Depuis des milliards d’années, la Lune est la fidèle compagne de notre berceau, la Terre. Depuis toujours, sa présence est pour nous un réconfort. Elle a permis à beaucoup d’hommes de se repérer la nuit. C’est un astre si proche de nous que 12 hommes y ont déjà posé le pied !
Sans la Lune, il est probable que la vie telle que nous la connaissons n’ait jamais pu voir le jour sur Terre. Malgré le fait que la Lune ne soit que notre satellite naturel, son influence sur notre planète est immense.
C’est elle qui organise le va-et-vient incessant des marées, grâce à sa force gravitationnelle. C’est sa force qui maintient la Terre sur son axe légèrement penché, permettant l’existence des saisons. Sans la Lune, notre Terre serait un monde déchaîné par les vents violents et les cataclysmes, et seule une forme de vie primitive serait capable de résister à un tel climat. Au delà de toutes considérations scientifiques, elle est en fait un objet céleste exceptionnel.
De plus aucune théorie scientifique actuelle ne propose des éléments autres que toutes ces incohérences que nous pouvons lire, et aucune ne prouve réellement comment la Lune s’est formée.
Au cours des décennies il y a eu beaucoup de rapports scientifiques pour et contre l’effet de la Lune sur le comportement de l’homme. Celles ci, on fait naître des textes, qui montrent une activité de l’esprit plus émergeante, différente. Certains rapport signale, que statistiquement il y a une augmentation des visites des services d’urgences générale ou psychiatrique et des personnes se plaignant de détresses physiques et mentales.
La fondation de recherche de la science de la Spiritualité (SSRF) a examiné les effets de la Lune sur le comportement humain en utilisant des recherches spirituelles méthodologiques:
“La recherche spirituelle que nous avons menée pour déterminer l’effet de la lune sur le comportement humain résulte d’une réponse courte, oui, il y a des effets sous différents aspects de comment la Lune affecte notre vie.”
Les fréquences de la Lune sont un peu plus subtiles (intangibles) que les fréquences subtiles de nos pensées mais sont moins subtiles que les fréquences des impressions dans notre esprit. Les fréquences de la Lune ont la capacité de pousser à faire surface les fréquences de pensées des impressions qui sont dans notre subconscient au conscient. Une fois qu’elles arrivent au conscient on prend conscience de ces pensées. Ainsi on est influencé par rapport aux impressions qui sont prédominantes dans notre esprit.
Symbolisme de la Lune
La Lune est en premier lieu la lumière de la nuit dans le ciel. Elle illumine la terre les nuits de pleine lune et replonge cette dernière dans le mystère de l’obscurité jusqu’à la nouvelle Lune. Ce phénomène de constante apparition, croissance et disparition de la lune symbolise la vie, la mort, puis la renaissance avec l’apparition de la nouvelle Lune. Les peuples anciens mesuraient d’ailleurs le temps grâce au cycle régulier de la lune plutôt qu’a celui du soleil.
La Lune est associée aux déesses et au principe féminin dans la plupart des cultures, même si elle est peut être associée au principe masculin dans certaines d’entre elles, comme dans le panthéon nordique pré-chrétien et dans l’Egypte ancienne. En effet, Thoth était le dieu de la lune avant que les hellénistes ne l’ait assimilé à Mercure. La diversité des déesses lunaires dans les cultures conquises par les Grecs et les Romains est attestée par le grand nombre de divinités de la lune présentes dans leur mythologie.
La plus ancienne déesse grecque est Selene, dont les deux filles ont été engendrées par Zeus. Selene a finalement été supplantée par Artémis (Diana latine, Luna), soeur jumelle d’Apollon. Artémis était la déesse vierge de la chasse et des animaux. Elle parcourait les forêts accompagnée d’une biche (cf. “Signification des symboles : le cerfs et la biche”). Tous les hommes qui lui manquaient de respect étaient sévèrement punis et souvent tués. Artémis était également l’un des protectrices de la maternité et de l’accouchement, la transformation progressive du corps féminin pendant la grossesse étant symbolisée par le croissant de lune et la pleine lune.
Les Grecs ont également affecté différentes déesses aux différentes phases lunaires. En tant que vierge chasseuse indépendante, Artemis symbolisait généralement la Lune croissante. La matrone, aspect fertile de la pleine lune estsymbolisée par Héra (Junon latine), épouse de Zeus et protectrice de la maison et de la famille. Hécate était la déesse de la lune décroissante et symbolisait la vieillesse dans la vie de la femme. Elle est un exemple de déesse qui fut puissante et vénérée et qui a été par la suite subsituée au profit de croyances orientées masculin. L’homologue de Hécate, la déesse égyptienne Hekit, présidait l’accouchement, notamment la naissance de l’enfant dieu-soleil chaque matin.
Les Phases lunaires
La Lunaison (ou période synodique) correspond aux 29,5 jours que la Lune met pour accomplir une révolution complète. Lors de ce cycle, on a l’impression que la Lune change d’apparence.
Lorsque la Lune est placée entre le soleil et la Terre, on ne la voit plus, il s’agit de la nouvelle lune.
Lorsqu’elle se déplace sur son orbite, on commence à en voir une partie qui s’illumine progressivement. C’est le croissant de Lune.
Alors qu’elle continue sur son orbite, on finit par voir toute une moitié éclairée. Il s’agit du premier quartier.
Lorsque la Lune se situe à l’opposé du soleil par rapport à nous, il s’agit de la pleine Lune. Toute sa face est visible, car éclairée par le soleil.
La Lune continue alors sa révolution orbitale et recommence à s’assombrir progressivement, jusqu’à ce qu’elle soit invisible de moitié, c’est le dernier quartier.
Les pouvoirs magiques de la lune d’après les spirituelles.com
La pleine Lune c’est le grand moment du cycle lunaire. C’est un passage très important pour le travail intérieur – pour chercher en soi, pour guérir, pour transformer les blocages, pour se libérer du vieux dans notre vie c’est à dire d’abandonner les énergies inférieures et négatives, se débarrasser de ce que nous ne voulons plus comme la culpabilité, la peur, la déception, la jalousie qui sont contre productif pour les remplacer par du productif.
La nouvelle Lune, c’est le moment où nous semons notre intention.
C’est lâcher prise et recommencer à nouveau.
Les rituels de pleine Lune
Si vous lisez ces lignes, c’est que vous croyez à la puissance de la Lune ou du moins vous avez cette curiosité d’en savoir plus. Je vous partage donc des informations complémentaires pour toutes celles et tous ceux qui souhaitent approfondir ses connaissances. Elles sont tirées du livre « La Lunologie de Yasmin Boland », co-auteure de « L’Astrologie angélique » avec Doreen Virtue et de mes propres recherches sur les mystères de la Lune.
À quoi ressemble le mois lunaire ?
Plusieurs connaissent déjà 3 phases : la nouvelle Lune, le croissant et la pleine Lune. Mais quelles sont les 5 autres phases et à quel moment arrivent-elles dans le mois ?
Les 8 phases de la Lune
Phase 1 – Nouvelle Lune – Nuit 0 – la lune est noire. C’est la phase où nous semons les graines de ce que nous souhaitons accomplir durant le mois. C’est le moment de nous dire que tout est possible, de songer à ce que l’on veut et non à ce que l’on ne veut pas. C’est le moment de visualiser notre intention, notre rêve, notre projet.
Phase 2 – Le premier croissant : 4e Nuit – la Lune est comme un croissant. Cette phase est le meilleur moment pour avoir la foi et croire en notre intention, notre rêve et de commencer les étapes pour y arriver. Les peurs apparaissent et nous devons les voir comme des apprentissages et des enseignements.
Phase 3 – Le premier quartier de Lune : 7e Nuit – demi-Lune. Cette phase nous demande de nous engager dès maintenant. L’ego se pointe à cette phase et essaye de nous persuader que nous n’avons pas ce qu’il faut pour réaliser notre rêve. C’est donc une phase pour faire le vide et laisser-aller toutes les peurs avec souplesse sans rigidité.
Phase 4 – La phase gibbeuse croissante : 11e Nuit – la Lune est au 3 quart pleine éclairée. C’est le moment de s’assurer qu’on garde le cap, qu’on se souvienne qu’il ne faut jamais abandonner. Ne laissons jamais notre ego gâcher nos plans et Dieu sait qu’il essayera. Profitons de ce moment pour ajuster, affiner, rectifier notre intention ou notre rêve pour qu’il soit parfaitement comme on le souhaite. On peut même se permettre de le changer un peu et même d’en lancer de nouveaux… car nous sommes sous l’influence de la Lune gibbeuse qui veut dire gonflée, gonflée de plein de potentiel.
Phase 5 – La pleine Lune : 15e Nuit – la Lune est complètement éclairée. C’est la phase des résultats, du pardon et de la gratitude. La pleine Lune c’est le grand moment de la phase lunaire, car c’est la phase où les vœux, les intentions, les rêves se matérialisent et/ou la phase où nous recevons des signes qu’ils se matérialiseront. C’est la phase du point culminant où l’on doit pardonner à tous et à soi pour se désintoxifier. Plus on se dégage, mieux on peut aller vers nos rêves. La pleine lune est la phase du lâcher-prise pour passer à autre chose.
Phase 6 – La phase gibbeuse décroissante : 18e Nuit – 3 quart pleine éclairée. C’est le moment de r-e-s-p-i-r-e-r. C’est le temps de se détendre et de laisser la pleine Lune faire son travail des derniers jours. Il faut avoir la foi et donc cette phase invite à augmenter sa foi. Si notre rêve ne se réalise pas, nous devons dire merci à la pleine Lune qui voit plus loin que nous. Elle sait pourquoi ce n’est pas le bon moment.
Phase 7 – Le dernier quartier de Lune : 22e Nuit – demi-Lune. C’est la phase de réévaluation et d’équilibre. C’est le point médian entre la pleine Lune et la nouvelle Lune. Il y a une tension durant cette période parce que c’est dans le milieu du soleil égotiste et la Lune émotionnelle. C’est le moment de nous donner une poussée dans le dos et de nous dire : let’s go, tu es dans un tournant, prends une décision et ce sera la meilleure.
Phase 8 – Le dernier croissant – ou la Lune balsamique – 26e Nuit– la Lune ressemble à un croissant. C’est la phase de guérison, de soulagement, d’abandon. Balsamique vient du mot baume qui signifie guérir et soulager. C’est le moment de croire que l’âme voit et sait pour nous. C’est un grand moment pour laisser aller ce qui ne fonctionne pas comme des relations en qui vous ne trouvez plus la joie. C’est un moment de relâchement.
Et pour terminer je vous dirais que La pleine Lune est aussi appelée « La reine des émotions » alors si parfois vos émotions vous semblent différentes, dites-vous que la Lune commence peut-être à avoir une grande influence sur vous !
La Lune dans le Tarot
(bey oui, je n’allais pas oublier quand même)
Kim Krans est non seulement illustratrice, mais aussi musicienne. Elle est l’artiste qui a créé The Wild Unknown, mon jeu fétiche !!!! Coup de foudre, quoi.
Dans son jeu, la Lune Nous rappelle que la conscience est vaste et profonde. Certaines parties de notre conscience se sentent en sécurité et confortables – d’autres parties se sentent mystérieuses et effrayantes. La Lune parle de toutes les manières dont l’immensité de notre inconscient peut se manifester: les rêves, les fantasmes, les visions, les illusions, les angoisses et les instincts.
Cela peut être décourageant d’explorer les vastes chambres de notre conscience. Il y a certains aspects de nous-même que vous pourriez être terrifiés à affronter, nous conduisant à les nier et à les réprimer. La Lune nous rappelle que lorsque nous refusons d’intégrer ces énergies, les énergies peuvent être destructrices. Mais quand nous sommes prêt à entrer doucement dans la lueur de la Lune, nous pouvons intégrer ces énergies inconscientes dans notre conscience consciente.
J’aime regarder cette carte, je m’imagine assise au bord du Lac, je contemple la forêt en fond de paysage et, perché au sommet des arbres, cette Lune, l’ombre illuminant la lumière, comme un éclairage dans les profondeurs de l’eau paisible d’un lac attristé.
Quand je vois la Lune, je sais que je suis actuellement en train de faire l’expérience de la perplexité. Mon imagination est l’outil le plus puissant que j’ai et quand il est utilisé avec révérence, et modération, il est une mine d’or à l’expression de mon être. Cependant, si je m’y plonge trop profondément, je me retrouve perdu dans la confusion obscure de mon esprit inconscient. Il peut être si sain de faire de la place pour le spirituel et l’anormal dans notre vie. Mais il est également important de nous assurer de ne pas perdre complètement notre orientation, les pieds sur terre, car c’est ici que nous vivons, sur terre, bien enraciné dans la matière.
Cherchez des façons de laisser vagabonder votre imagination tout en conservant votre lien avec quelque chose de solide.
C’est ce que m’a appris mon inspiratrice, Carrie Mallon* a qui je dois comme a tous, la traduction et l’interprétation pointu de mon jeu de tarot. Un apprentissage au quotidien.
Chez Freud, la conscience n’est que la surface d’un iceberg entièrement immergé et constitué par le pouvoir de l’inconscient. La conscience n’est que “ce qui est connu de soi-même” : “il se passe dans le psychisme bien plus de choses qu’il ne peut s’en révéler à la conscience” (citation de Freud issue de Essai de Psychanalyse).
Définition clinique :
La conscience représente l’ensemble des sentiments et des pensées d’une personne et comprend la connaissance de sa propre existence, ses sensations, la perception et l’interprétation de son environnement et de son monde intérieur. En pratique, on peut évaluer le contenu de la conscience du monde extérieur en analysant les gestes moteurs volontaires et reproductives exécutés en réponse aux ordres simples.
Pour le clinicien, la conscience nécessite à la fois l’éveil* et la perception* consciente du monde extérieur.
L’éveil (clinique) présente un continuum de comportements, du sommeil profond à l’éveil total. Ce n’est pas non plus un mécanisme de tout ou rien : même durant le sommeil, nous restons sensibles au monde environnant, et une stimulation extérieure intense, inattendue ou nouvelle peut nous éveiller. L’éveil (spirituel ou encore « illumination), s’évoque et se retrouve souvent dans les pensées bouddhiste et à l’hindouiste, désigne un état de conscience supérieur. Cette notion évoque traditionnellement une libération totale de l’ego (en tant que « moi » commun) et l’avènement d’une nouvelle conscience unifiée avec l’univers ou avec le divin, selon les croyances. Un tel état de conscience qui ne pourrait, par nature, être défini par les mots, est censé ouvrir l’individu à la connaissance spirituelle, au ravissement de l’âme, à un sentiment de communion ou une perception holistique de l’existence.
Les 4 plans de conscience :
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« L’esprit est un bon serviteur et un mauvais maître »
H.P Blavatsky
Le mental est un ensemble qui vous a été donné. Il ne vous est pas intrinsèque. Le mental est cultivé, il est ce que la société a implanté en nous. Il n’est pas Nous. La conscience est notre nature, le mental est juste la circonférence créée par la société autour de nous, par la culture, par votre éducation. Il est donc notre conditionnement, la logique, ce qui nous permet de comprendre notre environnement, de nous y adapter.
Le mental ne peut pas être tue, ni silencieux. Si le silence est là, il n’y a aucun mental. Lorsque le mental est présent, il n’y a aucun silence. Il nous perturbe, est une maladie. Le mental est une rivière, courant de pensée, créant des pensées tel un flux éternel. Le mental se déplace dans le temps, paradoxalement la conscience vit sans notion de temps. Il ne nous permet pas de s’ancrer, et d’Etre soi.
Il est la logique, cette voix de schéma, de préjugés et stéréotype, de masque et faux – self. Le siège de l’Ego.
Comment le faire taire?
Cela n’est pas possible, cependant on peut le dompter. Ne plus être “victime” de son mental, bourreau de sa vie, mais de faire qu’il serve l’âme. La méditation et le changement de la pensée, permette de lâcher son mental, ainsi à force de pratique, vous ressentez un certain calme et une certaine paix. C’est le début de l’ état naturel de fusion consciente avec l’Être qui est, généralement, obscurcie par le mental.
Lorsque vous pénétrer de plus en plus profondément dans cet état de vide mental ou de « non-mental », comme on le nomme parfois en Orient, vous atteignez la conscience pure. Et dans cette situation, vous ressentez votre propre présence avec une intensité et une joie telles que toute pensée, toute émotion, votre corps physique ainsi que le monde extérieur deviennent activement insignifiants en comparaison.
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“Le corps peut réagir à une menace avant même qu’elle ait été consciemment identifiée. “
Serge Tisseron
Longtemps mis de côté par la psychanalyse, ravalé au rang de machine par la médecine classique, le corps est en train d’opérer un sérieux come-back en Occident. En témoignent le développement des thérapies psychocorporelles, l’engouement pour les techniques orientales comme le tai-chi, le qi gong ou encore le yoga, mais aussi, paradoxalement, des mises en scènes artistiques ou médiatiques dans lesquelles la présence du corps est affirmée dans l’outrance et la provocation. Aujourd’hui, ces corps « piercés », tatoués, hypersexualisés, tels qu’on peut les voir dans la rue, la publicité ou la mode, ne sauraient être réduits à une simple opération commerciale, mais annoncent un retour en force du corps dans notre culture.
Le corps à l’insu de la conscience ne cesse de résoudre des situations complexes. Il possède ses signaux, ses systèmes d’information et de commande. Parfois, il ouvre la voie à une possible transmission de l’indicible, l’inimaginable, l’incompréhensible, le non-symbolisable. Le corps a ses mémoires. Dès lors qu’on accepte qu’il n’y a pas de différence entre le corps et l’esprit, qu’il n’y a pas de pensée sans corps ni de corps sans pensée, une réflexion devient possible sur l’intelligence des corps.
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“Au commencement était l’émotion.”
Louis-Ferdinand Céline
Lorsque vous commencez à vous ouvrir à ce chemin spirituel ou lorsque vous cheminez depuis un certain temps, vous êtes beaucoup plus fragiles émotionnellement parce votre fréquence vibratoire est moins dense. Vous n’avez donc pas de couches de protection. Certains moments sont donc pénibles parce que les larmes viennent facilement aux yeux.
L’émotionnel a une immense importance ! C’est l’énergie générée par votre centre émotionnel qui dirige vos pensées, vos sentiments et vos relations avec les autres.
Comment pouvoir travailler, discipliner ce centre émotionnel ?Tout simplement en comprenant son fonctionnement !
Le centre émotionnel gère deux énergies : les émotions positives qui vous propulsent vers l’avant et les émotions négatives qui vous clouent sur place. Il faut donc apprendre à faire le tri, à prendre ce qui est bon pour vous, ce qui vous élève et à transformer ce qui vous empêche d’avancer.
Comment le faire ? Simplement en les reconnaissant ! Quand une pensée perturbatrice émanant de votre centre émotionnel se présente à vous et parfois même vous submerge, prenez du receul par rapport à cette émotion, regardez-la et dites lui : Je te reconnais mais tu ne me déstabilisera pas ! Je t’envoie tout l’Amour que je suis capable de te donner et te demande de me quitter !
Faites-le une fois, deux fois, trois fois et vous verrez avec quelle aisance vous stabilisez votre centre émotionnel. Mais tant que vous serez perturbés par un non lâcher prise, par une souffrance quelle qu’elle soit, votre centre émotionnel générera ces émotions négatives qui vous cloueront sur place, qui vous perturberont.
Plus vous avancerez, plus vous réussirez à rester centrés. Si vous arrivez à élever votre fréquence vibratoire, quitte même à ne plus être protégés de la même façon par la coque de votre matière dense, vous arriverez à comprendre réellement votre fonctionnement au niveau émotionnel et vous n’aurez plus aucun problème.
N’oubliez pas que certaines maladies prennent naissance dans votre centre émotionnel, entre autres les dépressions. Tout peut se gérer avec des prises de conscience. Un jour vous prenez un peu conscience de quelque chose, le lendemain d’une autre chose, et c’est ainsi que vous évoluez, par petites prises de consciences successives.
Ne bloquez pas vos émotions ! Laissez-les s’exprimer, même au travers des larmes, mais essayez vraiment de les comprendre pour les reconnaître et faire ce que nous avons dit : leur parler, les éclairer afin qu’elles s’en aillent ou soient simplement absorbées par l’Amour que vous leur enverrez. Nous parlons essentiellement des émotions perturbatrices.
Chacun gérera son centre émotionnel selon son niveau de conscience et son évolution. Il n’y a pas de méthode unique, il y en a plusieurs et chacun trouvera la sienne s’il veut réellement se recentrer en permanence. Nous vous donnons une petite méthode mais il en existe bien d’autres. »
Monique Mathieu
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“La spiritualité a besoin d’être cosmique, de nous permettre de vivre avec vénération le mystère de l’existence, avec gratitude le don de la vie et avec humilité dans le lieu que l’être humain occupe dans la nature.”
Leonardo Boff
Ce qui est de l’ordre de l’esprit ou de l’âme, qui concerne sa vie, ses manifestations, qui est du domaine des valeurs morales et intellectuelles; (personne) qui étudie ce domaine.Qui est esprit, qui n’a pas de corps.
Il est très difficile d’expliquer le spirituel, mais je crois revenir souvent sur le sujet.
C’est un mot très utilisé dans la religion, où on le définit comme ce secteur de la vie où se trouve Dieu. Mais la religion n’est pas la seule dimension qui parle du spirituel. D’un point de vue philosophique, ce mot peut avoir d’autres significations. En dehors de la religion, nous avons tendance à penser que le spirituel est la même chose que le psychologique. De ce point de vue, ce qui compose cette spiritualité serait toutes les pensées, les sentiments et les émotions qui nous habitent. Mais ce n’est pas tout à fait vrai : le spirituel va au-delà du psychologique.
Les philosophies et les pratiques qui définissent le spirituel comme un tout qui donne un sens de transcendances à la vie sont très nombreuses. Dans cette perspective, le spirituel a un lien avec la pratique de la vertu, dans le but d’atteindre un état de liberté ou de libération ou, en tout cas, de plus grande évolution.
La conscience spirituelle est difficilement atteignable par tous, dans le sens ou elle nécessite que l’on s’investisse dans le monde de soi profond, dans le besoin et l’envie de se rencontrer. Cela implique des étapes d’apprentissage et l’éveil vers Soi.
“Cette séparation avec les autres induit un mode de vie basé sur la satisfaction de ses intérêts personnels. La vie devient un champ de bataille où chacun apprend à se débrouiller seul“
Satish Kumar
J’ai du exprimer l’Ego en bien des articles précédemment écrits. C’est en ce jour que je ressens le besoin de l’aborder, surement parce que jusqu’à aujourd’hui mes recherches n’étaient pas aboutis et à ce stade, j’ai fait de telles découvertes que je pense le moment venu. Rien ne m’empechera de me repositionner au gré de mes nouvelles découvertes, celles à venir.
Je vais reprendre la définition de l’ego, de manière simplifié, puis je reviendrais sur son aspect multidimensionnel en fonction des schémas de l’être.
L’Ego ?
Il désigne généralement la représentation et la conscience que l’on a de soi. Il est tantôt considéré comme le soutien de la personnalité OU comme une entrave à notre développement spirituel. L’ego serait l’équivalent Psychologique de la conscience au sens philosophique. Il vient du latin “je”, le sujet en somme. L’unité transcendantale du Moi. Le mot ego désigne en Psychanalyse la part de la personnalité chargée d’équilibrer les différentes forces auxquelles est confronté le psychisme de l’individu. Ces forces incluent ses pulsions profondes, sa morale personnelle (comprise dans le surmoi) et la réalité du monde extérieur tel qu’il le perçoit .
La fonction de l’Ego ?
C’est un processus dynamique qui, dans son fonctionnement, produit le sentiment d’individualité. Je lis énormément sur la Psychologie et notamment depuis quelque temps sur la spiritualité. Souvent on présente l’ego comme l’ennemie publique, celui qu’il faut abattre. pourtant il est impossible de s’en débarrasser, a moins d’être mort. Déjà parce qu’il fait partie intégrante de nous, puis parce qu’il est impalpable, illusion. Malgré tout cela, l’ EGO est utile, il est notre personnage mais aussi les blessures que ce personnage s’impose à lui même et impose aux autres. Nous sommes notre pire ennemie.
L’ego a une appétence fondamentale : un désir d’existence et de plaisir, qui se traduit en pulsions de possession, de rejet et d’indifférence. Ce fonctionnement se manifeste ainsi par des attitudes passionnelles d’attraction, de répulsion ou d’indifférence, développées face aux personnes, aux choses, ou aux situations auxquelles l’ego est confronté : “je” veux ce qui est bon, ” je” ne veux pas ce qui est mauvais, “je” ne veut pas être exposé à ce qui m’est indifférent. Ces appétits de l’ego le font s’engager dans toutes sortes de lutte pour obtenir ce qui lui est agréable et éviter ce qui lui est désagréable. Malheureusement et paradoxalement, au lieu d’aboutir à ses fins, sa lutte lui crée des désagréments, conditionnements et souffrances ! Ce fonctionnement de l’ego est notre conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance.
“L’ego est notre fonctionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance. Le comprendre, c’est la clé d’une approche spirituelle !” Lama Denys Teundroup
Fondamentalement , l’ego n’est rien qu’une impression : ce sentiment que l’on a “d’être” et “d’avoir” un ego ne repose sur rien, c’est simplement une illusion. L”ego n’est pas “quelque chose” qui aurait une existence indépendante et autonome. C’est pourquoi l’ego est dit “vide d’existence propre” : cette impression n’existe que dans la combinaison des facteurs interdépendants qui la constituent. Une fois que l’illusion de l’ego est apprécié de chacun, les peurs ne sont plus, et c’est alors que l’on peut prendre en considération avec justesse que l’ego n’est pas réel et donc de fait non mesurable. Il sera alors possible d’ouvrir son esprit et prendre en considération son aspect multidimensionnel.
L’Ego multidimensionnel !
Il s’agit là d’un sujet extrêmement délicat puisqu’il demande à l’humain endoctriné dans ses croyances limitées, d’ouvrir sa conscience a des concepts inédits qui ont longtemps été cachés à l’humanité. Je ne cache pas que jusqu’à peu, je n’avais pas ouvert les yeux sur cet aspect.
Dans les croyances de 3ème dimension, l’ego exprime la personnalité de l’individu, qui a compilé toutes les leçons de ses expériences vécues depuis sa plus tendre enfance. Les psychiatres et psychologues savent très bien que la personnalité d’un individu se construit à ce moment-là. Cependant ce que la plupart des gens n’ont pas encore compris, c’est que les expériences vécues depuis cette enfance, ne sont que la juxtaposition de certains événements douloureux non résolus, provenant des « incarnations passées » de l’Âme.
L’ego doit être compris sous plusieurs niveaux, aucun n’est “mieux” ou encore “plus valable” que les autres mais tous sont à mettre en lien en fonction du profil de personnalité de chacun.
Tous détenons notre expérience, depuis l’enfance, donc chacun a un savoir, sa vérité, dont l’Ego a identifié des souffrances et mis en place un process, un schéma correspondant.
L’objectif serait que toutes personnes puisse passer par cette étape pour atteindre la 4 eme conscience, spirituelle, pour explorer, découvrir, éclairé qu’est ce que nous sommes. La nature même de notre âme. Une révélation qui n’est accessible cependant qu’à certains, quand ils sont face a eux mêmes. L’effet miroir.
Ce qui serait intéressant serai d’aborder l’Ego d’un point de vue énergétique, et de le mettre en lien avec les 4 niveaux de consciences, ce que je ferai dans un autre, ou plusieurs autres articles.
Comme je l’ai déjà dit plus haut, l’ego est nécessaire à l’élaboration d’un Moi, d’une identité, d’une personnalité. La construction d’un état d’être qui n’est en réalité l’illusion est construction de souffrances.
Cependant en fonction de nos souffrances d’enfances, et au – delà, dans le principe spirituel de la probabilité de karma d’âme, venue de vie antérieures, l’Ego est dysfonction par nécessité.
Celui ci se présente sous deux dimensions : L’ego égotique et l’ego en berne ou encore “ego inversé”. je vais revenir sur ces deux dimensions une après l’autre. Dans mes lectures j’ai pu constater que certains, parlent d’ego surdimensionné ou ego en berne (qui va comprendre tout les ego avec manque d’estime de soi) je ne suis pas tout à fait en accord avec cette conception, donc moi et mon ego, égotique, bey on va rester sur ma vérité ! celle qui me fait le plus écho.
Donc l’Ego égotique : il contrôle son environnement, sa vie et les autres. C’est un peu Moi !!! Mme maîtrise tout comme ça, pas de surprise et on voit sa vérité par sa lorgnette !!!
Puis il y a l’Ego inversé : Il pense souvent qu’il n’est pas assez bien, pas assez à la hauteur alors il va se créer un faux self, un personnage fictif qui à pour but d’être aimé et aimable par sa sphère extérieure, et il va faire ce qu’il faut pour.
“Quand je suis au contact des autres, je suis “gris”, ainsi, en fonction de mon interlocuteur, je vais tendre vers le blanc ou le noir” – Effet caméléon sociale.
La nuit noire de l’âme
Elle débarque quand l’Ego est au bout de son chemin solitaire, que tout seul on a fait son travail personnel et spirituel est qu’on est face au mur. Que seul on ne pourra plus avancer et que l’autre, est là pour qu’il se “détruise”.
Alors attention, j’entends une destruction des vieux schémas, pour transcender l’Ego et proposer un processus neuf, hors des souffrances de celui – ci. Comme il ne peut et ne doit pas être détruit, celui – ci sera parfois en sourdine et puis d’autre fois en face de Soi, pour une fois encore dépasser ses souffrances. Dépasser les illusions.
La vie, nous met sur notre chemin, des rencontres, des expériences, chacune a un sens profond, décidé à l’avance. C’est quand de manière individuelle nous sommes en quelque sorte, arrivé face au mur, celui ou l’on a appris tout ce que nous pouvions par nous même que la vie fait en sorte de nous mettre face à un élément qui va déclencher le dépassement de son Moi afin de parvenir au Soi.
J’imagine que cela dépend des personnes, que cela n’engage que celles qui souhaitent se trouver, plonger dans les profondeurs de la compréhension de leur Etre……tout entier.
Voila ce qu’est la nuit noire de l’âme, une étape de vie, je dirai même de non vie, qu’une personne va devoir traverser selon un schéma systémique, c’est une étape d’une grande intensité. C’est ce sentiment de tiraillement et/ou déchirement de l’âme. Une sensation, qui est en lien avec ce qui uni l’ensemble de notre fonctionnement interne.
Lorsque nous sommes dans un développement spirituel (je vous renvoie à mon article sur les différences entre personnel et spirituel dans le développement de Soi) , notre Âme cherche à tout prix la construction concrète de la voie du milieu*. Cela se dénote par une intense souffrance qui va toucher la personne, une étape destructrice de la personnalité, de la structure comportementale de l’Ego.
En gros on a l’impression que c’est une peine de cœur, mais en fois mille, car incomparable puisque l’on parle de la destruction de ce qui nous a permis de survivre depuis l’enfance, et au – delà. NOTRE EGO, notre Moi. et surtout que la ne se joue aucunement une relation amouro – personnel.
L’objectif ? Faire la connaissance de notre Soi profond, en gros qui nous sommes par Essence.
*Essence: Partie de notre Être qui est pure intelligence et pur amour. Il peut donc s’agir de notre Esprit “divin” ou de n’importe laquelle des parties plus denses de notre Etre. par exemple: l’âme divine et l’âme humaine utilisant son libre-arbitre selon la guidance qu’elle reçoit de l’âme “divine” et de l’Esprit “divin”. c’est notre croyance en quelque chose de plus grand, de moins matériel que le monde dans lequel nous vivons. En somme; l’univers, un dieu, le grand tout, ou encore la source, selon chacun.
L’essence en nous entraîne des expériences particulièrement lumineuses et heureuses puisqu’elles sont imprégnées d’amour et d’intelligence on reconnaît la présence de l’essence à la confiance, l’ouverture, la joie, l’émerveillement, la vie créative, la sensation du temps qui disparaît (dans le bonheur le temps passe et on ne le voit pas passer).
*Chemin du milieu: estune des voies à suivre pour nous reconnecter avec nous même. Une voie qui se définit comme celle qui mène à la fin de la souffrance et à l’accès vers la délivrance (défini dans le Bouddhisme comme le Nirvana). Le Chemin du Milieu est basé avant tout sur une attitude juste, adoptée au quotidien et construite sur des valeurs humaines que nous avons le plus souvent oubliées.
J’ai vécue une nuit noire de l’âme. Pour quelle raison j’en parle ici, parce que cela m’a permis de comprendre réellement le fonctionnement de l’Ego, au – delà de l’apport théorique que j’en avais retenue de mes études de Psycho et l’outillage fait pour ma pratique professionnelle. Une conception nouvelle, et une approche plus vivante puisque je l’ai expérimenté.
Cette nuit noire, m’a mise face à moi même, dont le seul but était de faire ma propre rencontre, celle de Soi, en éradiquant toutes les croyances inconscientes et monolithique de ma construction interne. Le travail de compensation est encore en cours, mais déjà les bienfaits se font ressentir.
Pour en revenir au profond intérêt de cette étapes d’âme. Il faut déjà prendre en considération que pour ce faire, il faut que l’être, en gros C. (moi mais dans le sens Soi) ait pris connaissance de processus importants, notamment de la Quadri dimension de la conscience de mon Moi (j’y reviendrai dans un autre article).
Ma nuit noire m’a insécurisé. Perte de temps, de construction, de tangible, d’avancée concrète, le contrôle contrôlant que je suis, en a été déstabilisé.
Plus j’ai été dans le contrôlant, plus les étapes ont augmenté en force, et en multiplicités. Jusqu’à ce que j’ai enfin accepté de lâcher prise (oui je sais, même en le notant j’ai toujours du mal à le concevoir celui – ci).
En gros je me suis dit: “Ce que je pensais être n’est pas, ce que je pense qui sera si je fais en fonction de mon schéma habituel, ne sera pas….etc….” L’objectif, je le comprends maintenant plus que jamais est de dépasser le voile de l’Ego et j’ai compris que je ne contrôlais rien.
J’ai perdu tous repères personnels de fonctionnement, de déduction. Dés que je pensais avoir trouvé une solution je constatais avec souffrance que cela ne marchait pas. Mes démarches, mes contrôles engageaient encore plus de besoin de temps….pour comprendre et lever ce voile.
J’ai compris que la manière dont j’abordais les choses, n’était pas la bonne pour atteindre mon Soi.
Donc j’ai cessé, j’ai avancé, laissant le passé au passé, mon vieux moi au passé.
Je peux dire aujourd’hui que j’ai eu une modification profonde de mes croyances. Celles envers moi-même et ce que j’ai compris de l’humanité et de la Psychologie de l’humain, et bien au – delà de ce que j’ai appris par le passé et estimé être “la vérité”. J’ai donc affranchi mes croyances, ce qui était bien ou mal, de manière méthodique, et à mon insu. J’ai touché le fond, par destruction de mes fondations. Tout ce qui était pour moi acquis ne l’était finalement pas. J’ai donc enfin vu les yeux grands ouverts ! et ça fait mal.
J’ai aussi compris et intégré que ma vérité, n’était pas la vérité, mais une vision de celle ci, la mienne. Et bien différente ou en tout cas pas celle de l’autre.
Finalement celle – ci à détruit toutes les conditions.
Je me suis retrouvée dépossédée de tout.
Plus j’ai été dans l’ego égotique, plus j’ai eu mal. ! Le but étant de réveiller une part de moi-même que je méconnais. L’enfant intérieur.
Celui dont j’ai déjà parlé, la petite moi, couchée en position fœtale. J’ai ainsi compris ma tache. La seule pour finir.: Libérer l’enfant pour lui redonner vie.
J’ai finalement déjà vécu cela de manière brève lorsque je me suis rencontrée il y a quelque temps, mais malheureusement l’Ego la ré-en murer tout aussi vite. Mais là c’est bon elle est dehors, libre dans son champ de fleur.
VA et VIS !
Tout cela pour dire que je n’ai pas cet interrupteur, celui-ci qui coupe les émotions et qui coupe la conscience face aux souffrances d’âme, je ne peux pas chuinter la souffrance, même si celle-ci est là. Je ne peux pas me fondre dans le déni.
La nuit noire de l’Âme et la destruction des Egos
Quels sont les objectifs de cette étape en fonction des types d’Ego :
1/ L’Ego égotique : L’objectif est de libérer l’enfant intérieur afin qu’il vive et non plus survive. Le laisser avoir confiance en lui. S’affirmer, poser des limites, être. Profil : Faible confiance en soi.
2/ L’Ego en berne ou Ego inversé : Réveiller l’enfant intérieur, le rendre adulte, sans le détruire ou le tuer. C’est le construire par la colère, la révolte face à sa structure parentale. Faire grandir cet enfant intérieur, sans jamais le travestir, le murer (comme dans l’autre type), le museler en lui faisant la leçon (comme sil ‘adulte qui n’est autre que l’ego, avait la raison, la vérité). Arrêter de laisser les sphères extérieures avoir le dernier mot sur ce qui est bon pour Soi. Profil : Faible estime de soi.
Cette phase de destruction et reconstruction d’un Moi au profit du Soi est très ancienne, cela remonte a Égypte antique, l’objectif était et est encore d’amener les Etre à un éveil spirituel, l’éveil de la 4 eme conscience.