte, nous dépasse et nous fascine.

Et au départ il naît de notre relation, enfants, à nos parents. Et fonction du vécu, de l’expérience, du conditionnement et de la société, il est mis à mal.

S’accepter soi, c’est s’aimer profondément. S’aimer profondément, c’est s’estimer à sa valeur réelle en entendant ses sentiments les plus profonds, et en les acceuillant. S’estimer c’est se donner la liberté d’être en s’acceptant pleinement. Se donner la liberté d’être c’est avoir suffisamment confiance pour passer à l’action dans la vie.

Passer à l’action sans cesse, être dans milles actions et sur milles fronts dans la vie c’est essayer de remplir en vain un réservoir d’amour troué comme une passoire. Comme un drogué à l’amour qui compense son manque d’estime de soi par une action extérieure qui ne prendra fin que par un levé de voile.

Et cela s’applique à tout. Car tout et amour et l’amour est tout.

Et sinon jour vous croisez votre trésor, dites vous que si il est dans votre vie, sur votre chemin, c’est qu’il est fait pour vous. Qu’il ne fait que vous aider a voir ce que vous êtes vraiment, a votre juste valeur afin de cesser de vous cacher dans votre trou.

Aimez-vous!

Un outil pour y remédier, l’EFT!
Au delà de la thérapie des profondeurs, et en complément, il aide à voir au-delà du voile de l’ego.

Cinquante nuances d’être en couple

“La dernière grande aventure du monde moderne”

André Malraux

 

Je dois le dire, c’est une question que je me suis posée pendant quelques jours. C’est quoi pour moi un couple? Bizarrement, on pourrait croire qu’après un mariage et un tsunami enFlammé dans mon couple, j’aurais la réponse. Mais vivre une chose ne signifie pas pour autant avoir les réponses. D’autant que, il faut être clair, il existe autant de couples que d’individus. Car un couple se cré et s’invente à deux. C’est la troisième personne d’une relation entre deux personnes différentes. Et il évolue à deux, en réajustant ce que l’on y met, et y trouve. Mais parfois les deux n’évoluent plus harmonieusement, et là, le couple effrite, pour ne plus être bien souvent.

On se rencontre, on se plaît, on flirte et puis, on se met en couple. Est-ce vraiment si simple dans la vraie vie ? Pas tout à fait. Est-ce systématique de se “mettre”, de “vivre” en couple, absolument pas.

 

Ma vision de l’entité couple n’est pas forcément celle de la société….

 

Couple + dictionnaires = 

Le couple selon Mr Larousse et commenté par mes soins :

  • Personnes unies par le mariage, liées par un pacs ou vivant en concubinage : Un couple uni.
  • Deux personnes animées d’un même sentiment, d’une même volonté, ou que des intérêts, des affinités, des caractères rapprochent : Un couple d’amis

Mr le Grand Robert décrit le couple comme étant :

“Deux personnes réunis dans une activité ou par des relations sentimentales, physiques”

 

Couple + Vie Psychologique =

Et si le couple, était simplement l’union difficile de deux affectivités, qui agissent de concert en bons partenaires pour avoir un but commun?

L’ensemble des phénomènes de la vie affective représente la quasi – totalité de notre monde interieur, de notre psyché. Un couple est la réunion, le mélange de deux affectivités. Aussi, pour définir ce qu’est un couple, faudrait-il étudier comment deux affectivités peuvent se rejoindre.

On parle alors de sensations, de sentiments, et cela n’est pas réellement analysable puisque fluctuant sans fin en nous. On parle alors de l’énergie globale, du tout qui unie les deux en un. C’est en ensemble indicible qui peut etre a  la fois permanence, dans la durée (les sentiments, les sensations) mais aussi illusoire (TouT ce qui émergent du fait de nos blessures, de nos parasites intérieurs, de notre ombre) et enfin fluctuant (les émotions et les ressentis traversants).

Mais finalement pour être reliés à un autre, faut – il qu’on soit relié à nous – même en premier?!

 

De là, toutes les confusions qui entourent la notion de dialogue… Le « dialogue » est devenu un poncif au même titre que l’environnement, le respect de la nature, et les méfaits de la société de consommation. Jamais, plus qu’aujourd’hui, il n’y a eu tant de « débats » : notre monde semble ne plus pouvoir s’en passer… En réalité, c’est le monologue ronronnant qui est Roi ! Chacun « se » raconte à l’autre qui, pendant ce temps, « se » pense ! 

Valérie Cordonnier 

 

 

Couple + Mariage = Amour?

Je ne sais pas toi, mais personnellement pour avoir été marié, je sais que cela ne sera reproduira JAMAIS. Non pas que je ne crois pas aux vertus du mariage, il a été riche d’enseignement. Et le sera encore longtemps car une expérience de cesse que lorsqu’on l’oublie.

Mais cela ne me correspond absolument pas. Donc la version du couple unis par un papier officiel, ce n’est plus pour moi.

 

Comment pourrait-on ressentir l’autre, si ce n’est à travers sa propre affectivité ?*

 

Pourquoi? Se marier, sert à transformer une décision intime en engagement social, cela donc est il nécessaires, si l’on souhaite se déconditionner comme moi, des institutions sociale, et de l’effet mouton de Panurge? NON.

Je ne crois pas que le mariage soit une preuve d’amour, il sert, oui,  mais il n’est preuve et épreuve de rien, de tout. Ce n’est que mon avis, il n’est pas ce qui nous permet de nous épanouir en tant que personne. Il nous sert d’appui, de raison, de penser que comme il est indissoluble, l’amour l’est tout autant. Ce qui est faux.

L’amour est un sentiment, que l’on doit déjà sentir profondément en soi et pour soi afin de l’étendre à d’autre. Et d’expérience, on ne le fait pas naître en nous en 2 jours, mais sur une vie. De ce point de vue, je trouve plus logique avec du recule, les mariages de fin de vie, comme pour dire : “on y est arrivé” on c’est éveillé a soi et face a l’autre, en partenariat avec l’autre sans s’oublier.

 

Ce qui est plus que rare! Le mariage serait il donc une union à la société plus qu’à l’amour lui même?

 

J’évoque le mariage, car souvent on l’associe au couple, comme une suite logique de la relation. Tout comme on associe au couple le fait de s’engager immédiatement dans un même quotidien et dans une obligation d’union.

 

Pourquoi ne pas prôner le temps, l’harmonisation, les échanges, l’autonomie amoureuse exclusive?

 

 

Couple + Soi = être Soi à deux !

Finalement les gens qualifient souvent le couple ainsi: couple “à vivre ensemble”, couple à “tout faire ensemble”, “a se marier”, “faire des enfants”, “être fidèle à l’autre” et j’en passe.

MAIS SOI là dedans?

Et si nous étions déjà un couple avec nous même, animés par des sentiments intérieurs profonds, par des intérêts que nous mettons en application concrète au quotidien. En partageant, transmettant avec le coeur à ceux qui sont aussi animées par eux mêmes, de tout coeur? Cela dédramatiserait – il la partie engageante du mot couple, non?

 

Il n’existe aucun couple réel dans l’instant !

 

Alors plutôt que de courir après la notion de couple, à vouloir être un couple, pourquoi ne pas essayer d’être soi et ensuite, chercher plutôt une relation saine?

Tu sais, celle ou l’autre est un plus à notre vie. Cet autre, que nous avons choisi en conscience, et non plus pour combler un manque: face à la solitude, un vide affectif, un manque d’estime de soi, des blessures d’enfants, un contrôle transgénérationnel.

Cette relation ou on se sent en sécurité, c’est à dire à ne jamais douter de l’amour de l’autre car on ne doute plus de soi. Ou on ne sera plus blessé car l’autre nous accepte tel que nous sommes. Une relation ou l’on est soi – même et que l’on peut s’exprimer pleinement et librement sur ses sentiments, ses opinions. Etre, totalement, être.

Le couple pour moi n’existe pas, mais la relation oui, le couple est un mot inventé pour nous catégoriser dans une société vitrine alors je l’utilise, c’est du lexique, mais ce que j’y met derrière est : la relation, le partenaire de vie.

C’est ce plus ! notre autre, pas un boulet.

Celui avec qui on partage (nos intérêts, nos points de vue, les visions de vie que nous avons, les expériences).

Il est un partenaire, qui ne va pas nous engloutir de ce qu’il est.

Il est un partenaire qui va nous éclairer sur ce chemin commun, décidé à deux et de par son êtreté, nous faire réfléchir, évoluer sur notre regard à nous – même.

 

Couple + Ego = faillite de la relation

On reçoit autant que l’on donne, sans l’ego.

L’ego apporte avec lui, peur et illusion de la notion de couple. Tel que : Les disputes (oui y en aura toujours), les coups durs (on affrontes toujours les dures réalité de la vie, seul ou a deux), la communication (se dire les choses, respecter le jardin secret de l’autre…confiance et respect), la peur de l’engagement, la durée (encore une invention sociale, rapide ou sur le temps l’important est juste de s’aimer sur l’instant), les efforts (bey oui, on est plus seul, mais à deux donc forcement, y a des compromis, accepter que l’autre est différent, sortir de sa zone de confort, se remettre en question)

Oui car dans un couple l’ego n’a plus sa place, dans cette relation inconditionnelle, sinon il n’est pas question d’amour mais de palliatif.

 

« La peur qu’on a d’autrui est souvent l’angoisse de se perdre en l’autre ou d’être démasqué par lui ».

 

Couple + Amour = Inconditionnel

L’amour est pur et inconditionnel, alors c’est tout beau tout mignon mais ça veut dire quoi?

Que simplement y a du respect pour ce que je suis dans la relation. De qui je suis mais aussi de mes limites, celles qui auront été évoqué et posé librement parce que je suis pleinement moi et expression de moi dans l relation.

 

 

Il y a donc :

  • Etre en couple, c’est à dire partager une relation à deux, se voir, échanger, se réunir dans une intimité, se réveiller les matins de son choix à côté d’un autre ( ou pas). C’est expérimenter, pimenter, argumenter, jouer franc jeu, installer une sexualité consciente et créatrice, être soi tout simplement et accepté comme tel. Et peut etre un jour vivre ensemble…  j’ai bien dit “peut – être”.

Et il y a :

  • Vivre en couple: ou là, on partage le même domicile, voir une union institutionnelle, et à deux partout, pour tout…..  Personnellement non merci.

Je me suis toujours dit que je ne me marierai qu’une fois, lors de mes voeux, mais aussi que si cette “relation” ne fonctionnait plus, je penserai à mon bonheur avant tout, et que plus jamais je ne partagerais de manière conditionnée, classique et sociétale, la vie avec un homme… Ma liberté d’être!

J’ai ramassé assez de chaussettes partout !! Non mais. Le masculin.. si dé(rou)-(gou)tant !

 

L’être humain est ainsi fait. Tel que la moindre menace contre sa flammèche de conscience réactive en lui, la crainte d’être « détruit », et de retourner dans ce néant dont il eut tant de peine à sortir !

Néanmoins, il existe des couples solides, durables, profondément unis, sans orages destructeurs… Des ménages indestructibles, non pas par morale mais par amour, non pas par contrat mais par évidence intérieure ! Chacun est devenu l’autre, tout en restant soi-même. N’avez-vous pas rencontré de ces couples âgés ou les partenaires sont tellement fondus l’un en l’autre qu’ils semblent n’avoir qu’une seule âme ??…

 

Couple + temps = Vivre l’instant

Pour terminer, j’ai juste envie de vous dire, de vivre l’instant. Si vous êtes bien avec une personne, que vous avez du plaisir à la voir régulièrement ou non d’ailleurs, personne ne vous obligera à mettre un nom sur votre relation. Vous êtes la seule personne à vous mettre, cette pression. Si être en couple, vous fait peur et bien ne vous mettez pas en couple. Trouver votre propre définition et faite ce qui vous rend heureux. Mais se priver de se faire plaisir à être avec soi et un autre, par peur, c’est quand même dommage non?

 

Sources:

http://www.psychologies.com/Couple
https://www.parship.fr/sujet/vie-de-couple.htm

Bas les masques !

 

Je me suis tellement effacé que j’en suis devenu transparent 

Akhénaton

Un ami m’a dit y a pas longtemps souhaiter et être transparent dans sa relation à l’autre. Je n’y ai vu que la parole de l’ego (ça me fait penser que je devrais surement écrire sur l’ego). Petite aparté, fut, ce constat intéressant de ma nouvelle capacité à voir le visage d’une personne changer, lorsqu’elle met son masque, celui de la défense, de l’ego, face à une situation, ou un échange. Et qu’elle choisi l’ombre plus que sa lumière.

Foutu peurs.

Oups, je m’emporte au loin, je reviens sur la notion de transparence !!! Certain y verrons le fait de ne rien cacher à l’autre, d’être honnête, présent, de confiance, que se soit dans une relation, de couple, d’amitié, au travail.

Pas Faux !

Alors Effectivement, être transparent vis a vis de l’autre, c’est ne pas dissimuler, être clair dans son fonctionnement,

C’est la garanti du bon fonctionnement d’un couple: on s’aime, on se dit tout! On vit ensemble, on partage tout! On fusionne dans la même bulle, puisque l’on partage la même vie quotidienne !!! C’est regarder ensemble dans la même direction….

J’hurle maintenant, ou j’attends ?

Résultat de recherche d'images pour "fille qui s'arrache les cheveux"

J’avais envie de proposer deux points de vue:

 

Résultat de recherche d'images pour "1." La vision de la transparence dans une relation du point de vue de la société “généralisée” en 2018.

On part du principe qu’une relation, si elle doit rayonner correctement doit être composée de personnes complètements transparentes les unes envers les autres. Soit.

Que cela rend les échanges, et la relation saine ! Soit.

“Dire la vérité! Ne pas mentir! mais aussi dire ce que l’on pense, l’on veut, quand on le veut, ne plus faire de stratagème!” Soit.

Pour-qu’elle raison pense -t-on qu’être opaque ou non – transparent, signifie forcément être dans une relation d’irrespect, de mensonges, donc négative face à l’autre?

Parce que ….le contrôle !!! La dépendance affective !!!

J’ai lu sur le net, cette comparaison faite entre: une relation transparente tel une personne humaine, et une non – transparence tel un politicien ou encore un commercial ou encore un businessman…Soit.

Pour – quelle raison assimile t-on, la non – transparence aux mensonges? au stratagème? à des joueurs d’échec? des pions de la société?

Cherche -t-on à poser un masque de l’horreur, du diable aux gens qui choisissent d’être en accord avec eux – mêmes, même si cela signifie de ne pas être encodé selon les langages d’une société?

Pourquoi, pour être dit “belle personne”  et “de confiance”on doit être en mesure d’être transparent, que l’autre sache lire en nous, ne rien cacher et tout déchiffrer de nos vraies intentions?

Tout ceci n’est que l’apanage d’un comportement orienté vers l’extérieur, pour répondre à des attentes, celle de l’autre, et non vers soi. Tout ceci n’est que …. La transparence.

 

Être transparent avec les autres, c’est être confiant, fier et courageux?*

En l’absence de repères extérieurs, les couples d’aujourd’hui manifestent un fort besoin fusionnel : être tout l’un pour l’autre. » Et tout se dire. Être au courant de tout ce que l’autre pense ou fait donne l’illusion de maîtriser quelque chose, de comprendre, de contenir. Cette transparence, encouragée par l’air du temps, revêt chez les plus jeunes quelque chose d’enfantin.

« Je te dis tout ce que je fais parce que, quand on s’aime, on n’a rien à se cacher. Je te dis tout ce que je pense même si ce n’est pas joli, en quête d’approbation, d’absolution. Je confesse mes bêtises – j’ai regardé quelqu’un d’autre –, et on dira que ça ne vaut pas puisque je te l’ai dit », décrit Isabelle Constant. On se parle sans filtre, sans précaution et pour de mauvaises raisons. Ce qui aboutit non seulement à se blesser mutuellement, mais également à restreindre la liberté de chacun, tenu d’informer l’autre heure par heure ou de faire son rapport en fin de journée.

 

Dans le couple tel qu’on l’idéalise, il n’y a pas de place pour les faux-semblants, les petits mensonges ou la moindre omission.

 

Mais dans la vie, jouer à tout-va la carte de la transparence, n’est-ce pas avant tout se mettre en danger ?*

 

Ne pas tout se dire est un signe de maturité”

affirme le psychologue Jacques-Antoine Malarewicz.

Les couples, les duos, pensent que ce mode de communication, cette fusion de confiance est la revendication d’un amour. Pourtant ils confondent: transparence, confiance et dépendance. Tout ceci, est la reproduction d’un couple parental, et surtout la relation à la mère. Il s’agit alors d’un mode de relation immature et ce couple finira par cesser dès lors que l’un des deux décidera de s’accomplir, de dépasser ses peurs d’être seul, autonome, de se dédouaner de la dépendance affective pour maturer.

Car une relation mature, est une relation ou chacun à son espace personnel, sa propre manière de conduire sa vie, ses propres opinions, LE secret d’un couple est le secret justement. Qui dit secret ne dit pas absence de valeur ou de respect mais simplement l’expression profonde d’un soi accompli.

 

Dans tout couple, des difficultés de communication apparaissent lorsque l’un change, cherche à s’accomplir dans de nouvelles facettes de lui-même et ne peut plus s’accommoder d’un partenaire infantile, autoritaire ou déprimé.

« J’avais toujours été très à l’écoute des angoisses de Nathalie, raconte Frédérique. Mais, progressivement, je me suis sentie niée par son flot de paroles incessant. Je ne voulais plus être sa thérapeute, j’avais besoin qu’elle tienne debout toute seule. »

J’ai personnellement mis en place progressivement un détachement à la fusion, afin de préserver mes sphères et revoir la notion d’amour. C’est une tache ardue ou les autres ont aussi la possibilité de ne pas vouloir s’y inscrire.

C’est leur libre arbitre.

Mais il était essentiel pour moi de conserver certains états d’âme, des envies et un quotidien. L’autre ne doit pas tout savoir, car l’autre n’est pas moi, je ne suis pas lui, et cela peut entraîner des relations qui son d’un ennui, et d’une exclusivité malsaine. Et là nous ne sommes plus dans l’amour.

S’il n’existe pas de guide du « bon usage du secret », il existe un garde-fou qui peut nous aider à délimiter une frontière entre ce qui peut être partagé et ce qui devrait rester caché. Et nous garder de comportement qui dépasserait les limites de notre propre valeur, en nous, pour nous.

J’ai récemment lu une étude qui expliquait que de la frustration naît le désir, mais que de la transparence à laquelle les partenaires s’efforcent d’obéir génère une annulation du mystère, de la distance, nécessaire au désir justement. Dans ce cas précis la transparence entraîne la baisse du désir, qui va du coup nourrir la tentation de l’infidélité qui renforce l’exigence de transparence, qui sape le désire, un beau cercle vicieux tout ça !!!

 

Si les couples plus matures ont appris à se méfier de la fusion, à préserver pour chacun une sphère privée dans laquelle conserver certains de leurs états d’âme, de leurs envies ou de leurs insatisfactions, « la plupart continuent de croire que plus on se parle et plus ça va bien . Or c’est l’inverse qui se produit : plus on se parle et moins ça va bien ».

 

C’est alors qu’interviens la notion de filtre, et de masque. Parce qu’il est erreur de croire que l’absence de filtre et de masque, donc la transparence, est ce qui fera le bonheur dans la relation à l’autre. Au contraire, elle fait le bonheur d’une personnalité ; tout ou en partie, perverse, contrôlante, infantilisante, méfiante dans le seul but de combler un vide, un maque de confiance en soi et en l’autre, une impuissance face à ses peurs, à évoluer sainement et vivre à deux, pas seule en gobant l’autre.

 

Résultat de recherche d'images pour "2."La vision de la transparence du point de vue de l’amour inconditionnel, vu par PDC en 2018

Alors tout d’abord, précisons que chacun mène la vie qu’il entend, met en place une relation comme il la souhaite, je ne juge aucune relation, ni choix que beaucoup fonds dans leur mode d’expression d’amour. Je sais combien tout ce processus demande une telle refonte de ses croyances que le chemin tant il est long et douloureux, peut – être fuit.

Certains choix sont délibérés, d’autres imposés, ou manipulés inconsciemment. Tout ceci dans le but d’être dans le mimétisme dissimulé d’une société qui a imposé des codes de “bonne” ou “mauvaise” conduite dans sa relation à l’autre.

Délit d’amour impatient ! on vous désaime sans même apparaître. Pour beaucoup se livrer totalement est une attitude qui conditionne le bonheur.

Encore une fois tout ceci est tourné vers l’extérieur de Soi et pas en Soi.

On est bien d’accord que tout couple ou duo doit tenter d’être le plus honnête et “transparent” dans le sens ou il doit parler librement sans tenter de manipuler ou de donner un discours que l’autre attends. Pour que cela soit possible, il faut tout d’abord que celui qui s’exprime se connaisse. C’est à dire qu’il soit honnête envers ses émotions et sentiments, qu’il soit en accord avec ce que son cœur lui dicte, ses intuitions. Etre transparent prend alors un autre sens, ETRE AUTHENTIQUE.

 

C‘est en étant en alignement entre son corps (c’est à dire le sentiment de magnétisme que l’on ressens face à l’autre qui nous prouve par exemple dans le cas d’un couple, que les émotions sont réelles), son cœur ( Les valeurs, les intuitions et les émotions que nous procure l’autre et surtout ce que nous sommes) et l’esprit ( nos valeurs, ce que nous attendons de la relation à l’autre, nos principes, nos croyances propres) que cela sera possible.

Qu’est-ce que j’entends exactement par là ?*

 

Si nous NOUS cachons nos besoins ou que nous sommes gênés de les exprimer, c’est que nous ne sommes pas authentique. Si l’autre est le guide de notre pensées, de nos actes, sous couvert ou sous menaces de la peur de… c’est que nous ne sommes pas authentique. Si nous ne sommes pas heureux en mettant en place certains mouvements dans la relation à l’autre, c’est que nous ne sommes pas authentique. Si nous nous sentons tiraillé malgré les choix pris, encore une fois c’est le même constat.

 

Et tôt ou tard et des conséquences négatives découleront de l’accumulation de cette frustration.

Il est difficile de refouler ses besoins.

 

On voit alors qu’il ne s’agit pas d’une communication transparente mais franche, envers nous même puis les autres. C’est ainsi que les solutions à d’éventuels problèmes apparaîtront.

 

Si les attentes de chacun sont trop différentes, la transparence de chacun facilitera le choix de mettre fin à la relation car ça devient la solution la plus bénéfique pour chacun. Pour tout couple, il y a à la fois des moments heureux et des moments plus difficiles. Nous ne savons jamais ce que la vie nous réserve. Je trouve intéressant d’observer comment les couples gèrent les événements de vie difficiles. Ça me donne une bonne idée de la qualité de leur communication et de leurs habiletés à être vraiment intimes.

 

De la transparence à la surveillance, mène l’appartenance et la perte de sa propre identité. Faut il encore que l’on sache qui nous sommes, puisque qui dit transparence, dit absence de contenance. Selon moi toujours.

A force d’être transparent, ne disparaissons – nous pas? dans notre essence même?

Parce que finalement tout est question de confiance, en soi. Si nous avons confiance en nous, alors nous l’aurons en l’autre et nous n’aurons pas besoin de lui, qu’il soit complètement transparent, mais complètement lui – même. C’est ça aimer vraiment, sans condition. En acceptant qu’il ait des sphères privées, qui ne nous concernent pas, et d’autres qu’il n’a pas envie de partager avec nous, parce qu’il est un individu à part entière et qu’il ne nous appartient pas. C’est cela, l’amour inconditionnel, accepter l’autre dans son unicité, ne rien attendre, faire confiance, accepter les points positifs et ceux un peu moins. Et que si cela ne va pas …Next ! Parce que seule la peur nous retiens, celle ne n’être rien sans l’autre, tellement transparent que seul, on n’est qu’une coquille vide.

 

Car le jardin secret, lieu intime, est nécessaire. C’est en ce lieu que naît la confiance…en soi…. Mais ça …c’est une autre histoire…un autre billet !

XoXo

C.

 

Sources*

  • Catherine Bensaïd, psychanalyste – Histoire d’amours, histoire d’aimer,
  • Isabelle constant Psychologue et Opsychoterapeute,
  • Michèle Gaubert – Être fidèle à soi-même en amour,
  •  Alain Héril – Sexotherapeute – Femme épanouie : Mieux dans son désir, mieux dans son plaisir

La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 2.

 

Quel est la différence entre le développement personnel et l’éveil personnel?*

 

 Le développement personnel – Qu’est – ce?

Je me demande souvent son sens actuel, car il est partout, et je me questionne…Forcément, si il devient si populaire, par voie de conséquence, ne perd il pas de sons essence, sens premier?…Je me suis dit que j’allais répondre a mon questionnement.

Il s’agit pour moi, d’une démarche de changement dans laquelle je prends le risque de me rencontrer, en vue de me remettre en cause, me comprendre et comprendre le sens de toutes choses afin de dynamiser autrement mes façons d’être, mes modes de pensées, mes croyances, mes certitudes et mes comportements au quotidien.

Le développement personnel se divise en approches multiformes dans lesquelles on va rencontrer sa vie psychique, sa vie mentale, son corps, sa part de spirituel et de transcendantal. Ce “programme” très ambitieux, nécessite d’ accepter aussi le risque d’ouvrir des portes derrières lesquelles se cachent de vieux schémas, de vieilles blessures et cicatrices pansées ou non.

Un gros risque en somme….

Les outils du développement personnel sont aujourd’hui très nombreux, parfois trop. Ils portent des noms qui renvoient à des chercheurs, des Psychologues ou encore des Psychothérapeutes …. Des professionnels tels que : Carl Rogers et son approche centrée sur la personne, Fritz Perls et la gestalt-thérapie, Stanislav Grof fondateur de la respiration holotropique,  Abraham Maslow cofondateur de la psychologie humaniste, Alfonso Caycedo et la sophrologie, Eric Berne et l’analyse transactionnelle dont sa distinction de trois « états du moi », C.G Jung et son approche de l’Âme et la vie, Martin Seligman et son approche de la psychologie positive….

J’aime aussi aborder le DP du point de vu de l’enfance, alors je m’inspire beaucoup de Françoise Dolto, pionnière avec la liberté qu’elle avait pour mettre en mots l’indicible et son intuition exceptionnelle dans l’écoute des enfants tout comme Maria Montessori qui accompagna les enfants en tenant compte de leur créativité. Mais aussi Isabelle Filliozat, qui me permet de prendre du recul et de changer de point de vu dans une approche plus centrée sur l’éducation positive (*dont je ferai surement un billet au détour d’un besoin)

 

 

« Lorsque nous ne sommes plus en mesure de changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer. »

Viktor Frankl

 

Se lancer dans un développement personnel c’est parler d’ouverture au changement, de mouvement de réalignement du corps, de l’âme et du cœur. Alors ce choix va favoriser un regard de l’autre, un jugement, un rejet, une critique car nombreux sont ceux qui ont peur, de se découvrir et leur réaction très humaine n’est que le reflet de leur propres blessures et immobilisme.

Le développement personnel peut être considéré comme un chemin. Chemin qui aide l’individu à se reconnaître extérieurement en tant que personne à part entière et à reprendre sa place tant intérieurement que dans la société ; cependant, il n’est pas nécessairement profond.

Soyons compatissant.

 

Toute démarche de développement personnel est une épreuve à risques. Ce peut être encore une démarche labyrinthique, anxiogène par les bouleversements qu’éventuellement elle entraîne : nouveaux choix de vie professionnelle, remise en cause des engagements affectifs ou amoureux…

 

Il est donc une méthode, des exercices, un enseignement et un lot d’apprentissage menant soit à une meilleure connaissance de soi et à un équilibre moins fragile de son interieur avec l’extérieur. Soit à l’éveil spirituel, c’est a dire l’intention d’évoluer vers soi qui se fait obligatoirement par un dépouillement important et épuisant (croyances, conditionnements, blessures…).

Le développement personnel (du personæ ego) peut être considéré comme le remplissage par des connaissances, des techniques, alors que l’éveil est selon moi plus un retour vers le Cœur de soi, son cœur, son centre.

Pour autant, le Cœur ne se découvre que dans la nudité. Apprendre donc à faire de la place en soi est nécessaire. Et là, se joue un travail de transmutation profonde, qui engage l’être dans une quête de soi, à vie, à sa rencontre en traversant des étapes qui sont plus ou moins dur.

 

“Du chaos naît une étoile”

 

 L’éveil personnel – Qu’est – ce?

Il s’agit de l’aspect profond du travail sur soi, il est directement lié et connecté avec son interieur. 

 

Ce travail se fait généralement en second partie de l’évolution d’un individu. C’est à dire, une fois que le travail extérieur, l’aspect forme a été accomplis et totalement intégrés par l’âme. La réussite d’une vie spirituelle entière et complète dépendra de l’assimilation de la vie extérieure, de son intégration totale et complète.

 

Contrairement au développement personnel qui attache un rapport entre travail de soi et extérieur en traitant les problématique tel que la famille, la société et le travail, directement en rapport avec l’individu et sa place dans le monde. L’éveil personnel, ou développement spirituel ou encore éveil spirituel, concerne tout le contraire, c’est à dire que le travail est tourné vers son Soi “sacré”. Un soi au delà de l’individu, un soi supérieur, vers l’âme et l’esprit.

Pour s’engager vers cette rencontre, il faut faire la part belle à l’âme et l’esprit en lien avec le corps comme un système complet et complexe dont chaque élément est intiment lié aux autres pour que l’être, l’individu, soi, trouve sa place dans ce monde dual.

 

 

« La vie heureuse, est celle qui est en accord avec sa propre nature. »

Sénèque

 

Ici, il est question d’élévation de la matière. Dans le développement personnel, il est plutôt question de sublimation de la matière. La matière étant ici, NOUS ! mais pouvant être aussi…AUTRE.

C’est de toute façon le seul chemin possible, car quiconque n’a pas terminé, assimilé, intégré la vie dans la matière, ne peut pas réussir sur le chemin spirituel. Il vivra des expériences en boucles, avec cette sensations de vivre de nouveau les même étapes, de revenir en arrière car il n’aura pas appris la leçon.

C’est pour cette raison que la vie matérielle est tout aussi importante que la vie spirituelle. Tel le yin et le yang il est question d’un équilibre des forces, d’un équilibre entre vie interne en soi, et vie interne avec la vie externe. Entre monde terrestre et céleste.

Un large spectre de chercheurs ont d’ailleurs élaborés des théories sur le sujet ( je mettrais des liens en source*). Au travers de la physique quantique et de la connaissance des systèmes, on élargie son point de vu à la connaissance globale du TOUT.

On est sur une élaboration importante entre:” Maîtriser son ego et se tourner vers l’âme”. Mais encore faut il (re)connaitre la notion d’âme et l’accepter afin d’y accéder.

Un travail vers soi qui nécessite de lâcher sa personnalité, conditionnée pour découvrir son essence. Cela passe par des états tel que :

Le lâcher prise

La confiance en notre essence, notre nous véritable

Le décloisonnement,

Le tombé de barrière et l’acceptation de ses peurs.

 

Cependant elle n’est là, qu’une liste exhaustive.

 

C’est une rééducation qui demande de mettre en œuvre certaines qualités et d’adopter certaines attitudes, tel que :

Sincérité et simplicité

Détermination et patience

Cesser d’accuser et de critiquer les autres

Conscience et responsabilité

Se regarder avec tendresse

Rire de soi-même

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

L’attitude spirituelle commence, par exemple, lorsque nous cessons d’accuser les autres de nos malheurs, que nous comprenons que nous sommes seul, seul porteur de notre bonheur et malheur, que nous ne devons rien attendre des autres, que nous sommes notre propre sauveur et que nous sommes notre priorité :

Il est des situations qui sont bien plus difficiles que d’autres pour porter attention à soi et à son Être intérieur, pour lesquelles notre personnalité s’impose. C’est par exemple quand nous nous sentons agressés ou spoliés par d’autres personnes et que nous sommes totalement accaparés par notre émotion. C’est une épreuve très intéressante, car elle nous permet d’aller plus loin dans notre évolution. Le travail consiste à percevoir ce qui est touché en nous et ce que cela révèle de nous. Nous découvrons généralement une vieille blessure, une peur de manquer d’amour, d’être rejeté, etc. Autrement dit, même si l’agression est réelle et doit être traitée concrètement (non en réaction, mais en construisant le meilleur pour nous-mêmes), il est encore bien plus intéressant de voir le message qu’elle nous invite à considérer. Il est une manifestation de l’être intérieur. Les situations auxquelles nous sommes confrontés sont le reflet de quelque chose de nous.

Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr

 

Nous appelons cela, les vibrations, basses (négatives) ou hautes (positives) – Sachant que les basses vibrations émises pas notre propre “nous” sont le jeu de l’ego et que les hautes vibrations sont notamment le fait de se détacher et de ne plus chercher à alimenter le négatif environnant.*

Que se soit l’une ou l’autre, se sont des démarches que j’ai entamées, qui sont dures, éprouvantes, déstabilisantes mais une telle rencontre avec soi. Un bouleversement important mais magique, une rencontre d’amour et de surprises. De tout cela, une créativité, une énergie, des émotions et des sensations qui m’on fait comprendre le sens de la vie. Le sens de mon être.

 

“En devenant un agent de changement pour moi-même, je deviens un agent de changement pour autrui. Je deviens, au sens profond du terme, un être planétaire.”

 

Alors oui , la spiritualité n’a rien d’un science exacte, d’une vérité toute faite, elle m’invite, vous invite à la crée en fonction de votre chemin. Je la vois humaniste et liée à d’autres mouvements de pensées. Je vous invite à vous faire votre propre vérité, de la partager, si vous le souhaitez, mais surtout je vous souhaite de trouver le chemin vers les profondeur de votre être.

 

.

 

Sources*

https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_personnel

Éveiller le sens de l’émerveillement !

“Quand nous cessons de nous émerveiller, nous arrêtons de croire en la vie.”
Michel Bouthot
Se permettre de nous apprécier tel que nous sommes, permet de se réconcilier avec son être. Se sont les peurs qui nous empêchent de faire entrer l’amour dans notre vie, ou de faire ce que nous aimons ou aimerions faire.
Nos peurs,  d’ou viennent – elles? De ce monde, ce monde battis sur la dualité.

Ce qui est perçu est duel. La dualité est la structure de base de l’univers physique. Tout ce qui existe, ne peut exister que grâce à son contraire.

L’amour et le non amour ne s’opposent pas 
Le masculin et le féminin ne s’opposent pas
Les ténèbres et la lumière ne s’opposent pas
Ils existent par la grâce de l’un et de l’autre

La dualité du monde n’est pas un problème. Ce qui cause la souffrance, c’est que « notre regard » soit installé dans la dualité plutôt que dans l’unité.

 

Je remarque aujourd’hui ce besoin que j’ai de me reconstruire une vision de l’amour et de réussir à l’exprimer dans ma vie. En moi. Je me suis demandé un matin, si je n’avais pas perdu mon regard émerveillé sur les choses simples de la vie.
Erreur heureuse….Non !
 Cette mésaventure m’a fait me poser des questions :
Qu’est – ce que l’amour? Qui aime -t -on?*
Qu’est – ce que le romantisme?*
Qu’est – ce qui entache l’amour romantique? *
Ce qui m’interpelle dans cette réflexion, c’est que l’émerveillement, naît de mon état de conscience à être dans un amour inconditionnel ou encore dans la croyance que je suis capable de tout, quoi qu’il arrive.
Triste constat de ce dire que nous nous sommes rencontrés, que nous nous sommes aimés et qu’à un tournant de vie, l’expérience traumatique était telle que l’amour s’en est allé. Celui- ci était présent depuis peu, si peu de temps.
Qu’est ce qui pousse l’Etre à perdre ce regard, cette “naïveté joyeuse”, ce regard innocent sur les choses rares, simples, à la croisée d’un chemin?
Retrouver son émerveillement ne serait – ce pas, s’ancrer en soi?
Une personne, qui ne se centre pas sur elle – même, en son coeur, n’est plus authentique, elle se confronte et se soumet aux exigences de son ego, laissant de nouveau entrebâiller la brèche de ses peurs. Chaque jugement envers soi – même, chaque manque d’amour de soi, ou encore illusions duelles que nous porte ce monde divisé, nous mettent face à une émotion et une posture sacrificielle de soi, douloureuse.
Mais encore des fausses croyances, failles narcissiques, faux -self et j’en passe. Tout ces états sont l’ expression lourde d’une attente, trop lourde à porter pour soi, et encore plus à faire porter à l’autre.
L’AMOUR!
On parle d’étoiles dans les yeux, de papillons dans le ventre, de palpitations dans le thorax ! On parle d’amour, mais surtout on le ressent.
Fait – il peur? Le ressent on ? Sûrement…puisque tous, avons un rapport conditionné à celui -ci, et que le politiquement correcte nous empêche de nous y épanouir. Au travers des relations amoureuses, des échanges simples, amicaux, de son rapport à soi en étant en amour pour soi – même ou encore au travers d’une sexualité épanouie.
Finalement n’est – ce pas de garder un regard pur et innocent sur soi et les autres qui nous permet d’avancer à grand pas?
“Celui qui cherche, qu’il ne cesse pas de chercher jusqu’à ce qu’il trouve et quand il trouvera, il sera troublé et, une fois troublé, il sera émerveillé et il régnera sur le Tout.”
 Comment se recentrer? ne plus s’oublier? ( en lien avec le précédent billet pdc!)
1. Prendre du temps pour soi,
2. Se prioriser,
3. Donner de l’amour aux autres mais avec autant de ferveur a soi – même,
4. Ne pas se renier, que se soit, sa nature, son âme et sa joie de vivre. (L’enfant interieur),
5. Avoir confiance en soi quoi qu’il arrive, croire en soi quoi qu’il arrive.
Lorsque nous décidons de nous émerveiller du monde, de s’y maintenir encore et toujours à l’instant, cela suppose -t -il de s’écouter?
Je vais partir du postulat que oui. Ses instincts sont fortement développer quand on a le désire de cheminer vers soi. Ressentir permet de se prioriser et aussi de voir avec les yeux grands ouverts. C’est à dire pur et innocent, mais en conscience.
A aucun moment cela ne doit nous écarter de la réalité, et du rapport à la vie quotidienne. Bien ancré dans la terre, nous ne sommes là que pour faire l’expérience d’une réflexion, pensée et de son expérimentation dans la matière. Tout cela en vivant tel un humain que nous sommes, spirituel, mais humain tout autant.
Cela nous confronte comme je l’ai évoqué au départ à nos peurs, celle de perdre pieds, de se perdre mais aussi de se trouver. La peur peut faire barrière à notre évolution, en cela nous devons nous faire confiance. C’est dans cette confiance en nous que notre regard plein d’étoiles peur pleinement nous proposer des vues merveilleuses que le monde nous propose.

” Un homme qui n’est plus capable de s’émerveiller à pratiquement cessé de vivre. “

Albert Einstein

On revient de nouveau à cette notion d’alignement, et d’intégrer que seule notre vérité intérieure nous guide vers l’amour, qu’il soit pur, conditionné, inconditionnel, romantique ou tout autre. Chacun trouve en SA vérité, en SON coeur, ce que celui – ci veut exprimer en amour. Émerveillement d’une vie alignée, simple, extraordinaire dans l’ordinaire d’un quotidien.

 

Si vous ne dites pas Adieu à toutes ces choses que vous n’avez pas pu changer, que ce soit dans votre coupe, dans votre vie, vous passerez à coté de la vie elle même et vous en serez en danger, de devenir un vieux fossile avant votre heure.

 

Joyeuse Saint Valentin, de vous à vous.

XoXo

C.

 

www.abc-citations.com

Accepter le passé, l’art de la dépendance affective !

 

 

“On ne peut résoudre les problèmes qu’on a crées avec  la manière de penser qui les a crées”

A.EINSTEIN

Quel est l’attachement qui t’empêche d’être?*

Quelle soumission/dépendance?

Quelle jouissance?* quelle possession?*

Quel conditionnement?*

 

 

Parfois je me réveille, et ma vie nocturne me balance un sujet, un de ces sujets que j’ai envie de partager, mais avant tout de comprendre, d’analyser.

Samedi matin, je me suis levée avec le furieux besoin d’écrire sur la dépendance affective. Car aujourd’hui, la relation à l’autre est une énigme pour moi. Dans notre société, qu’elle soit amical, amoureuse ou affective, celle -ci s’inscrit dans la souffrance.

 

Qu’est-ce que la dépendance affective ?

Mr Larousse en dit, que c’est un rapport de liaison étroite entre quelque chose et ce qui le conditionne, une soumission à l’autre qui concerne un sentiment, des émotions, une sensibilité. J’en comprends donc que la part de dépendance affective relève du ressentis et non de la raison.

 

Simplement !? C’est une situation ressentis, oui et celle – ci est le lit d’émotions et de sentiments ou l’on est complètement dépendant de l’autre pour se sentir bien.

En découle logiquement la notion d’auto – suffisance.

On ne naît pas dépendant affectif, on le devient…

 

Comment ? Basique-ment il découle du conditionnement de nos parents. Alors que nous sommes enfants, nous allons « interpréter » l’attitude de nos parents et la traduction sera la « mère » de notre construction interpersonnelle.

Un manque de reconnaissance, une attention et un amour insuffisant dès la petite enfance peuvent conduire à l’âge adulte à des carences, qu’il faudra forcément combler un jour ou l’autre… Nous avons en permanence le besoin de nous sentir soutenue, reconnue, encouragée, aimée par notre conjoint et nos amis ? La peur de l’abandon et de la séparation régente notre vie ? Tels sont les symptômes de la dépendance affective?

 

 

Alors oui la dépendance affective est majoritairement marquée chez les couples, mais pas que. Je dirai dans mon cas, qu’elle s’inscrit dans la sphère amicale majoritairement, mais pas que…non plus.

Pour cacher leur mal être, certaines personnes se cachent derrière des comportements qui ne leur ressemblent pas, comme l’agressivité, la colère, la fuite… le mensonge. Mais derrière leur carapace, elles ne peuvent s’empêcher d’hurler leur peine à l’intérieur d’elles-mêmes. Un tel mode de vie s’apparente hélas à bon nombre de souffrances, et n’est malheureusement pas la bonne solution. Ces personnes se mentent à elles – mêmes et au delà de se faire du mal, elles n’apportent rien de bon à l’autre.

L’addiction amoureuse…
Une personne peut être dépendante de ses amis, mais aussi de son compagnon ou de sa compagne.

Vous vivez au travers de la personne qui partage votre vie ? Vous n’avez qu’une peur, celle qu’elle vous quitte, peur de tout quitter ? Vous êtes prête à tout pour garder cette personne auprès de vous le restant de vos jours. Hey bey non, ce n’est plus que de l’amour là, c’est de l’addiction, de la dépendance….aussi vu comme de la soumission. Vous ne vivez désormais plus que par…et pour votre conjoint.

 

Lorsque vous vivez dans la dépendance affective, vous subissez, chaque soir, dans votre lit, une angoisse très, très lourde : la peur de perdre l’amour de l’autre. L’autre qui peut être votre conjoint ou votre conjointe, un membre de votre famille ou peut-être votre ami.

Lorsque vous avez des amis, vous, vous surpassez.

Lorsque vous êtes amoureux, c’est l’amour fou, la plus grande passion ! Vous vous investissez à fond dans la relation, vous ne vous autorisez pas à décevoir et vous vivez jour après jour dans la crainte ô combien grande de ne pas être à la hauteur.

Vous êtes prêt à tout pour apporter le bonheur à l’autre. Dès que quelque chose cloche, Op ! ça y est, c’est la catastrophe, c’est l’état d’alerte ! Cependant, même confronté à l’infidélité ou au flagrant désintéressement de l’autre, vous demeurez convaincu que la relation est encore possible.

Source: http://www.dependance-affective.ws/

 

Ce pose alors la question de la définition de l’amour dans et hors relation amoureuse?:

L’amour est une émotion, elle vient, part, traverse, remplit, transforme. L’humain a enfermé l’émotion “amour” dans une fonction, une exigence de nourrir une relation et d’être présent ou de vivre chaque jour, chaque instant…..mais ce n’est plus alors l’émotion que l’on exprime là, on parle de la relation amoureuse à l’autre.

L’amour est un mot qui a perdu son sens, qui est aujourd’hui mis dans une boite, dont on se sert pour affirmer que l’on aime ou n’aime plus. L’amour n’a plus son sens propre d’émotion.

C’est un ressenti puissant, qui nous soulève la poitrine par des battements de cœur, des papillons dans le ventre. Cet amour est si puissant qu’il affirme que l’on peut partager un instant avec l’autre, instant pur, qui est éphémère, car tout instants, même si ils s’enchaînent, sont différents.

Beaucoup n’osent plus exprimer l’émotion amour, à cause de notre société, du politiquement correct qui affirme que nous ne devons aimer que la personne avec qui nous sommes en relation amoureuse ou encore, que la personne envers qui nous exprimons l’amour, nous attire tout autant sexuellement avec une envie, un désir, une passion.

Je déteste les codes modernes, depuis peu je les ai abrogés. Pourquoi respecter les codes modernes, n’est – ce pas ne plus se respecter soit même que de ne pas partager cet avis? Pour-quelle raison je ne peux pas proposer au monde, une autre approche de l’amour, afin de l’éveiller à un point de vue différent, qui souvent épanouit d’avantage que de rester enfermer ou enchaîné.

Tout est choix.

L’amour est un sentiment pur, beau, certain s’aime toujours, puis moins ou plus. d’autre ne l’on pas connu et doivent l’accepter, il fait peur…car il est intense. Lourd à porter sur soi? 

Etre dans l’amour, le dire ou dire qu’il n’est plus est être honnête, envers soi et l’autre. C’est respecter l’essence même du mot et le décentrer des attentes que le conditionnement et la société nous imposent.

 

Alors forcement j’ai envie de partager sur la relation amoureuse, puis que l’amour en est la chaîne !

Je pourrais en parler des heures, mais je vais en faire un résumé. C’est pour moi le partage d’une vie avec une personne choisie, qui démarre dans le désir, bien souvent. Qui démarre aussi dans l’amour, parfois la passion; bien qu’éphémère, mais qui est en mouvement. Ne connaissant qu’une succession d’étapes, qui peut laisser l’amour être ou ne plus être. Qui laisse place à d’autres sentiments, est finalement qui n’est pas celle véhiculée dans les contes de fées et les relations romantiques comme veut nous le vendre la société et les films pour midinettes. C’est une relation complexe, qui nécessite de se dépasser sans cesse pour que cela dure si l’on voit l’avenir avec l’autre. Sans chercher dans les yeux de l’autre quelque chose qui n’existe pas.

L’amour dans la relation à l’autre, globalement est en mutation,

Aime – t – on tout le monde?*

Peut – on aimer tout le monde?*

 

Je crois en l’humain, je sais que je peux aimer tout le monde, et je m’y applique, mais je sais que je n’aime pas constamment, puisque l’amour fluctue en fonction du moment. Alors j’affectionne tendrement pour retrouver l’amour en présence, afin de me dire que l’énergie positive et créatrice que je mets dans ces relations fera évoluer mon Moi et/ou celui de l’autre.

 

Cependant, pour rebondir sur mon article précèdent, oui la dépendance émotionnelle n’est pas de l’amour, ni de l’affection, je dirai qu’elle n’est même pas une émotion. Elle nous place en situation d’insécurité face aux personnes manipulatrices:

 

Quels en sont les signes ?

  1. Une grande angoisse de l’abandon
  2. Le besoin de plaire
  3. L’incapacité d’être heureux(se ) seul(e)
  4. Renier son identité
  5. Jouer au rôle du sauveur
  6. Être jaloux(se) et possessif(ve)
  7. Accepter l’inacceptable
  8. Croire que sa valeur dépend de la présence et du regard de l’autre
  9. Le manque de confiance en Soi
  10. Une tendance à attirer des pervers narcissiques
  11. Croire que la vie n’a pas de sens sans une relation à deux
  12. Avoir peur de l’abandon et de la solitude
  13. Une tendance à sombrer dans la dépression après une rupture
  14. Une tendance à répéter des relations malsaines

 

La dépendance affective, est le trait de personnes anxieuses, en manque d’estime d’elles-mêmes ou de confiance en soi.

Cet état génère à la fois, du stress, de la jalousie, de la possession, de l’attachement face à notre besoin de l’autre.

 

“La rose qui meurt de soif a besoin du jardinier, mais le jardinier a encore plus besoin de la rose qui meurt de soif: sans la soif de sa fleur, il n’existe pas. “

Amélie Nothomb (1967- ) 

Mais comme tout trait, celui – ci peut être transformé par un travail sur soi, sur la confiance que nous avons en nous – même, en faisant le choix qui est bon pour nous. Nous dégager du négatif qui nous entoure, nous choisir nous.

Pourquoi ne pas laisser tomber tout ce qui n’a plus de beauté à nos yeux, ce négatif qui nous entoure et qui, dévoilé, n’est plus supportable? Allons vers des vibrations positives dans notre quotidien. Offrons nous les opportunités qui jusqu’à ce jour nous étaient  inaccessibles.

 

XoXo

c.

Source sur Plurielles.fr : La dépendance affective, qu’est-ce que c’est ?/ Wikipedia, pinterest, Mr larousse.