🌵Le courage de ses rêves: Celle qui a tout quitté pour se réaliser

L’instant thé (rapie) du matin

Elle a réalisé que les choses difficiles pouvaient indiquer qu’il fallait choisir un autre chemin.

Puis en a fini avec les distractions, les petites addictions qui l’éloignaient des véritables désirs de son âme. Elle a réalisé que la force du caractère venait de la concentration et de l’engagement.

Celle qui a cessé de subir ça fatigue, de lutter face aux évidences et tiraillements à un jour compris qu’il faut prendre conscience du toxique autour de soi, des manipulations. C’est une question de vie.

Celle qui pour se rassembler, s’aimer inconditionnellement et avancer vers son chemin personnel a fait des choix.

Connaissez-vous l’importance de cet acte de foi* vers soi?

Il est important de se débarrasser de ce qui ne nous convient plus pour se confirmer comme voulant se désencombrer et renaître à soi.

Déployer ses ailes c’est choisir et actionner. Cela demande de regarder la réalité en face, cesser de bloquer ses sentiments, s’ouvrir aux autres en confiance, et proposer, malgré la torpeur et le questionnement un autre paysage à sa vie. Car comme je l’ai déjà dit nous n’avons qu’une vie et une seule chance de l’écrire.

La perception de la réalité, de la spiritualité font que le choix ne tient qu’à soi.

Finalement qu’est-ce qu’un problème ?

Survient une crise, et l’esprit est incapable de relever le défi totalement.
C’est là que le problème se pose n’est-ce pas ?

La réponse inadéquate à un défi, voilà ce qui crée le problème. Faire ce qui est bon pour soi en prenant compte que tout ce que l’on choisit n’est pas bon pour tous et une réalité.

Et alors?

Celle qui a cessé de faire passer ses engagements matériels et familiaux avant ceux de son cœur a crée le besoin de défi, a cessé de s’endormir devant les crises.

Rappelez-vous que vous disposez de votre libre arbitre et la responsabilité de vos choix.

La vie lance des défis à chaque instant. Si fatiguée, si usé, nous ne voulons pas être provoqué et nous nous réfugions dans un monde « vitrine » de notre invention.
Si on écoute son cœur, on s’élève et on perçoit ce qui est vrai pour nous et on cesse d’être dans la négativité diffuse.

Un exemple parmi d’autres…quitter son travail…

C’est cessé de s’attacher à un schéma répétitif. Cela permet de prendre ses responsabilités. C’est profiter des portes nouvelles qui se proposent à soi. C’est avoir cet amour inconditionnel envers soi cette compassion.

Se pose alors la question de l’amour inconditionnel mais ceci est un autre débat.

Et vous que choisissez-vous; les schémas répétitifs ou de passer la porte et vivre ?

🌵 Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer !

Savoir dire non!

C’est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t’aimer.

Arrête d’avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.
Puis d’apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta Présence.
Arrête d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.

T’écoutes tu?


Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t’entourent, mais c’est aussi l’impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle …
Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pure sincérité …
Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es. Ça veut dire que tu dois arrêter d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.
Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.


La vérité, c’est que tu n’es pas pour tout le monde … Et que tout le monde n’est pas pour Toi …


C’est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique …
Tu sauras à quel point c’est précieux …Parce que tu as expérimenté ce qui ne l’est pas …
Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu’un qui n’en est pas capable …Plus tu perdras de temps à te priver de cette même connexion …
Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d’entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de là où elles en sont …


Mais …


Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l’intimité des gens qui t’utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle …Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires.


Peut-être que si tu arrêtes d’apparaître, tu seras moins recherché(e) …
Que si tu arrêtes d’essayer, la relation cessera …
Peut-être que si tu arrêtes d’envoyer des textos, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines …
Peut-être que si tu arrêtes d’aimer quelqu’un, l’amour entre vous va se dissoudre …

Alors prends conscience que :


Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation ! 

Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l’énergie que TOI et TOI SEUL(E) engageais pour la maintenir à flots.
Ce n’est pas de l’amour. C’est de l’attachement.C’est vouloir donner une chance à qui n’en veut pas !


La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c’est ton énergie.


Ce n’est pas que ton temps puisqu’il est est limité …C’est ton énergie !
Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie. C’est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.


Quand tu te rends compte de ça:

tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.
Tu commences à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c’est protéger ton énergie plus farouchement que n’importe quoi d’autre.
Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes « compatibles » avec toi sont autorisées.


Tu n’es pas responsable de sauver les gens.

Tu n’es pas responsable de les convaincre qu’ils doivent être sauvés.
Ce n’est pas ton travail d’exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l’instant !
Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu’ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées …


Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l’aimé(e) de ton destin, et d’accepter l’amour que tu penses mériter.


Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable, et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères.
Puis attends … juste pour un moment …Et regarde à quel point tout commence à changer …


– Auteur Inconnu –

🌵 L’essence du vide !

« Pour le comprendre, ce n’est pas au traumatisme qu’il faut penser, mais au fait que là où quelque chose aurait pu être bénéfique, rien ne s’est produit. »

 Vous avez accepté de relever le défi…

Ne me dite pas non, c’est votre ego qui parle. Car bien avant l’incarnation vous avez signé le contrat. Autant l’accepter. Mais vous avez aussi le droit de renoncer. Là intervient votre libre arbitre.

En tout cas, ce sentiment de vide est bien présent. Dans ce voyage ou pas !

Qu’est-ce ?

On est bien d’accord que j’irai au delà de la notion classique du vide. Car ici on parle de: vide fondamental dans la structure du Soi (de Moi)

Ce vide est un reste appelé le « manque-à-être ». Le vide contient une énergie qui pousse et qui fait sortir le Sujet (Vous et Moi) de l’impasse du désir de l’Autre par le biais du langage. Le langage vient donc comme symbole de l’absence-présence, afin de lutter contre le vide de l’absence. Le désir viendra alors tenter de combler ce manque par une recherche de l’objet perdu.

C’est assurément dans le silence que le vide se laisse entendre, et en le comprenant on en comprend aussi ce qu’il y a panser.

Ou prend-il naissance?:

C’est au moment ou l’enfant s’effondre dans une non-confiance, qui retenti sur son organisation intérieure.

Il a « échoué » » dans la création d’une mère suffisamment bonne ( concept de soins maternels et capacité de l’enfant à les recevoir). Le Moi de la mère soutient le Moi naissant de l’enfant en lui offrant un environnement favorable. Il peut alors développer un sentiment de continuité d’existence qui est le signe de l’émergence d’un vrai self, un vrai soi. Sinon il mettra en place un faux -self (Je vous invite à faire un tour ici pour éclairer ces notions). Soulignons encore qu’une mère suffisamment bonne, n’est pas une mère parfaite (ce qui serait également dommageable pour Soi) . N’incriminons pas maman qui fait comme elle peut. Ici nous essayons de comprendre le vide.

Donc par absence de fusion à sa maman, il échoue ensuite dans la création intérieure d’une vision de la réalité suffisamment bonne. C’est important pour soi, petit, de créer ces visions idéalisées pour sécuriser son environnement. Lorsque cela n’est pas abouti, il ne reste que le vide. Ce vide est alors un reste, ce reste ne cesse pas. Ceci est ressentis comme une chute catastrophique sans limite. L’être (l’enfant) est donc laissé dans ce « quelque chose » de non construit, creux, un équivalent d’un « non être ». L’évolution en adulte qu’il deviendra, comblera ce vide par des mécanismes de défense sécurisants en lieu et place. Cependant, ceci laissera tout de même ce vide, inactif. Son reste, etant comblé par des objets de substitutions.

Ce qui se joue

  • La « crainte de l’effondrement »
  • Le vide du regard de la mère (une mère qui se montre non réceptive au besoin exprimer de l’enfant, en contrôlant et imposant les siens)
  • Le Self et le « Soi blanc » (blanc comme défense contre la reconnaissance de l’instauration d’une dépendance)

L’homme devant l’incertain fait émerger la notion de vide et se qui en découle dans les angoisses et peurs révélées. Le vide n’est-il pas « ce qui reste quand on a tout enlevé » Il est cette possibilité de se laisser traverser par ses émotions, et ce nettoyage des vieux schémas qui ouvre la porte vers ce que l’on peut même vide remplir de nouvelles perspectives.

Le vide est la matrice de tout, la mère de tout, l’origine de tout. Ce n’est pas le vide dénué de tout, comme dans la pensée occidentale, mais un vide plein, rempli d’énergie. 

Dans le voyage d’individuation on parle de double incarnation.

Lorsque l’on décide de travailler sur soi, on part dans une quête à être pleinement son Soi. Cela sous entend que l’on va nettoyer son intériorité de tout ce qui n’est pas inné, pur soi au départ (l’enfant tel qu’il est avant les modifications adaptatives face au conditionnement et à l’éducation que ses expériences et son environnement lui imposent ou proposent). Retiré de son organisation interne, de ses « habitudes » ces parties, laisse un vide.

C’est ce vide qui est désactivé lors d’un événement violent (séparation originelle et autre trauma de vie, donc la fusion à maman). Une partie de l’esprit va « fuir » pour ne plus avoir à supporter la douleur ou la peur. La psychanalyse nous parle de clivage, on parle aussi souvent de personnalité coupée de ses émotions. On parle aussi de personnalité fuyante. C’est le paradoxe de « présence-absence » que j’évoquais plus haut. Ce sentiment de le sentir ici, présent mais en même temps non là. C’est cette sensation d’avoir comblé tous les vides en sa présence puis après séparation, ressentir de nouveau ce vide, que l’on avait désactivé avant les retrouvailles. Vous me suivez?

On peut voir chacun des êtres incarnées comme une moitié d’un tout . Et donc à moitié vide. Ce vide dont la nature humaine a horreur…

« Du vide et de l’éternité » 

Michel Cassé

Il se remplit de l’intérieur

Dans des phases de tristesse, le sentiment de manque apparaît, cette impression que la vie ne te donne pas ce dont tu as besoin, te désespère et tu t’accroches alors à la chose qui manque: L’amour.

Cette satisfaction ponctuelle apportée par l’extérieur fait naître en soi l’attachement, la dépendance affective ou la dépendance sociale, suite à ces traumas d’enfants que nous avons évoqué plus haut. En s’attachant, on bloques ce que la source veut nous donner, nous transmettre. Le monde en soi et en l’extérieur s’ouvre dès que l’on comprend que la satisfaction de ces besoins doit venir de soi m’aime. Cela nous pousse à nous créer cette famille intérieur qui nous apporte sécurisation des besoins dont on a fait défaut petit. Cela se fonde sur la confiance en l’univers, en Soi.

Dès lors que l’on comprend que l’on est le magicien de sa vie, créateur de son univers intérieur, malgré l’expérience de vie, le vécu, on reconnait l’énergie et l’intelligence de l’univers. On crée ce que l’on veut être. C’est l’essentiel et la source de tout aboutissement.

Le vide alors se rempli….de l’intérieur. Et l’on ressens l’existence, on s’y abandonne, on se détache et on lâche prise.

Sources: Lacan, la théorie de D.W. Winnicott

Mercure rétrograde

Mercure en quelques dates sur 2019

On a survécu à Mars du 6 au 28 (devient lent le 3 mars; redevient rapide le 2 avril) en Poissons

Nous y sommes, en Juillet. Du 8 en Lion au 31 juillet en Cancer (devient lent le 5 juillet; redevient rapide le 3 août)

Et nous vivrons encore de gros changement en ce moins de Novembre. Du 1 au 20 novembre en Scorpion (devient lent le 29 octobre; redevient rapide le 23 novembre).

Rétrograde en quelques mots:

La phase rétrograde des planètes fait référence à leur déplacement qui semble inversé lorsqu’on l’observe d’un point de vue géocentrique (depuis la Terre).
Ce phénomène est du aux différentes vitesses de rotation des astres qui gravitent autour du Soleil et à l’impact de ces vitesses sur celle de la Terre.

A intervalles réguliers, certaines planètes semblent ralentir, s’arrêter ou graviter différemment lorsqu’on les observe de la Terre. Ces facteurs nous affectent tous pendant la durée du processus concerné, mais également quelques temps avant et quelques temps après la phase rétrograde.

Au cours d’une phase rétrograde, un astre peut accentuer des évènements prédestinés, des problèmes passés non résolus, des mauvaises actions, des changements imprévus, tout type de blocage, des sentiments de frustration et des difficultés dans certains domaines de la vie.

Il est important de souligner que Mercure est considéré comme un “ guide spirituel” et que sa phase rétrograde peut nous permettre de renouer le contact avec notre âme. Mercure influencera grandement certains signes, notamment le Lion, le Verseau, le Taureau et le Scorpion. Son impact sera également important sur deux des signes qu’il gouverne: les Gémeaux et la Vierge.

Dans notre vie quotidienne, Mercure est lié à la communication, au commerce, à l’éducation, aux transports et par extension, cet astre gouverne les personnes qui exercent une activité en rapport avec ces domaines : les écrivains, les commerçants, les enseignants, les journalistes, les voyageurs, les chauffeurs, les facteurs, les escrocs et les spéculateurs.

Mercure en rétro, garde à toi !

Ses impactes:

Mercure perturbe la communication, elle provoque des blocages et des retards dans bien des domaine et des dysfonctionnements qui affectent  l’expression de sa voix(e). Lors de cette phase nous sommes également plus enclins à faire des erreurs de jugement ou à prendre de mauvaises décisions, à nous exprimer difficilement, à avoir des problèmes de compréhension lors de nos échanges 

En fonction de la vitesse de déplacement de Mercure pendant cette période, mais également des signes du zodiaque qui sont concernés par cette phase rétrograde, ses effets peuvent s’intensifier, s’atténuer ou ils peuvent même passer inaperçus. Alors on s’affole pas…sauf si on est Gémeaux, vierge ou encore Verseau de signe ou d’ascendant.

Pour profiter de ce phénomène sans le subir, occupez-vous de choses que vous avez remises à plus tard, bouclez les projets anciens. Soyez disposé à repenser décisions et opinions issues du passé. Ne soyez pas surpris si vous entendez parler de quelqu’un avec qui vous n’avez pas eu de contact depuis un certain temps. 

Les personnes ayant déjà un Mercure rétrograde en natal seront particulièrement sensibles pendant les périodes de rétrogradation.

Pauvre Mercure !

Cette période peut sembler uniquement négative, mais nous ne devons pas adopter un point de vue aussi réducteur pour analyser efficacement ses effets et de la même manière, nous ne devons pas uniquement nous concentrer sur les aspects négatifs des prédictions astrologiques.

Tout événement a un aspect positif et nous ne pourrons pas en bénéficier si nous n’en prenons pas conscience. Mercure passera la plupart de son temps rétrograde en Cancer, ce qui aromatisera l’énergie de ce que ce Mercure Rétrograde est destiné à apporter.

Pourquoi Mercure ? Parce que chez les Romains, Mercure était le dieu qui servait de messager aux autres dieux.

Dans le ciel cosmique, Mercure aime rester près du Soleil. Le Soleil aime avoir Mercure à ses côtés car il joue le rôle de messager. Et un messager est loin d’être négatif, dès lors que l’on écoute son intuition, ses ressentis, son cœur et que l’on couple le tout avec de la diplomatie; tout roule. On évite juste de prendre des décisions trop importantes durant cette période et tout ira pour le mieux. On s’arme de nos gemmes préférées ( Marcassite – Agate – Jaspe), d’une ou deux H.E chères à Mercure (d’Encens; Ylang Ylang, Peace de chez Doterra, et Peace and Calming de Chez Young and Leaving) qui nous chérissent en période de chakra gorge dysharmonieux (Lemon grass, Myrte, Sauge sclarée) et cela nous traversera plus subtilement.

Sources: mon.astrocenter.fr // www.marieclaire.fr // www.sciencepresse.qc.ca // www.mon-horoscope-du-jour.com // www.espritsciencemetaphysiques.com // Moi Moi Moi !!!

Le Maux du Moi : La patience

S’il est un chemin dont ont pâti d’impatience face à une passion passive… c’est bien ce voyage, celui de l’éveil à Soi et tout autant celui des flammes . Alors que finalement on ne cesse d’entendre dans les guidances « la patience, LA patience tout en agissant ». Je me suis posée cette question : que cache -on derrière la patience…L’accoutumance ? le matérialisme ? l’attachement ? le consommationniste ?

Un jour quelqu’un m’a dit, qu’il m’apprendrait la patience, j’ai envie de répondre : Il ne faut pas abuser de la patience des moutons…

Tout cela pour dire que le mot : « patience » est bien galvaudé de nos jours. Connaissons-nous vraiment le véritable sens de ce mot/maux ?

Cette question a donné naissance à deux chemins : une rubrique « les maux du MOI », un temps, mensuel ou j’exposerai ma réflexion sur un mot que j’aime ou qui me questionne. Et la reliance avec l’état d’être, l’état d’âme sur lequel il interfère. J’ai toujours aimé les mots, le langage. Je ne suis pas fervente adoratrice de l’orthographe, mais j’aime utiliser les bons mots pour exprimer les ressentis au plus juste. Quand on s’aligne en Soi, que l’on ressent enfin cette présence en Soi, c’est comme une délicieuse évidence.

Dans le langage des oiseaux, on évoquera le PA Science. Le pas vers la connaissance de l’apprentissage vécu, de l’expérience. Il sert beaucoup dans les tirages de cartes afin de comprendre l’expression symbolique de l’inconscient qui souhaite nous faire passer un message. On retrouvera d’ailleurs ce langage dans les rêves. Je vous invite à lire mon article sur ce sujet.

En étymologie il est autre. Tout autre en fonction de sa provenance. Tout autre en fonction de la classe social.

Définition de Mr Larousse :

La patience est l’aptitude d’un individu à se maîtriser face à une attente, à rester calme dans une situation de tension ou face à des difficultés, ou encore en sa qualité de persévérance.

On nous demande de travailler la patience, cependant on en a oublié qu’elle est force de l’âme, donc substance et qualité de celle là même. La société la rendu pragmatique, ce n’est pas une critique mais un fait. Elle avait ses raisons, ses besoins, son évolution. Cependant elle nous a montré sa corruption afin de nous proposer des buts à atteindre nous mettant à l’épreuve de l’impatience, et ainsi a enfermé dans une boite notre « inné »: la patience. C’est intéressant de faire le rapprochement entre ces deux miroirs opposés complémentaires et la nécessité d’avoir l’ombre pour percevoir la lumière. Le TAO est donc partout. Ces asiatiques alors !!!!

La patience est la proposition d’une ouverture à nous-même, un retour en nous qui nous amènera à nous reconnecter à ce que nous sommes par essence: Paix intérieur.

Alors oui force est de constater que le mot a varié, vrié même. Au cours des siècles, ces changements sont l’effet des changements sociaux, et occidentaux. De l’évolution vers l’involution.

La patience est d’essence, une faculté innée ; à non pas se satisfaire du moment présent, même si cela en découlera de facto mais à accueillir cette faculté d’ouverture sur l’inattendu. C’est une formule de responsabilité pour autrui, comme l’a évoqué Levinas. Celle du fait de sa volonté, son obstination, sa confiance en soi. Que l’on souffre ou pas, c’est le questionnement de se satisfaire ou pas de ce que l’on ressens. Se laisser traverser en Confiance .

Etymologie du Moi !

Revenons à ses origines.

Du latin patientia (« souffrance, endurance, courage, fermeté, résignation, obéissance, patience »). Elle est loin l’image de sagesse que nous renvoi l’étymologie populaire de vertu, de constance, de calme et de tranquillité. Même si elle évoluer vers ces thermes aujourd’hui et qu’on ne peut lui enlever.

C’est donc une Vertu qui fait supporter les adversités, les douleurs, les injures, les incommodités, …

C’est une qualité qui consiste à supporter sans impatience le comportement pénible d’une personne, d’une situation, mais encore à se persévérer dans une entreprise longue et pleine d’obstacles. Se laisser ainsi « attendre » quelqu’un ou quelque chose qui tarde sans marquer d’impatience. Quel programme !

Rappelons tout de même que l’histoire de ce mot, né du verbe latin PATI, est utilisé bien avant JC pour exprimer l’endurance, le support d’une situation, et ce de manière involontaire. Il est donc entendu que la patience est plus le reflet d’une acceptation passive, que de cette vertu de sagesse que cela sous-entend. Au départ !!!

On aura bien compris ce qui se cache derrière la patience. Cette intention morale de faire face à l’adversité des maux, de rester constant intérieurement (d’où la référence au calme intérieur) face à un extérieur qui nous tiraille. Vivre tranquillement, sans irritation, ce but, cet objectif fixé qui tarde à venir…ou qui doit venir plus tardivement que l’idée que l’on s’est fait de son acquisition. Quoi que ce pose alors la question du ; si la constance de la confiance, fait que la patience en tant que disposition morale est innée, peut-il être envisagé comme déjà acquis dans l’absolu ce qui nous tarde de voir venir à nous dans la matière ?

Je crois que dès lors que l’on accepte la notion. Ce fait, ce quelque chose que l’on ressent comme « fait pour soi », comme « étant à Soi » (sans pour autant nous appartenir), déjà acquis dans ton âme, alors il n’est plus question de patience, ou d’impatience de souffrance ou de tristesse…

Mais de lâcher prise.

C’est la transmutation plaisante de quelque chose qui ne l’est pas. C’est mettre de l’amour, de la bienveillance, de la douceur là où il n’en est pas ressenti.

Et dès lors, la patience est-elle encore celle que nous croyons ?

La patience dans ce voyage Flammes jumelles

Corneille a dit de la patience, qu’elle est de ceux dont en l’âme on craint les justes défiances.

Combien de site font état de la patience comme une clé dans ce parcours ? j’ai décidé d’ouvrir google et de noter à coté de FJ, le mot patience et voila ce qui s’affiche à moi succinctement :

  • Soyez patient, vous serez récompensé.
  • LA PATIENCE EST LA CLÉ SI VOUS SOUHAITEZ LE RETOUR DE VOTRE FLAMME JUMELLE
  • la patience est la clé 
  • la véritable valeur de la patience et que vous l’appliquerez dans votre vie quotidienne.
  • un autre travail, immobile celui-là, l’attendra : un travail sur la patience…
  •  une qualité essentielle requise pour celui qui aspire à la sagesse
  • maîtrise de soi qui est opposé en général à l’agitation naturelle, à l’impatience innée.

Reprenons l’étymologie, et réfléchissons par un plus large spectre. 

Ne serais ce pas notre inquiétude, notre attente, notre sentiment d’irritation ou tout autre manifestation des blessures intérieures qui corrompt notre patience en nervosité, anxiété et besoin soudain d’y répondre en comblant par l’extérieur. Laissant apparaître dame impatience. Mais si l’on regardait d’un autre point de vue. Ne serait – il pas plus intéressant non pas de « travailler » sa patience mais sa confiance en Soi, ainsi que toutes causes potentielles de souffrances ?

Je parle ici de FJ, dans le sens ou cette quête de fin à la souffrance qui nous tiraille pendant longtemps, la souffrance du manque, de l’abandon, du rejet, de l’insécurité font que nous voulons aller rapidement et que nous connectons avec la patience et l’impatience. C’est notre premier rôle car la mort de notre être connu à frappé à notre porte. Pourtant la patience va à l’encontre du temps, tout comme l’impatience. Ce détacher de ces termes c’est comprendre ce qui nous est demandé.

Finalement sans souffrance, est-il encore question de patience ?

Ou tout autres mots concordants.

Diderot a dit ceci :

À moins que la patience ne lui échappât et ne l’exposât à sortir de son caractère

N’est ce pas ce qui nous est demandé dans un travail d’éveil à Soi, sortir de ce caractère conditionné sur ce chemin que fut le nôtre, au passif !!! et comprendre que l’ordre des choses, la connaissance de soi ne se fait pas dans la douleur, et que la relation à Soi n’a pas obligatoirement à faire état de souffrance au quotidien. Mettre de la lumière là où il n’y en a plus, certes cela se fait dans la patience, certain y perdront leur force, d’autre la patience. Qui comme la dit SACARRON PASSE SCIENCE ou aller au-delà de ce que l’on connaissait jusqu’à’ aujourd’hui pour faire le pas vers Soi, et prendre conscience que dans l’inconnu, en confiance, naît la plus belle des vertus, celle de la relation au cœur.

Nous souffrons car nous nous attachons.

De l’autre côté du lac…

Puisque vous avancez, tôt ou tard vous arriverez au but, l’autre côté du lac…

Pour ça, pas besoin d’être parfait! Car la patience n’est pas une forme d’attente, mais la reconnexion à son pouvoir interieur, sa royauté intérieure, son intuition, son Soi. Vous pouvez l’appeler comme vous le souhaitez mais il s’agit de cet état fluide interieur, d’alignement et de confiance. Une paix que nous propose le non attachement à tout résultat, car ils sont déjà accompli puisque posés en intention profonde. Dans la science, dans les vibrations, en métaphysique et cosmologie, il n’y a pas de passé, ni futur, seulement la conscience de l’instant que nous vivons (ce fameux instant présent) et cela rassemble tout son être, son unicité.

Conclusion

Qui aurait cru que passionpatiencepatient et passif avaient la même origine ? et tous invitent à subir une action, mais bien malgré soi, de suivre les impulsions extérieures, de ne prendre aucune initiative, de n’accomplir aucune action personnelle, voire de manquer d’énergie.

C’est pourquoi transformer une phrase à la voix passive, c’est faire que le sujet grammatical n’accomplisse plus l’action mais la subisse.

Alexandra Manière

Et la passion? celle-ci qui s’oppose à l’action, dans ce qu’elle a d’involontaire, car la passion est ce mouvement violent de l’âme, en bien ou en mal, qu’on ne peut que subir.  A tel point même, qu’on peut souffrir mort ET passion, ce qui vous exposera à de grandes douleurs morales et à de grandes souffrances physiques qu’on appelait, aussi jadis, du nom de tourments.

Enfin, la passion est aussi le fait de souffrir.  Mais cela portera sur un Article distinct tellement y a à dire dessus.

Dépendance affective et/ou Co-dépendance dans le voyage d’incarnation de Soi?

Il est vrai qu’il ne faut pas réduire ces interactions et modes relationnels au seul voyage des liens d’âmes quel qu’ils soient. Il est important de le noter. En effet, on peut effectivement se retrouver en proie à ces problématiques dès lors qu’il y a relationnel: Amoureux, amical, familiale… et j’en passe.

Cependant ce qui Moi me préoccupait, était d’éclaircir ce schéma dans ce voyage précisément. Pour quelle raison, me direz vous? Simplement une réaction à beaucoup de lectures et de visionnages de vidéos sur le sujet, ou apparaît sans fin la dépendance affective et ou cependant dans ce macrocosme d’informations, je ne me retrouve que dans un seul. Oui un seul parmi des milliers qui précise que non, dans ce « lien », « processus » ou tout autre nom que vous donnerez à cette relation particulière, il n’est pas question de dépendance affective. Et oui, je partage ce point de vue.

Je vais vous l’exposer ici. Mais il est essentiel de reprendre les définitions de chaque principes.

Que nous dit la dépendance affective ?

Qu’elle est une addiction, et oui, on est accro à l’autre !
La dépendance affective est le fait de ne plus vivre pour soi mais pour l’autre. En s’effaçant totalement face à son partenaire, cet autre avec qui l’on est en relation. Le dépendant affectif sombre peu à peu dans la passivité, ou l’a non – action en mouvement. Les personnes qui souffrent de ce type de dépendance ont souvent peu confiance en elles et recherchent sans cesse l’approbation de l’autre dans toutes leurs entreprises. Elles ressentent une peur panique à l’idée d’être abandonnées et vivent la relation quel qu’elle soit, comme un combat de tous les jours.

La dépendance affective peut être le fait d’un seul des partenaires uniquement.

La dépendance affective dans un couple est un lien d’âme soeur. Et de plus je ne parlerai plus de relation amoureuse, mais d’état amoureux. Car il ne s’agit alors que d’une relation non saine, déséquilibrée, donc un état non pas une relation. Mais cela fera l’objet d’un autre billet.

Dans la dépendance affective, il y a l’idée qu’on doit tout faire pour mériter l’amour de l’autre, jusqu’à oublier ses propres besoins. C’est cette croyance d’avoir besoin de l’autre car l’autre est responsable de mon bonheur. On est bien d’accord que cela est inconscient. Et cela, sans pour autant que l’autre est ce même besoin. Cela ce confirme souvent car l’autre est très indépendant, menant sa vie comme il la chante. Cela nourrit encore plus la peur d’abandon du dépendant affectif.

Les 9 signes de la dépendance affective

1- Avoir du mal à prendre des décisions sans conseil ni validation d’un tiers.

2- Compter sur d’autres (conjoint, famille, amis) pour assumer les responsabilités dans les domaines importants de sa vie (revenus, gestion administrative, santé, organisation domestique…).

3- Craindre et éviter tout désaccord avec son interlocuteur (peur des conflits, d’être rejeté, exclu).

4- Avoir du mal à démarrer des projets ou à faire les choses par soi-même.

5- Se sentir anxieux ou complètement détendu quand on est seul, à la pensée de l’être.

6- Se rendre spontanément responsable de ce qui ne va pas (dans le domaine privé ou professionnel).

7- Se sentir obligé de satisfaire les demandes et besoins d’autrui.

8- Avoir vraiment besoin de l’approbation et du réconfort des autres.

9- Être incapable de poser et de défendre ses propres limites.

«Ils sont dépendants à tous les points de vue. Ils adhèrent aux idées et aux comportements des personnes qu’ils fréquentent»


Quentin Debray, professeur de psychiatrie

Que nous dit la codépendance émotionnelle ?

Les codépendants affectifs se sentent responsable du monde entier, 
mais refusent d’assumer la charge et la bonne marche de leur propre existence.  Autant vous dire que si vous ne vous sentez pas sauveur de l’humanité, altruiste et porté sur les autres plus que vous même vous n’êtes pas dans une codép. Comme son nom l’indique, la co-dépendance est la dépendance de deux personnes l’une à l’autre.

En codependance, on se pose en sauveur de l’autre car il y a un vide affectif à combler mais au delà, on se pose en Etre à sauver dans le besoin du sauveur (l ‘autre codépendant qui est en relation avec soi) car lui aussi à un vide affectif à combler.
Un peu comme 2 pièces qui s’emboîtent parfaitement, un peu comme le Yin et le Yang. Et une fois que l’un, celui qui souvent est dans la peur de l’abandon, vibre à l’autre qu’il peut être heureux seul, donc indépendant, car ayant avancé sur son chemin d’éveil, l’autre ne peut plus être dans cette relation, car elle ne comble plus ses manques, ayant cette peur de rejet, il va donc ne plus être possible pour les deux de maintenir la relation stable. Il y aura alors séparation.

La personne codépendante se sent constamment responsable des émotions et des états d’âme des autres.

En peu de mot, on peut dire que la personne codépendante est graduellement devenue accro à la résolution des problèmes des autres, c’est devenu son mode de vie par défaut. et d’ailleur cela se retrouve dans les choix de professions. De la même façon, les problèmes des autres causant une énorme anxiété chez elle, elle ne peut s’empêcher de vouloir trouver une solution afin de calmer celle-ci, d’essayer de rendre l’autre personne heureuse ou de calmer ses humeurs excessives. Ces autres qui sont aussi dans cette co dépendance, puisque je le rappelle il s’agit d’un mode de fonctionnement en duo, un effet miroir.

Le co-dépendant décide inconsciemment de se sacrifier dans l’espoir de le sauver, et est le plus souvent déçu.

L’origine du mal-être

Que des manques: d’Affirmation de soi, d’estime de soi et de confiance en soi. Cela vient de l’enfance

Qu’est ce qui caractéristiques la mise en lumière de la co-dépendance émotionnelle?

Comme je l’ai précisé au départ, je ne suis pas de celle qui parlerait de dépendance affective dans une relation. Je prends position et ce n’est que ma propre vision, celle qu’une relation de dépendance affective, n’est pas commune systématiquement aux deux, mais surtout a un des deux acteurs de la relation. Puisque qu’elle ne concerne qu’un des deux partenaires dans une relation de couple, on parle de blessures, blocages et bien d’autres problématiques en commun (même si traitées psychiquement de manière différentes). Dès lors que les deux sont dans une addiction, cela deviens de la codépendance. Je vous invite alors à observer vos interactions, vous seul êtes en mesure d’y trouver du sens.

Pour être plus précise, je suis celle qui avait peur de l’abandon, qui suis dépendante affective dans mes états amoureux, notamment dans ma relation « non saine » à mon actuel compagnon de vie. Une relation de dépendance, est de Celle ou je cherche à entrer dans chacune des relations à l’autre ou je veux le sauver. Je précise donc que si celui-ci en fut ou en est (oui je me soigne mais ça ne part pas en 3 sec) réceptif et souhaite mon aide, alors je plonge dans mon addiction. Me posant en hauteur – sauveur, et rentrant dans une relation passion qui n’a de cesse que de nourrir ma codépendance. Puis que l’autre aussi recherche en moi ce qui le rend codépendant.

C’est en cela que la codépendance, l’attachement ne peut avoir sa place dans une relation. Les personnes se font miroir sur des mécanismes mis en place dans d’autre relations, pour nettoyer non pas entre elles ou vis à vis d’elles cette problématique. Car deux âmes en relations sont totalement capables de vivre seules, et le cherche d’ailleurs, ce mode de vie indépendant. Etant dans des relations aux autres, conjointes, répondant au sauveur- sauvé fait d’ombre et de lumière. Elles se reflètent cela.

Rappelez vous que la vraie nature de l’Être est d’être libre, et non d’être enchaîné et codépendant.

Les âmes sont deux polarités majeurs différentes comme le + et le -. Il ne s’agit pas de deux moitiés mais de deux entiers qui, au contact l’une de l’autre, gagnent en puissance. Elles sont entières et n’ont pas besoin de l’autre pour exister. Néanmoins, comme elles sont de même essence et de polarité différente, elles s’apportent mutuellement soutien, encouragement, efficacité, performance.

Un+uN = UN

Mais quand le lien est en suspend, quand la distance est le pendant de ce voyage, il met en écho ceci: Le silence comme seul écho est le pire miroir du vide de son âme.

Il est important alors de constater que toutes ses dépendances ont été présentées, ancrées en Soi et qu’il faut avancer et s’en délester. Je me suis engagée pleinement dans la résolution du vide épique, afin de progressivement sortir des dépendances, et être enfin libre de ces chaînes.

on vous invites désormais à cesser de regarder dans votre rétroviseur. C’est ce que j’ai décidé de faire et j’ai pris des décisions fortes. La joie de vivre retrouvée, après un voyage divin mais difficile, j’ai enfin compris que ma mission était d’être indépendante.

Sortir de la dépendance affective

  • Reconnaître la dépendance
  • Prendre la responsabilité, c’est parfois dur pour l’ego, mais c’est indispensable . C’est sur notre comportement, ainsi que sur notre présent qu’il nous est possible d’agir
  • S’aimer Soi, sans culpabiliser et avec beaucoup de compassion pour ces démarches qui seront parfois sensibles.
  • Apprivoiser la solitude et s’autonomiser
  • Parler, être entendu pour être honnête enfin envers soi
  • Cultiver le positif en soi et autour de soi, pour rompre avec les vieux schémas

Sortir de la codépendance

  • Devenir responsable de soi – même et ne plus se projeter vers l’autre
  • Se détacher des personnes qui reçoivent mais ne donnent pas et harmoniser son donner – recevoir afin de ne plus toujours s’accrocher aux vases communicants et à la nécessite de prendre soin de l’autre
  • Il s’agit de lâcher prise par amour, se désinvestir mentalement, affectivement voire même physiquement
  • Réfléchir, ressentir et agir dans notre propre intérêt
  • Prendre conscience que nous n’avons pas à abdiquer notre pouvoir de réflexion et d’émotion en faveur d’un objet ou d’une personne extérieure à nous
  • Vivre sa vie et laisser derrière nous celui qui ne la partage pas de quelque manière que ce soit. La présence.

Pour conclure

La non-dépendance est l’équilibre souhaitable par lequel on admet et on satisfait son besoin naturel des autres et de leur amour sans pour autant développer une dépendance excessive et destructrice à leur égard.