Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.
Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.
Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.
Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.
Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.
Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.
Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux. C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?
Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?
J’ai coaché des milliers de personnes dans ma vie. Le pardon est un thème central de la majorité des démarches d’accompagnement. Et je n’ai JAMAIS rencontré quelqu’un qui avait regretté d’avoir pardonné.
Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !
Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.
Quand on pardonne, pour vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.
Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.
Et bien c’est exactement ce qui ce produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?
Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.
Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot : PARDONNEZ !
« Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire. »
Carl Gustav Jung
L’ego
L’ego est le siège de la conscience : c’est lui qui permet de se sentir séparé de la mère et du reste du monde et d’être une entité pouvant à son tour affecter le monde.
L’ego adulte développe des capacités visant à satisfaire divers besoins, physiologiques, de sécurité ou d’insertion sociale.
L’enfant jeune est faible, vulnérable et dépendant de ses parents et de son environnement. A ce stade, son ego n’est pas encore formé. Par la suite, ce dernier commence à remplacer les parents et acquiert des fonctions protectrices. Sa deuxième tâche consistera à relier l’individu au monde environnant, lui apprenant à survivre, puis à s’insérer socialement et à réussir dans la vie. Certaines épreuves permettront de fortifier l’ego.
Notre ego ou notre moi est la partie consciente de nous-mêmes qui se différencie de l’océan des potentialités de l’inconscient collectif.
Pour s’affirmer il devra rompre, d’une certaine façon, avec le milieu d’où il est issu. L’ego est un outil, l’image de notre moi, notre persona, un masque. Cependant, une fois complètement développé, il doit être vidé de son contenu afin de devenir l’enveloppe qui héberge et porte l’âme (l’acteur), sans que la rencontre entre ces deux dimensions soit vécue comme un drame. Cela suppose un ego bien développé et correctement formé, conscient de ses limites et de ses qualités, tel que l’acquiert le Héros pendant la préparation de son périple : l’optimisme de l’innocent, l’entraide de l’Orphelin, le courage du Guerrier, la générosité du Bienfaiteur.
Cette personnalité bien intégrée en elle-même et dans son environnement sentira alors l’appel de l’âme, d’une force qui la conduira vers la quête de son destin. C’est seulement à ce moment-là que peut commencer la traversée.
L’âme
L’âme, pour se réaliser sans encombre, a besoin de la coopération et de la présence de l’ego qui a du bon sens et les pieds sur terre. Disons que Don Quichotte se fera accompagner de Sancho Pança pour partir en quête du trésor ou des mystères de la vie.
Pour Jung, l’âme symbolise souvent notre psyché ou le point par lequel s’expriment les archétypes de l’inconscient collectif. Elle est la partie de notre psyché qui nous connecte avec ce qui est éternel et procure la sensation de sens et de valeur à notre vie.
Nous commençons à nous occuper de l’âme lorsque nous ressentons le besoin de comprendre le sens de la vie, le sens de notre vie, que nous cherchons à nous relier au cosmos.
Elle rend possible le sens de l’unité. Malheureusement, dans nos sociétés où on la refuse, elle est contrainte de s’exprimer à travers les fissures ou les failles de la vie, dans certains moments de trouble ou de souffrance, ou bien lorsque nous traversons les grandes crises de l’existence : les transitions entre l’enfance et l’adolescence, entre l’adolescence et l’âge adulte, lors de l’entrée dans la maturité puis dans la vieillesse, enfin face à la mort.
Dans ces moments liminaux, donc de passage, où il n’y a plus ni certitudes, ni sécurité, l’âme parvient alors à s’exprimer, dans la souffrance parfois ou à travers des comportements négatifs et autodestructeurs.
De nombreuses sociétés traditionnelles ont élaboré des mythes et des rites, notamment d’initiation, pour aider à ces mûes de l’âme. Le but de l’initiation étant essentiellement de comprendre avec le langage de l’âme, par le vécu, ce que signifient les expériences de la vie.
La traversée du Héros est une initiation aux réalités du périple de l’âme. Elle nous demande de contrôler notre vie pour ensuite nous en détacher, abandonner la peur du vide, de la mort, et être prêts à expérimenter la totalité de la vie. Pour cela, il nous faut élargir l’étroit champ de vision de l’ego, nous détacher des sentiments, de la quête mais tôt ou tard il nous faut atteindre les mystères centraux de la vie et apprendre la mort, la passion, la naissance, la création, en tant que mystères.
Sans l’âme, nous sommes pareils à des automates : nous effectuons tous les mouvements possibles, mais ils manquent de sens. L’initiation nous offre l’opportunité d’expérimenter le sens de la vie et, grâce à elle, d’apprendre la quête de dépassement du Chercheur, le détachement du Destructeur, l’engagement de l’Amant et, finalement, l’union avec notre propre âme qui permet la naissance d’un nouveau Soi, le Créateur.
Le Soi
Le Soi est l’expression de l’intégrité, le point final du processus d’individuation. La traversée est achevée, le trésor retrouvé, et nous sommes de retour dans le royaume qui se transformera en fonction d’un nouveau principe ordonnateur.
L’essence du Soi est le paradoxe, car il nous permet de vivre ce qui est singulier et unique en nous et, en même temps, met notre ego en relation avec la dimension transpersonnelle.
A son niveau, le vie n’est plus perçue comme une lutte mais comme une source d’abondance. Nous devenons les rois et les reines de nos propres domaines et si nous sommes fidèles à notre Etre intérieur (le Soi), nous faisons fleurir la terre desséchée. Le soi est donc profondément blessé si l’ego et l’âme sont déconnectés. Sa réalisation demandez d’assumer pleinement nos responsabilités et de les intégrer à notre conscience.
Si l’éveil de l’ego fait surgir le particulier de l’universel, le multiple de l’unité, le retour au Soi permet de réintégrer le particulier à l’universel, le multiple à l’Un. Par la force de restitution et le lien créé par l’homme avec Dieu et toute la création, l’être refait en lui l’unité perdue.
Tout grand Gouvernant a besoin d’un Magicien pour prédire le futur, pour soigner les malades, pour créer des rituels qui relient les hommes au cosmos et maintiennent la liaison permanente avec la dimension spirituelle de la vie. Il peut aussi avoir à ses côtés un Sage qui lui donne des conseils objectifs et le sort de sa subjectivité. Et aussi un Bouffon, capable de réjouir le château et de dire au Gouvernant de terribles vérités. Le Gouvernant le Mage, le Sage et le Bouffon s’aident mutuellement et contribuent, grâce à leurs talents, à produire un royaume salutaire, prospère et joyeux. Ils symbolisent les quatre aspects du Soi intégré.
L’ombre
Nous nous savons tous porteurs d’une ombre, sorte de personnage dont la silhouette se compose de tout ce que nous refoulons et qui ne cadre pas avec l’apparence sociale que nous voulons nous donner. Cette ombre est le dragon qui se nourrit, dans l’homme mûr et bien sous tous les rapports, de tout ce que son moi refuse à intégrer consciemment. C’est le premier aspect de chaque archétype à reconnaître si l’on veut avancer dans le processus d’individuation.
La difficulté réside dans le fait que l’ombre est généralement repoussante mais qu’elle porte en elle la régénération de la vie consciente.
Elle repousse et fascine, et se laisse ainsi facilement projeter sur autrui pour éviter d’avoir à reconnaître qu’elle fait partie de nous-mêmes.
L’ombre peut se manifester par des omissions (actes manqués …) ou par des actes impulsifs, commis par inadvertance. Elle est avant tout personnelle, mais s’enracine aussi, comme l’illustre image quasi universelle du diable, dans l’inconscient collectif. Tout peuple a son diable, trop souvent projeté sur ceux qu’il ne parvient pas à intégrer dans sa vision du monde.
L’ombre pose un problème moral à l’individu car elle peut contenir aussi bien des qualités que des défauts.
La morale commune, ou celle qui a baigné l’individu dans sa jeunesse, est le plus souvent incompétente pour juger de la vraie nature de l’ombre : constructive ou destructive ? Plus qu’une morale conventionnelle et sociale qui rassure par ces concepts arrêtés de ce qui est bien ou mal, c’est d’une philosophie du risque, du combat intérieur et de la responsabilité des choix qu’il implique, que l’homme a besoin dans cette aventure. Il ne dépend que de lui que l’ombre soit son amie ou son ennemie.
Elle ne devient hostile que si elle est ignorée ou traitée avec incompréhension ; elle ne peut se transmuter que si le moi accepte l’aide du Grand Homme : du Soi. La quête du Soi est à l’image de celle du Grâal ou de toute quête initiatique de l’immortalité au sens spirituel du terme.
S’engager dans cette voie, c’est donc déjà accepter le fait qu’une crise n’est pas une fatalité insurmontable mais l’opportunité d’une nouvelle naissance par un dialogue constructif avec l’ombre : de là peuvent naître de nouveaux comportements, plus ouverts, plus riches. Une connaissance approfondie des mythes peut être d’une grande utilité car ils nous parlent, notamment des plus archaïques, un langage pas encore contaminé par une morale trop rationnelle et peuvent ainsi éveiller des images positives de dialogue avec l’ombre.
“Cette séparation avec les autres induit un mode de vie basé sur la satisfaction de ses intérêts personnels. La vie devient un champ de bataille où chacun apprend à se débrouiller seul“
Satish Kumar
J’ai du exprimer l’Ego en bien des articles précédemment écrits. C’est en ce jour que je ressens le besoin de l’aborder, surement parce que jusqu’à aujourd’hui mes recherches n’étaient pas aboutis et à ce stade, j’ai fait de telles découvertes que je pense le moment venu. Rien ne m’empechera de me repositionner au gré de mes nouvelles découvertes, celles à venir.
Je vais reprendre la définition de l’ego, de manière simplifié, puis je reviendrais sur son aspect multidimensionnel en fonction des schémas de l’être.
L’Ego ?
Il désigne généralement la représentation et la conscience que l’on a de soi. Il est tantôt considéré comme le soutien de la personnalité OU comme une entrave à notre développement spirituel. L’ego serait l’équivalent Psychologique de la conscience au sens philosophique. Il vient du latin “je”, le sujet en somme. L’unité transcendantale du Moi. Le mot ego désigne en Psychanalyse la part de la personnalité chargée d’équilibrer les différentes forces auxquelles est confronté le psychisme de l’individu. Ces forces incluent ses pulsions profondes, sa morale personnelle (comprise dans le surmoi) et la réalité du monde extérieur tel qu’il le perçoit .
La fonction de l’Ego ?
C’est un processus dynamique qui, dans son fonctionnement, produit le sentiment d’individualité. Je lis énormément sur la Psychologie et notamment depuis quelque temps sur la spiritualité. Souvent on présente l’ego comme l’ennemie publique, celui qu’il faut abattre. pourtant il est impossible de s’en débarrasser, a moins d’être mort. Déjà parce qu’il fait partie intégrante de nous, puis parce qu’il est impalpable, illusion. Malgré tout cela, l’ EGO est utile, il est notre personnage mais aussi les blessures que ce personnage s’impose à lui même et impose aux autres. Nous sommes notre pire ennemie.
L’ego a une appétence fondamentale : un désir d’existence et de plaisir, qui se traduit en pulsions de possession, de rejet et d’indifférence. Ce fonctionnement se manifeste ainsi par des attitudes passionnelles d’attraction, de répulsion ou d’indifférence, développées face aux personnes, aux choses, ou aux situations auxquelles l’ego est confronté : “je” veux ce qui est bon, ” je” ne veux pas ce qui est mauvais, “je” ne veut pas être exposé à ce qui m’est indifférent. Ces appétits de l’ego le font s’engager dans toutes sortes de lutte pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est désagréable. Malheureusement et paradoxalement, au lieu d’aboutir à ses fins, sa lutte lui crée des désagréments, conditionnements et souffrances ! Ce fonctionnement de l’ego est notre conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance.
“L’ego est notre fonctionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance. Le comprendre, c’est la clé d’une approche spirituelle !” Lama Denys Teundroup
Fondamentalement , l’ego n’est rien qu’une impression : ce sentiment que l’on a “d’être” et “d’avoir” un ego ne repose sur rien, c’est simplement une illusion. L”ego n’est pas “quelque chose” qui aurait une existence indépendante et autonome. C’est pourquoi l’ego est dit “vide d’existence propre” : cette impression n’existe que dans la combinaison des facteurs interdépendants qui la constituent. Une fois que l’illusion de l’ego est apprécié de chacun, les peurs ne sont plus, et c’est alors que l’on peut prendre en considération avec justesse que l’ego n’est pas réel et donc de fait non mesurable. Il sera alors possible d’ouvrir son esprit et prendre en considération son aspect multidimensionnel.
L’Ego multidimensionnel !
Il s’agit là d’un sujet extrêmement délicat puisqu’il demande à l’humain endoctriné dans ses croyances limitées, d’ouvrir sa conscience a des concepts inédits qui ont longtemps été cachés à l’humanité. Je ne cache pas que jusqu’à peu, je n’avais pas ouvert les yeux sur cet aspect.
Dans les croyances de 3ème dimension, l’ego exprime la personnalité de l’individu, qui a compilé toutes les leçons de ses expériences vécues depuis sa plus tendre enfance. Les psychiatres et psychologues savent très bien que la personnalité d’un individu se construit à ce moment-là. Cependant ce que la plupart des gens n’ont pas encore compris, c’est que les expériences vécues depuis cette enfance, ne sont que la juxtaposition de certains événements douloureux non résolus, provenant des « incarnations passées » de l’Âme.
L’ego doit être compris sous plusieurs niveaux, aucun n’est “mieux” ou encore “plus valable” que les autres mais tous sont à mettre en lien en fonction du profil de personnalité de chacun.
Tous détenons notre expérience, depuis l’enfance, donc chacun a un savoir, sa vérité, dont l’Ego a identifié des souffrances et mis en place un process, un schéma correspondant.
L’objectif serait que toutes personnes puisse passer par cette étape pour atteindre la 4 eme conscience, spirituelle, pour explorer, découvrir, éclairé qu’est ce que nous sommes. La nature même de notre âme. Une révélation qui n’est accessible cependant qu’à certains, quand ils sont face a eux mêmes. L’effet miroir.
Ce qui serait intéressant serai d’aborder l’Ego d’un point de vue énergétique, et de le mettre en lien avec les 4 niveaux de consciences, ce que je ferai dans un autre, ou plusieurs autres articles.
Comme je l’ai déjà dit plus haut, l’ego est nécessaire à l’élaboration d’un Moi, d’une identité, d’une personnalité. La construction d’un état d’être qui n’est en réalité l’illusion est construction de souffrances.
Cependant en fonction de nos souffrances d’enfances, et au – delà, dans le principe spirituel de la probabilité de karma d’âme, venue de vie antérieures, l’Ego est dysfonction par nécessité.
Celui ci se présente sous deux dimensions : L’ego égotique et l’ego en berne ou encore “ego inversé”. je vais revenir sur ces deux dimensions une après l’autre. Dans mes lectures j’ai pu constater que certains, parlent d’ego surdimensionné ou ego en berne (qui va comprendre tout les ego avec manque d’estime de soi) je ne suis pas tout à fait en accord avec cette conception, donc moi et mon ego, égotique, bey on va rester sur ma vérité ! celle qui me fait le plus écho.
Donc l’Ego égotique : il contrôle son environnement, sa vie et les autres. C’est un peu Moi !!! Mme maîtrise tout comme ça, pas de surprise et on voit sa vérité par sa lorgnette !!!
Puis il y a l’Ego inversé : Il pense souvent qu’il n’est pas assez bien, pas assez à la hauteur alors il va se créer un faux self, un personnage fictif qui à pour but d’être aimé et aimable par sa sphère extérieure, et il va faire ce qu’il faut pour.
“Quand je suis au contact des autres, je suis “gris”, ainsi, en fonction de mon interlocuteur, je vais tendre vers le blanc ou le noir” – Effet caméléon sociale.
La nuit noire de l’âme
Elle débarque quand l’Ego est au bout de son chemin solitaire, que tout seul on a fait son travail personnel et spirituel est qu’on est face au mur. Que seul on ne pourra plus avancer et que l’autre, est là pour qu’il se “détruise”.
Alors attention, j’entends une destruction des vieux schémas, pour transcender l’Ego et proposer un processus neuf, hors des souffrances de celui – ci. Comme il ne peut et ne doit pas être détruit, celui – ci sera parfois en sourdine et puis d’autre fois en face de Soi, pour une fois encore dépasser ses souffrances. Dépasser les illusions.
La vie, nous met sur notre chemin, des rencontres, des expériences, chacune a un sens profond, décidé à l’avance. C’est quand de manière individuelle nous sommes en quelque sorte, arrivé face au mur, celui ou l’on a appris tout ce que nous pouvions par nous même que la vie fait en sorte de nous mettre face à un élément qui va déclencher le dépassement de son Moi afin de parvenir au Soi.
J’imagine que cela dépend des personnes, que cela n’engage que celles qui souhaitent se trouver, plonger dans les profondeurs de la compréhension de leur Etre……tout entier.
Voila ce qu’est la nuit noire de l’âme, une étape de vie, je dirai même de non vie, qu’une personne va devoir traverser selon un schéma systémique, c’est une étape d’une grande intensité. C’est ce sentiment de tiraillement et/ou déchirement de l’âme. Une sensation, qui est en lien avec ce qui uni l’ensemble de notre fonctionnement interne.
Lorsque nous sommes dans un développement spirituel (je vous renvoie à mon article sur les différences entre personnel et spirituel dans le développement de Soi) , notre Âme cherche à tout prix la construction concrète de la voie du milieu*. Cela se dénote par une intense souffrance qui va toucher la personne, une étape destructrice de la personnalité, de la structure comportementale de l’Ego.
En gros on a l’impression que c’est une peine de cœur, mais en fois mille, car incomparable puisque l’on parle de la destruction de ce qui nous a permis de survivre depuis l’enfance, et au – delà. NOTRE EGO, notre Moi. et surtout que la ne se joue aucunement une relation amouro – personnel.
L’objectif ? Faire la connaissance de notre Soi profond, en gros qui nous sommes par Essence.
*Essence: Partie de notre Être qui est pure intelligence et pur amour. Il peut donc s’agir de notre Esprit “divin” ou de n’importe laquelle des parties plus denses de notre Etre. par exemple: l’âme divine et l’âme humaine utilisant son libre-arbitre selon la guidance qu’elle reçoit de l’âme “divine” et de l’Esprit “divin”. c’est notre croyance en quelque chose de plus grand, de moins matériel que le monde dans lequel nous vivons. En somme; l’univers, un dieu, le grand tout, ou encore la source, selon chacun.
L’essence en nous entraîne des expériences particulièrement lumineuses et heureuses puisqu’elles sont imprégnées d’amour et d’intelligence on reconnaît la présence de l’essence à la confiance, l’ouverture, la joie, l’émerveillement, la vie créative, la sensation du temps qui disparaît (dans le bonheur le temps passe et on ne le voit pas passer).
*Chemin du milieu: estune des voies à suivre pour nous reconnecter avec nous même. Une voie qui se définit comme celle qui mène à la fin de la souffrance et à l’accès vers la délivrance (défini dans le Bouddhisme comme le Nirvana). Le Chemin du Milieu est basé avant tout sur une attitude juste, adoptée au quotidien et construite sur des valeurs humaines que nous avons le plus souvent oubliées.
J’ai vécue une nuit noire de l’âme. Pour quelle raison j’en parle ici, parce que cela m’a permis de comprendre réellement le fonctionnement de l’Ego, au – delà de l’apport théorique que j’en avais retenue de mes études de Psycho et l’outillage fait pour ma pratique professionnelle. Une conception nouvelle, et une approche plus vivante puisque je l’ai expérimenté.
Cette nuit noire, m’a mise face à moi même, dont le seul but était de faire ma propre rencontre, celle de Soi, en éradiquant toutes les croyances inconscientes et monolithique de ma construction interne. Le travail de compensation est encore en cours, mais déjà les bienfaits se font ressentir.
Pour en revenir au profond intérêt de cette étapes d’âme. Il faut déjà prendre en considération que pour ce faire, il faut que l’être, en gros C. (moi mais dans le sens Soi) ait pris connaissance de processus importants, notamment de la Quadri dimension de la conscience de mon Moi (j’y reviendrai dans un autre article).
Ma nuit noire m’a insécurisé. Perte de temps, de construction, de tangible, d’avancée concrète, le contrôle contrôlant que je suis, en a été déstabilisé.
Plus j’ai été dans le contrôlant, plus les étapes ont augmenté en force, et en multiplicités. Jusqu’à ce que j’ai enfin accepté de lâcher prise (oui je sais, même en le notant j’ai toujours du mal à le concevoir celui – ci).
En gros je me suis dit: “Ce que je pensais être n’est pas, ce que je pense qui sera si je fais en fonction de mon schéma habituel, ne sera pas….etc….” L’objectif, je le comprends maintenant plus que jamais est de dépasser le voile de l’Ego et j’ai compris que je ne contrôlais rien.
J’ai perdu tous repères personnels de fonctionnement, de déduction. Dés que je pensais avoir trouvé une solution je constatais avec souffrance que cela ne marchait pas. Mes démarches, mes contrôles engageaient encore plus de besoin de temps….pour comprendre et lever ce voile.
J’ai compris que la manière dont j’abordais les choses, n’était pas la bonne pour atteindre mon Soi.
Donc j’ai cessé, j’ai avancé, laissant le passé au passé, mon vieux moi au passé.
Je peux dire aujourd’hui que j’ai eu une modification profonde de mes croyances. Celles envers moi-même et ce que j’ai compris de l’humanité et de la Psychologie de l’humain, et bien au – delà de ce que j’ai appris par le passé et estimé être “la vérité”. J’ai donc affranchi mes croyances, ce qui était bien ou mal, de manière méthodique, et à mon insu. J’ai touché le fond, par destruction de mes fondations. Tout ce qui était pour moi acquis ne l’était finalement pas. J’ai donc enfin vu les yeux grands ouverts ! et ça fait mal.
J’ai aussi compris et intégré que ma vérité, n’était pas la vérité, mais une vision de celle ci, la mienne. Et bien différente ou en tout cas pas celle de l’autre.
Finalement celle – ci à détruit toutes les conditions.
Je me suis retrouvée dépossédée de tout.
Plus j’ai été dans l’ego égotique, plus j’ai eu mal. ! Le but étant de réveiller une part de moi-même que je méconnais. L’enfant intérieur.
Celui dont j’ai déjà parlé, la petite moi, couchée en position fœtale. J’ai ainsi compris ma tache. La seule pour finir.: Libérer l’enfant pour lui redonner vie.
J’ai finalement déjà vécu cela de manière brève lorsque je me suis rencontrée il y a quelque temps, mais malheureusement l’Ego la ré-en murer tout aussi vite. Mais là c’est bon elle est dehors, libre dans son champ de fleur.
VA et VIS !
Tout cela pour dire que je n’ai pas cet interrupteur, celui-ci qui coupe les émotions et qui coupe la conscience face aux souffrances d’âme, je ne peux pas chuinter la souffrance, même si celle-ci est là. Je ne peux pas me fondre dans le déni.
La nuit noire de l’Âme et la destruction des Egos
Quels sont les objectifs de cette étape en fonction des types d’Ego :
1/ L’Ego égotique : L’objectif est de libérer l’enfant intérieur afin qu’il vive et non plus survive. Le laisser avoir confiance en lui. S’affirmer, poser des limites, être. Profil : Faible confiance en soi.
2/ L’Ego en berne ou Ego inversé : Réveiller l’enfant intérieur, le rendre adulte, sans le détruire ou le tuer. C’est le construire par la colère, la révolte face à sa structure parentale. Faire grandir cet enfant intérieur, sans jamais le travestir, le murer (comme dans l’autre type), le museler en lui faisant la leçon (comme sil ‘adulte qui n’est autre que l’ego, avait la raison, la vérité). Arrêter de laisser les sphères extérieures avoir le dernier mot sur ce qui est bon pour Soi. Profil : Faible estime de soi.
Cette phase de destruction et reconstruction d’un Moi au profit du Soi est très ancienne, cela remonte a Égypte antique, l’objectif était et est encore d’amener les Etre à un éveil spirituel, l’éveil de la 4 eme conscience.
On est bien d’accord que si l’on parcourt le net, ou les bibliothèques, il y a plus que nombre de référence pour comprendre les 7 chakras.
Je ne souhaite pas m’inscrire dans une énième référence, pourtant je sais bien que ce sera le cas. Je vais partager ici ma version, ma vision mais surtout comment j’applique cela humblement dans mon quotidien.
Les chakras ? C’est quoi ?
Pourquoi ces couleurs ?
Pourquoi les associés à la Lithothérapie ?
Pourquoi j’aime décoder les éléments en m’inspirant des chakras ?
En quoi cela implique un corps subtil ? Des croyances autres et une vision différente du corps et des maux de celui – ci ?
Quels sont les limites de ces soins parallèles à la médecine allopathique ?
J’ai tenté de répondre à tous mes questionnements.
Ici je ferai mon petit point théorique et par la suite, je proposerai des fiches, en fonction de mon application personnelle et lié aussi à des huiles essentielles que j’apprécie.
Petit point plume :
Je connais les chakras depuis 3 ou 4 ans maintenant, jeune padawan de la force en 7 couleurs, j’essaie d’enrichir mes connaissances à chaque étape de ma vie. Comme je sais au fond que chacune de mes leçons sont liées à ces roues du corps subtil, j’en fais un lien, entre maux et mots, et au fur et à mesure, j’y ai associé les pierres, tout d’abord, puis les H.E et ressèment les Fleurs de Bach.
Alors avant tout, sachez que toutes prises n’échappent pas à l’avis d’un médecin compètent, et qu’il ne faut jamais s’engager dans l’auto médicamentation ou de soin, sans être avisé ou encore entouré.
Il en va de sa santé.
Alors je me suis formée, et je m’accompagne au quotidien de professionnels compétents.
Le chakra, c’est quoi ?
C’est un mot, que l’on retrouve beaucoup aujourd’hui, il est souvent discuté dans le yoga, la méditation, l’ayurvéda, la médecine traditionnelle chinoise, le bouddhisme, l’hindouisme et d’autres pratiques anciennes ainsi tout ce qui s’approche de prêt ou de plus ou moins loin à la « zénitude ».
Est – ce une création moderne, un effet de mode ?
Nooooonnn !!!
C’est une science, et oui !!!, vieille de plus de 5000 ans qui nous vient des Sages Rishis* de l’Inde ancienne. Le mot désignait un disque de métal symbolisant le pouvoir de celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes, qui tient leur vie dans ses mains, mais aussi, peut-être, celui qui est à l’image de Surya, c’est-à-dire, le soleil. Il a ensuite été déféré à bouddha avec la roue de la loi.
Ces petits chakras sont au nombre de Sept, ils sont dit « majeurs » dans le corps humain et s’étendent de la base de la colonne vertébrale jusqu’à la couronne de la tête. Le mot sanskrit : chakra, se traduit littéralement par “roue” ou “cercle”. Nos chakras tournent comme des roues quand nous sommes vivants et sains, permettant à notre énergie vitale de circuler à travers nous. De haut en bas, de bas en haut, d’avant en arrière.
Lorsque nos chakras fonctionnent correctement, on dit souvent être en équilibre ou alignés, ils tournent et permettent à l’énergie de remonter le long de la colonne vertébrale (ou Kundalini). Cependant, nos chakras peuvent aussi devenir hyperactifs, sous-actifs, déséquilibrés ou même bloqués, ce qui peut nous affecter physiquement et émotionnellement. Mais tout cela j’y reviendrai lors de chaque fiche.
Un jour d’été je suis allée voir une chamane, celle-ci a apporté de l’eau à mon moulin à pensées, sur la notion de chakra ; Elle me les a réalignés et ouvert le troisième œil…ceci est une autre histoire. Mais cet échange (séance) m’a permis de bien comprendre ce qui se jouait, et j’en vis encore les effets au quotidien. Magique !
Le domaine physique peut affecter nos chakras et nos chakras peuvent affecter notre réalité physique; ils sont destinés à travailler harmonieusement, ensemble. Par exemple, si l’un de mes chakras est bloqué, cela peut se manifester par une maladie physique ou de la douleur dans cette région. De même, lorsque j’éprouve certaines émotions, elles peuvent affecter mes chakras. Quand je me sens le cœur noirci par une brisure dans mon environnement, par exemple, ceci pourrait affecter mon chakra cœur.
Quand les chakras sont équilibrés, je me sens en forme et mon corps est sain. Beaucoup de gens qui sont familiers avec le système des chakras peuvent littéralement le sentir, et peuvent intuitivement reconnaître quand leurs chakras spécifiques sont déséquilibrés. Ce n’est pas encore mon cas, pas pour tous mais pour certains. Je commence à lire et la sensation est très plaisante.
Cette étape, permet à ceux qui en sont capable de rééquilibrer eux-mêmes leurs chakras. J’en suis loin. Mais ça me va !
Comment rééquilibrer soit même ses chakras ? Cela peut être fait par la méditation, le yoga, l’auto-réflexion ; l’éveil à soi, la nutrition, la guérison énergétique, les cristaux, pierres ou même simplement en étant dans un environnement de vibrations élevées ou en examinant plus profondément mes émotions.
Les guérisseurs, les personnes qui ont ce don, peuvent également nous aider à équilibrer nos chakras. Encore faut-il trouver un professionnel compétent et aidant. C’est un don du cœur, et si le cœur n’est pas ouvert, et que l’on n’accepte pas et bien on n’est pas compétent.
Quand je parle de réalignement de chakras, je parle de savoir aligner les corps ensembles. C’est-à-dire, le corps physique, celui que nous nommons ” notre corps”, mais aussi avec l’esprit (corps mental) et l’âme (corps astral ou encore spirituel). Cela demande, tout d’abord de comprendre la nuance des 3 corps, de l’accepter comme étant une réalité, la nôtre, et de s’inscrire dans un réel désir de se découvrir, de travailler sur soi pour s’éveiller à soi.
« Des hommes de grand savoir ont découvert en réalité comment fonctionnent les chakras, leurs pétales, leurs sons, leur infini, leurs relations, leurs pouvoirs. Ils ont découvert que la vie d’un homme est totalement fondée sur ces chakras. Ils ont développé une science à part entière. Cette science a donné naissance au yoga de la Kundalini. » Yogi Bhajan
Pourquoi ces couleurs ?
Certaine personnes ont la faculté de voir une aura qui nous entoure, une couleur ! celles ci sont associés avec l’activité d’un chakra ou d’une combinaison de chakras. Notez que les couleurs de chakra n’ont pas forcement de sens. Elles reflètent une fréquence, ou vibration, spécifique. Mais elle représentent les 7 couleurs de l’arc en ciel, et nous les retrouvons aussi dans grands nombres de professions de l’accompagnement pour travailler différentes thématique, comme la chrono thérapie, la couleur en Coaching – conseil en image ou en décoration – Feng shui.
Le sens de couleurs que vous voyez peuvent être liés aux fonctions et aux caractéristiques générales des chakras. Par exemple, on pourrait faire les interprétations suivantes :
1.Rouge est la couleur du chakra racine (premier chakra) : stimule la sexualité et la capacité à être ancré. On parle alors d’enracinement à la terre. On évoque alors la sécurité, la survie, les fondamentaux, le dynamisme. Le rouge peux être indicatif d’une inflammation au niveau physique. Il donne de la vitalité et du courage. Il est aussi déconseillé pour les chambres d’enfants car il n’apaisera pas, mais soutiendra un adolescent face a ses pics d’énergies.
2.Orange est la couleur du chakra sacré (second chakra) : En continuité de la stimulation de la force vitale, il tonifie, les glandes et les fonctions sexuelles. Il permet l’abandon des émotions bloquées. L’expression d’un orange lumineux peut encourager la positivité. Il favorise les émotions, la créativité, l’association associé avec l’eau, les flux.
3.Jaune, est la couleur du chakra du plexus (troisième chakra) : Activités mentales , intellect, pouvoir personnel, volonté. Facilite la digestion et stimule l’appétit. Cette couleur est liée aux émotions telles que les peurs. Cette couleur nous aide à rayonner notre joie de vivre, notre confiance en nous et notre capacité à trouver notre place et à rayonner comme un soleil. Son élément est le feu. Digérer ici, les énergies vitales des premiers chakras, pour mieux les redistribuer.
4.Vert ou pistache (je préfère pistache, si original) est la couleur du chakra du cœur (quatrième chakra) : Amour, rapport aux autres, intégration, compassion. Couleur apaisante qui transmet : l’harmonie, l’amour, l’amitié, la sympathie. Cette une couleur bienfaisante et apaisante qui nous connecte à la nature et nous ouvre aux autres. Le vert purifie et régénère. Stimule notre capacité à aimer inconditionnellement, à recevoir cet amour universel et à vivre en paix, dans le pardon. C’est la couleur de la nature, généreuse et abondante.
5.Bleu est la couleur du chakra de la gorge (cinquième chakra) : Expression de soi, expression de la vérité, expression créative, communication, forme et motifs parfaits. Il s’agit de la voûte céleste Ce chakra et cette couleur, procure le calme, la paix et apaise les tensions . Il apaise les irritations et inflammations de la gorge. Il peut apporter la confiance et permettre de mieux s’exprimer, de mieux communiquer. Stimule notre capacité à communiquer, que ce soit à l’expression ou à l’écoute, que ce soit pour son monde intérieur ou en relation avec l’extérieur et les autres.
6.Bleu indigo profond, qui tire sur le violet est la couleur du chakra du troisième œil (sixième chakra) : Intuition, extra sensorialité, sagesse intérieure. Cette couleur stimule notre capacité de perception, développe notre intuition et clarifie notre esprit, nous conduisant vers des actions justes. Correctement stimulé, ce chakra calmera les personnes qui vous entourent. Situé au-delà du temps entre les deux hémisphères cérébraux, il peut ralentir le vieillissement. Le bleu indigo a une action favorable sur la sinusite, la fatigue oculaire ou les maux de tête parait il :).
7.Blancest la couleur du chakra couronne (septième chakra) : La connexion avec la spiritualité, la conscience, la capacité de ne faire qu’un avec l’univers. Et bien sur l’intuition, les dons et la Magie !!!
Pour conclure,
La quantité d’énergie des chakras est de même niveau que le degré de conscience ou d’évolution de l’être. Plus j’évolue, plus ma conscience s’élargit et plus mes chakras s’ouvrent pour laisser passer l’énergie. Les couleurs que nous aimons et celles que nous n’aimons pas nous renseignent sur l’ouverture de nos propres chakras.
Pourquoi les associés à la Lithothérapie ?
Les pierres chakra activent ou amplifient l’énergie des chakras. Voici une liste pour vous aider à choisir votre pierre chakra selon le chakra sur lequel vous vous concentrez :
Pierre chakra racine: Héliotrope, œil de tigre, hématite, agate, tourmaline noire
Pierre chakra sacrée: Citrine, cornaline, pierre de lune, corail
Pierre du troisième chakra: Malachite, calcite, citrine, topaze
Pierre chakra du cœur: Quartz rose, jade, calcite vert, tourmaline vert
Pierre chakra de la gorge: Lapis-lazuli, turquoise, aigue-marine
Pierre chakra du troisième œil: Améthyste, fluorine violette, obsidienne noir
Pierre chakra couronne: Sélénite, quartz clair, améthyste, diamant
Personnellement j’ai mes favoris, je les ai mis en couleurs sur la liste ci dessus.
Je mettrais plus de détails par fiche, notamment sur leur utilisation, pour débutant, un visuel et les provenances. Mais aussi comment ça marche, comment les choisir et les placer.
A très vite pour la suite.
XoXo
C.
*Sages Rishis : nom donné aux sages, ermites, au nombre de 7, qui proposaient leurs visions du monde, dans la mythologie hindoue. On es associe aux septs étoiles de la grande ourse, ils sont dans la tradition les poètes, voyants, patriarches védique qui sont aujourd’hui, comme des yogi.
*Sources:
Beaucoup de livres (je les citerai plus tard), wikipedia, guide des chakras, Guide pratique de la lithothérapie énergéticienne – Principes élémentaires et méthodes de travail De Reynald Georges Boschiero, photos pinterest