La spiritualité est une fonction vivante, naturelle de l’être humain. Part 1.

Nous vivons un cycle ou l’humanité court après l’épanouissement et la recherche de sens, dans son quotidien. Il règne une grande confusion dans ce que l’on appelle: “Le développement personnel et l’éveil spirituel”.

L’humain à compris que ces mots avaient un sens, mais il en attribue une définition bien différente en fonction de son vécu, de son éducation et de ses croyances.

Aujourd’hui, j’avais envie d’écrire sur le sujet, pour préciser des termes, partager mon point de vue, basé sur ma propre expérience.

Mon intention au – delà de partager des informations, n’est pas de créer une énième référence lexicale mais d’ouvrir à un autre point de vue que celui qu’impose le monde. Je n’ai pas toujours été intéressé par cette sphère, elle c’est progressivement imposée à moi dès lors que j’ai souhaité savoir ce que j’étais et quand j’ai compris que la vie que je menais n’était pas en accord avec ce que mon cœur et mon âme me dictaient.

Dans ce premier chapitre j’explorerai la spiritualité, comme fonction vivante et humaniste, pour ensuite l’exposer comme; cœur d’un système qui se compose à la fois du développement personnel et de l’éveil personnel.

De plus en plus de personnes court après; le yoga, la méditation, le pilâtes, les retraites spirituelles, les citations d’auto – motivations quotidiennes, les défis, dans le but de se rencontrer, car cachées derrière leur masque elles sont en quête de bien – être.

Revenons de prime abord sur différentes définitions de la spiritualité :

  1. Pour certaines personnes, la spiritualité à un caractère philosophique, indépendant de la matière.
  2. Pour d’autres, il s’agit de croyances et pratiques qui concernent la vie de l’âme, la vie spirituelle. Donc fortement en lien avec une appartenance religieuse.
  3. Enfin, pour d’autres encore, elle représente la qualité de ce qui est “esprit ou âme”,  qui concerne sa vie, ses manifestations ou qui est du domaine des valeurs morales. 

Nous y mettrons finalement, tout en chacun, la définition qui nous inspirera le plus. Cependant, la mienne est portée par un constat;  le désir de chacun à être bien, épanouie, à trouver du sens en lui et en sa vie. Et le besoin de tous à s’aimer. A cela s’oppose ou s’impose la notion, de bien – être et par glissement naturel, celle de développement et d’éveil personnel.

La spiritualité reconnaît la lumière divine qui brille en chacun d’entre nous. Elle n’appartient à aucune religion en particulier, mais à tout le monde.

Mohammed Ali

Alors aujourd’hui dans ce mélange de terme, d’effet de mode et d’informations venues de toutes part, voici mon point de vue,

Mon regard sur la spiritualité:

Il ne s’agit pas d’une religion, ni d’un mouvement sectaire, ni encore d’une philosophie culturelle. Elle est une fonction naturelle vivante de l’être humain. Elle est indépendante de toutes croyances, religions ou dogmes. Elle consiste à reconnaître l’existence de notre Moi véritable, de notre ESSENCE, et à apprendre à nous laisser guider par elle. C’est chercher à exprimer ce que nous sommes, tant à l’intérieur de nous, mais aussi à l’extérieur, part nos échanges au contact des autres.

Elle s’incarne dans la matière sous l’appellation d’intuition, d’écoute de soi, de cœur. Et elle s’articule tel un mouvement harmonieux avec l’environnement sociale dans lequel on s’inscrit. Notre quotidien !

La spiritualité… demande d’abord une culture du cœur, une immense force, une intrépide sans faille. Les couards ne peuvent satisfaire à une morale.

Gandhi

La spiritualité nous porte vers la découverte d’une autre dimension de nous-même, une partie plus lumineuse, puissante et grandiose, qui ne demande qu’à être développée par l’expérience. Et qui est éveillée par cette même – expérience.

Lorsque nous sommes en “connexion” avec notre Moi profond, c’est à dire que nous sommes en équilibre entre; ce que nous sommes et ce que nous vivons au quotidien, cela provoque en nous, un état qui se caractérise pas des émotions et sensations tel que la joie, la liberté, l’harmonie, mais bien d’autres encore.

Un sentiment que notre vie est enfin à l’image de nous même, en légèreté et simplicité. Il s’agit d’une transformation intérieure profonde. Ou, de notre intérieur à notre extérieur, nous réalisons que jusqu’alors nos choix de vie, notre quotidien étaient conditionnés et déterminés par un jeu de l’ego.

Cependant avant d’arriver à cet état, nous, je suis passée par des étapes, des transformations, devenues transmutations parce que cela est nécessaire pour nous “nettoyer”.

Nos résistances, notre manque de confiance et notre incapacité à lâcher prise nous invitent au changement en exprimant des maux corporels tels des “alertes”, qui sont, l’exacte expression que notre cœur est en souffrance. Des clés pratiques telles que l’observation de nos sentiments et la méditation sont suggérés pour mieux écouter et comprendre notre corps, mais aussi notre âme.

Beaucoup de ces techniques, et bien d’autres, sont accessibles pour faciliter ce mouvement et cette prise de conscience. Une prise de conscience, que le monde se façonne à notre image, et que si le déroulé que nous observons nous désole ou est en dissonance avec notre cœur, c’est que notre propre vision du monde est erronée. Ou que le monde que nous façonnons, n’est pas celui qui nous correspond. C’est alors à nous de changer, en soi pour que change autour de nous notre monde.

L’effet colibri !

Arrêtons donc de penser que la spiritualité est étriquée, que les porteurs de sens de cette fonction naturelle sont illuminés ou bien loin de la “vraie vie” car au contraire, ils sont, nous sommes, au cœur de la vie, en notre cœur, notre sens.

Et n’est-ce pas cela “vivre”?

Etre en soi, être à l’image de ce que nous sommes réellement sans être sous le joug de l’extérieur. Vivre et non pas suivre, ou survivre.

Alors bien sur, cela n’empêche en rien de devoir s’accoutumer de la société et ses codes, mais pour autant ne peut -on pas vivre en soi librement et être en société tout en étant soi? Tout en respectant des codes et des règles qui permettent de vivre en communauté?

Cela bien sur tout en étant en accord avec ses propres valeurs.

La spiritualité consiste à notre ESSENCE de se manifester et de se développer. On se met à son écoute, on dialogue avec nous – même afin de faire connaissance intime, et on crée les conditions pour  prendre sa vraie place. Lorsque cette démarche est effectuée avec patience, persévérance, conviction et confiance,  des récompenses inattendues apparaissent , telles que joie, liberté, et bien d’autres choses “magiques”.

Chaque jours, durant des années, je me levais, je vivais une vie d’automatismes et de conditionnements, je remplissais les taches les unes après les autres : Metro – Boulot – dodo – parfois sorties. Cette vie ne laissait aucune véritable place à ma spiritualité.

Celle – ci est apparu dans ma vie quand mon corps m’a alerté, et que j’ai commencé a n e plus me renier et que j’ai enfin porté une réelle attention à mes insatisfactions et mes aspirations, à mes sentiments et sensations, et que je me suis demandé quelle est véritablement le sens de MA vie, ma mission.

Pourquoi dois-je affronter des contrariétés?*

Pourquoi toutes ces difficultés à traverser?*

A quoi a servi tout ce que j’ai réalisé, à quoi sert ce que je fais?*

Quelle est ma place dans cette vie?*

C’est au moment ou l’on se demande si nous sommes bien à notre place, que nous reconnaissons implicitement que nous sommes faits pour être à une place plutôt qu’à une autre. C’est une perception d’un MOI véritable et authentique et de là émerge la sensation d’être ou non en concordance avec lui.

Si nous sommes en concordance, nous nous sentons à notre place, nous nous sentons bien. Sinon, nous cherchons à trouver cette concordance dont nous pouvons avoir été détournés par les circonstances. Ce MOI est notre Essence. On le nomme aussi le SOI. Ce SOI est masqué ou entravé par une autre identité que nous avons construite sous l’influence de notre éducation. On la nomme la personnalité.

La personnalité, personæ anima de Jung ou encore Ego, est un autre sujet passionnant.

Coralie.

Quel est la différence entre le développement personnel et l’éveil personnel?* Part-2

Combinaison des spiritualités et de la psychothérapie* Part-3

Sources*

https://fr.wikipedia.org/wiki/Spiritualit%C3%A9 – https://www.colibris-lemouvement.org/mouvement/nos-valeurs – http://www.spirit-science.fr

Éveiller le sens de l’émerveillement !

“Quand nous cessons de nous émerveiller, nous arrêtons de croire en la vie.”
Michel Bouthot
Se permettre de nous apprécier tel que nous sommes, permet de se réconcilier avec son être. Se sont les peurs qui nous empêchent de faire entrer l’amour dans notre vie, ou de faire ce que nous aimons ou aimerions faire.
Nos peurs,  d’ou viennent – elles? De ce monde, ce monde battis sur la dualité.

Ce qui est perçu est duel. La dualité est la structure de base de l’univers physique. Tout ce qui existe, ne peut exister que grâce à son contraire.

L’amour et le non amour ne s’opposent pas 
Le masculin et le féminin ne s’opposent pas
Les ténèbres et la lumière ne s’opposent pas
Ils existent par la grâce de l’un et de l’autre

La dualité du monde n’est pas un problème. Ce qui cause la souffrance, c’est que « notre regard » soit installé dans la dualité plutôt que dans l’unité.

 

Je remarque aujourd’hui ce besoin que j’ai de me reconstruire une vision de l’amour et de réussir à l’exprimer dans ma vie. En moi. Je me suis demandé un matin, si je n’avais pas perdu mon regard émerveillé sur les choses simples de la vie.
Erreur heureuse….Non !
 Cette mésaventure m’a fait me poser des questions :
Qu’est – ce que l’amour? Qui aime -t -on?*
Qu’est – ce que le romantisme?*
Qu’est – ce qui entache l’amour romantique? *
Ce qui m’interpelle dans cette réflexion, c’est que l’émerveillement, naît de mon état de conscience à être dans un amour inconditionnel ou encore dans la croyance que je suis capable de tout, quoi qu’il arrive.
Triste constat de ce dire que nous nous sommes rencontrés, que nous nous sommes aimés et qu’à un tournant de vie, l’expérience traumatique était telle que l’amour s’en est allé. Celui- ci était présent depuis peu, si peu de temps.
Qu’est ce qui pousse l’Etre à perdre ce regard, cette “naïveté joyeuse”, ce regard innocent sur les choses rares, simples, à la croisée d’un chemin?
Retrouver son émerveillement ne serait – ce pas, s’ancrer en soi?
Une personne, qui ne se centre pas sur elle – même, en son coeur, n’est plus authentique, elle se confronte et se soumet aux exigences de son ego, laissant de nouveau entrebâiller la brèche de ses peurs. Chaque jugement envers soi – même, chaque manque d’amour de soi, ou encore illusions duelles que nous porte ce monde divisé, nous mettent face à une émotion et une posture sacrificielle de soi, douloureuse.
Mais encore des fausses croyances, failles narcissiques, faux -self et j’en passe. Tout ces états sont l’ expression lourde d’une attente, trop lourde à porter pour soi, et encore plus à faire porter à l’autre.
L’AMOUR!
On parle d’étoiles dans les yeux, de papillons dans le ventre, de palpitations dans le thorax ! On parle d’amour, mais surtout on le ressent.
Fait – il peur? Le ressent on ? Sûrement…puisque tous, avons un rapport conditionné à celui -ci, et que le politiquement correcte nous empêche de nous y épanouir. Au travers des relations amoureuses, des échanges simples, amicaux, de son rapport à soi en étant en amour pour soi – même ou encore au travers d’une sexualité épanouie.
Finalement n’est – ce pas de garder un regard pur et innocent sur soi et les autres qui nous permet d’avancer à grand pas?
“Celui qui cherche, qu’il ne cesse pas de chercher jusqu’à ce qu’il trouve et quand il trouvera, il sera troublé et, une fois troublé, il sera émerveillé et il régnera sur le Tout.”
 Comment se recentrer? ne plus s’oublier? ( en lien avec le précédent billet pdc!)
1. Prendre du temps pour soi,
2. Se prioriser,
3. Donner de l’amour aux autres mais avec autant de ferveur a soi – même,
4. Ne pas se renier, que se soit, sa nature, son âme et sa joie de vivre. (L’enfant interieur),
5. Avoir confiance en soi quoi qu’il arrive, croire en soi quoi qu’il arrive.
Lorsque nous décidons de nous émerveiller du monde, de s’y maintenir encore et toujours à l’instant, cela suppose -t -il de s’écouter?
Je vais partir du postulat que oui. Ses instincts sont fortement développer quand on a le désire de cheminer vers soi. Ressentir permet de se prioriser et aussi de voir avec les yeux grands ouverts. C’est à dire pur et innocent, mais en conscience.
A aucun moment cela ne doit nous écarter de la réalité, et du rapport à la vie quotidienne. Bien ancré dans la terre, nous ne sommes là que pour faire l’expérience d’une réflexion, pensée et de son expérimentation dans la matière. Tout cela en vivant tel un humain que nous sommes, spirituel, mais humain tout autant.
Cela nous confronte comme je l’ai évoqué au départ à nos peurs, celle de perdre pieds, de se perdre mais aussi de se trouver. La peur peut faire barrière à notre évolution, en cela nous devons nous faire confiance. C’est dans cette confiance en nous que notre regard plein d’étoiles peur pleinement nous proposer des vues merveilleuses que le monde nous propose.

” Un homme qui n’est plus capable de s’émerveiller à pratiquement cessé de vivre. “

Albert Einstein

On revient de nouveau à cette notion d’alignement, et d’intégrer que seule notre vérité intérieure nous guide vers l’amour, qu’il soit pur, conditionné, inconditionnel, romantique ou tout autre. Chacun trouve en SA vérité, en SON coeur, ce que celui – ci veut exprimer en amour. Émerveillement d’une vie alignée, simple, extraordinaire dans l’ordinaire d’un quotidien.

 

Si vous ne dites pas Adieu à toutes ces choses que vous n’avez pas pu changer, que ce soit dans votre coupe, dans votre vie, vous passerez à coté de la vie elle même et vous en serez en danger, de devenir un vieux fossile avant votre heure.

 

Joyeuse Saint Valentin, de vous à vous.

XoXo

C.

 

www.abc-citations.com

Comment ne plus s’oublier?

 

Se prioriser par la force des choses !

 

“Finalement, ce qui compte, ce ne sont pas les années accumulées dans une vie, mais la manière de les avoir vécues.”
-Abraham Lincoln-
Le matin, je me réveille et je n’arrive pas à me sortir du lit! La journée, je me sens fatiguée et je n’arrive plus à générer cette énergie qui me faisait soulever des montagnes.
Le soir, je mange à peine, je n’arrive plus à faire mes activités quotidiennes, car je suis épuisée de la journée. Je me couche tôt, ou tard à défaut, avec cette sensation de n’avoir pas pu faire tout ce que j’aurai aimé faire dans cette journée.
Ma nuit ne sera pas plus reposante, car soit, je vivrais des rêves qui me feront comprendre….ou pas la journée vécu, soit, je ne ferai pas de rêve mais pour autant mon réveil sera encore sous l’effet d’avoir pris un bus.
Je suis frustrée?..sûrement !
Je suis… décentrée.
Je ne suis pas malheureuse, pour autant il y a se bruit de fond,  cet appel du cœur, de l’âme qui me dit “je veux aller – mieux”
Que m’arrive – t- il?
Je suis décentrée, mais je suis surtout en oubli  de moi – même.
Et si je commence par me prioriser?
J’étouffe a la simple présence d’enfants qui me sollicite tout le temps?, Je hurle intérieurement de la non expression de mon être plein et en paix? J’accumule la frustration et la perte de repère? 
Je dois me pardonner d’avoir eu de la colère et de la haine envers moi même et cette habitude de respecter mes systèmes égotiques à défaut de mon enfant intérieur.

Penser a soi, d’abord n’est pas être ego – centré ou encore prétentieux ou égoïste. C’est être présent en soi pour soi, et pouvoir ainsi proposer aux autres, une présence de qualité.

Être une priorité, rechercher mon propre bonheur, non au détriment des autres, mais en étant en harmonie, pure et simple avec mes décisions. est finalement ma bonne résolution 2018.

 

Cela passe par quoi?

  • Demander un rdv de soin, pour aligner mes chakras, sans y mettre d’attente envers l’autre mais plutôt une intention envers soi, en confiance.
  • Prendre du temps à réfléchir à ce qui me procurerai du plaisir en cette nouvelle année et d’acter.
  • Savoir dire: “Je ne suis pas disponible dans l’instant pour toi”, “Non”, “On se capte demain, là je suis occupée, ou Je ne suis pas en forme pour être présente pour toi”, “Je n’ai pas envie de suite, peut être tout à l’heure”.
  • C’est s’affirmer, sans la peur que l’autre nous rejette, nous abandonne, nous oublie!
  • C’est se rendre compte, que nous n’avons pas besoin des autres, et que les autres n’ont pas besoin de nous. Que cela est, parce que l’essence même de chacun est en chacun de nous. De l’intérieur et non pas vers l’extérieur.

 

Le défi?

  1. Équilibrer le partage duel de l’amour,
  2. Éliminer le matériel lourd que l’on porte depuis des décennies, même des vies,
  3. Se désengager des pièges de l’ego,
  4. Etre dans une mission de vie, d’amour envers soi et les autres. Mais soi d’abord,
  5. Ne pas écouter la voix de l’ego sacrificielle et déstructurante,
  6. Ne pas se sentir coupable,
  7. Accueillir nos émotions réelles et pas les fausses croyances erronées, d’un regard voilé.

 

Vous pensez au bonheur des gens, avant le vôtre?

Je suis une personne disponible, loyale, fiable, et heureuse dans la vie,

J’ai compris, appris, pardonné, soutenu, aimé sans condition,

Je me suis blessé(e), abîmé(e), j’ai du me réparer aussi.

Cela suffit !! STOP !!

 

Le pire est nous sommes blessés par des gens que nous aimions, tendrement. Normal, la leçon n’en serait pas apprise si cela venait de personne dont nous n’engageons aucun affect.
Pour qu’elle raison je prends tant soin de l’autre à défaut de moi – même?
Un besoin profond de combler un vide, de chercher la valorisation extérieure, ou un espoir que ce que je vais donner, sera donné en retour. Mais encore une reconnaissance…..
Que me procure cet état?
Sentiment d’exister, d’avoir de la valeur, d’être, d’être aimé? Mais surtout un vide qui n’est pas rempli, ou qui se désempli tout aussi rapidement, car l’acte entrepris n’est pas la clé de soi.
C’est en son coeur que l’on trouve son authenticité. Ce libérer, est la clé!
XoXo
C.

Accepter le passé, l’art de la dépendance affective !

 

 

“On ne peut résoudre les problèmes qu’on a crées avec  la manière de penser qui les a crées”

A.EINSTEIN

Quel est l’attachement qui t’empêche d’être?*

Quelle soumission/dépendance?

Quelle jouissance?* quelle possession?*

Quel conditionnement?*

 

 

Parfois je me réveille, et ma vie nocturne me balance un sujet, un de ces sujets que j’ai envie de partager, mais avant tout de comprendre, d’analyser.

Samedi matin, je me suis levée avec le furieux besoin d’écrire sur la dépendance affective. Car aujourd’hui, la relation à l’autre est une énigme pour moi. Dans notre société, qu’elle soit amical, amoureuse ou affective, celle -ci s’inscrit dans la souffrance.

 

Qu’est-ce que la dépendance affective ?

Mr Larousse en dit, que c’est un rapport de liaison étroite entre quelque chose et ce qui le conditionne, une soumission à l’autre qui concerne un sentiment, des émotions, une sensibilité. J’en comprends donc que la part de dépendance affective relève du ressentis et non de la raison.

 

Simplement !? C’est une situation ressentis, oui et celle – ci est le lit d’émotions et de sentiments ou l’on est complètement dépendant de l’autre pour se sentir bien.

En découle logiquement la notion d’auto – suffisance.

On ne naît pas dépendant affectif, on le devient…

 

Comment ? Basique-ment il découle du conditionnement de nos parents. Alors que nous sommes enfants, nous allons « interpréter » l’attitude de nos parents et la traduction sera la « mère » de notre construction interpersonnelle.

Un manque de reconnaissance, une attention et un amour insuffisant dès la petite enfance peuvent conduire à l’âge adulte à des carences, qu’il faudra forcément combler un jour ou l’autre… Nous avons en permanence le besoin de nous sentir soutenue, reconnue, encouragée, aimée par notre conjoint et nos amis ? La peur de l’abandon et de la séparation régente notre vie ? Tels sont les symptômes de la dépendance affective?

 

 

Alors oui la dépendance affective est majoritairement marquée chez les couples, mais pas que. Je dirai dans mon cas, qu’elle s’inscrit dans la sphère amicale majoritairement, mais pas que…non plus.

Pour cacher leur mal être, certaines personnes se cachent derrière des comportements qui ne leur ressemblent pas, comme l’agressivité, la colère, la fuite… le mensonge. Mais derrière leur carapace, elles ne peuvent s’empêcher d’hurler leur peine à l’intérieur d’elles-mêmes. Un tel mode de vie s’apparente hélas à bon nombre de souffrances, et n’est malheureusement pas la bonne solution. Ces personnes se mentent à elles – mêmes et au delà de se faire du mal, elles n’apportent rien de bon à l’autre.

L’addiction amoureuse…
Une personne peut être dépendante de ses amis, mais aussi de son compagnon ou de sa compagne.

Vous vivez au travers de la personne qui partage votre vie ? Vous n’avez qu’une peur, celle qu’elle vous quitte, peur de tout quitter ? Vous êtes prête à tout pour garder cette personne auprès de vous le restant de vos jours. Hey bey non, ce n’est plus que de l’amour là, c’est de l’addiction, de la dépendance….aussi vu comme de la soumission. Vous ne vivez désormais plus que par…et pour votre conjoint.

 

Lorsque vous vivez dans la dépendance affective, vous subissez, chaque soir, dans votre lit, une angoisse très, très lourde : la peur de perdre l’amour de l’autre. L’autre qui peut être votre conjoint ou votre conjointe, un membre de votre famille ou peut-être votre ami.

Lorsque vous avez des amis, vous, vous surpassez.

Lorsque vous êtes amoureux, c’est l’amour fou, la plus grande passion ! Vous vous investissez à fond dans la relation, vous ne vous autorisez pas à décevoir et vous vivez jour après jour dans la crainte ô combien grande de ne pas être à la hauteur.

Vous êtes prêt à tout pour apporter le bonheur à l’autre. Dès que quelque chose cloche, Op ! ça y est, c’est la catastrophe, c’est l’état d’alerte ! Cependant, même confronté à l’infidélité ou au flagrant désintéressement de l’autre, vous demeurez convaincu que la relation est encore possible.

Source: http://www.dependance-affective.ws/

 

Ce pose alors la question de la définition de l’amour dans et hors relation amoureuse?:

L’amour est une émotion, elle vient, part, traverse, remplit, transforme. L’humain a enfermé l’émotion “amour” dans une fonction, une exigence de nourrir une relation et d’être présent ou de vivre chaque jour, chaque instant…..mais ce n’est plus alors l’émotion que l’on exprime là, on parle de la relation amoureuse à l’autre.

L’amour est un mot qui a perdu son sens, qui est aujourd’hui mis dans une boite, dont on se sert pour affirmer que l’on aime ou n’aime plus. L’amour n’a plus son sens propre d’émotion.

C’est un ressenti puissant, qui nous soulève la poitrine par des battements de cœur, des papillons dans le ventre. Cet amour est si puissant qu’il affirme que l’on peut partager un instant avec l’autre, instant pur, qui est éphémère, car tout instants, même si ils s’enchaînent, sont différents.

Beaucoup n’osent plus exprimer l’émotion amour, à cause de notre société, du politiquement correct qui affirme que nous ne devons aimer que la personne avec qui nous sommes en relation amoureuse ou encore, que la personne envers qui nous exprimons l’amour, nous attire tout autant sexuellement avec une envie, un désir, une passion.

Je déteste les codes modernes, depuis peu je les ai abrogés. Pourquoi respecter les codes modernes, n’est – ce pas ne plus se respecter soit même que de ne pas partager cet avis? Pour-quelle raison je ne peux pas proposer au monde, une autre approche de l’amour, afin de l’éveiller à un point de vue différent, qui souvent épanouit d’avantage que de rester enfermer ou enchaîné.

Tout est choix.

L’amour est un sentiment pur, beau, certain s’aime toujours, puis moins ou plus. d’autre ne l’on pas connu et doivent l’accepter, il fait peur…car il est intense. Lourd à porter sur soi? 

Etre dans l’amour, le dire ou dire qu’il n’est plus est être honnête, envers soi et l’autre. C’est respecter l’essence même du mot et le décentrer des attentes que le conditionnement et la société nous imposent.

 

Alors forcement j’ai envie de partager sur la relation amoureuse, puis que l’amour en est la chaîne !

Je pourrais en parler des heures, mais je vais en faire un résumé. C’est pour moi le partage d’une vie avec une personne choisie, qui démarre dans le désir, bien souvent. Qui démarre aussi dans l’amour, parfois la passion; bien qu’éphémère, mais qui est en mouvement. Ne connaissant qu’une succession d’étapes, qui peut laisser l’amour être ou ne plus être. Qui laisse place à d’autres sentiments, est finalement qui n’est pas celle véhiculée dans les contes de fées et les relations romantiques comme veut nous le vendre la société et les films pour midinettes. C’est une relation complexe, qui nécessite de se dépasser sans cesse pour que cela dure si l’on voit l’avenir avec l’autre. Sans chercher dans les yeux de l’autre quelque chose qui n’existe pas.

L’amour dans la relation à l’autre, globalement est en mutation,

Aime – t – on tout le monde?*

Peut – on aimer tout le monde?*

 

Je crois en l’humain, je sais que je peux aimer tout le monde, et je m’y applique, mais je sais que je n’aime pas constamment, puisque l’amour fluctue en fonction du moment. Alors j’affectionne tendrement pour retrouver l’amour en présence, afin de me dire que l’énergie positive et créatrice que je mets dans ces relations fera évoluer mon Moi et/ou celui de l’autre.

 

Cependant, pour rebondir sur mon article précèdent, oui la dépendance émotionnelle n’est pas de l’amour, ni de l’affection, je dirai qu’elle n’est même pas une émotion. Elle nous place en situation d’insécurité face aux personnes manipulatrices:

 

Quels en sont les signes ?

  1. Une grande angoisse de l’abandon
  2. Le besoin de plaire
  3. L’incapacité d’être heureux(se ) seul(e)
  4. Renier son identité
  5. Jouer au rôle du sauveur
  6. Être jaloux(se) et possessif(ve)
  7. Accepter l’inacceptable
  8. Croire que sa valeur dépend de la présence et du regard de l’autre
  9. Le manque de confiance en Soi
  10. Une tendance à attirer des pervers narcissiques
  11. Croire que la vie n’a pas de sens sans une relation à deux
  12. Avoir peur de l’abandon et de la solitude
  13. Une tendance à sombrer dans la dépression après une rupture
  14. Une tendance à répéter des relations malsaines

 

La dépendance affective, est le trait de personnes anxieuses, en manque d’estime d’elles-mêmes ou de confiance en soi.

Cet état génère à la fois, du stress, de la jalousie, de la possession, de l’attachement face à notre besoin de l’autre.

 

“La rose qui meurt de soif a besoin du jardinier, mais le jardinier a encore plus besoin de la rose qui meurt de soif: sans la soif de sa fleur, il n’existe pas. “

Amélie Nothomb (1967- ) 

Mais comme tout trait, celui – ci peut être transformé par un travail sur soi, sur la confiance que nous avons en nous – même, en faisant le choix qui est bon pour nous. Nous dégager du négatif qui nous entoure, nous choisir nous.

Pourquoi ne pas laisser tomber tout ce qui n’a plus de beauté à nos yeux, ce négatif qui nous entoure et qui, dévoilé, n’est plus supportable? Allons vers des vibrations positives dans notre quotidien. Offrons nous les opportunités qui jusqu’à ce jour nous étaient  inaccessibles.

 

XoXo

c.

Source sur Plurielles.fr : La dépendance affective, qu’est-ce que c’est ?/ Wikipedia, pinterest, Mr larousse.

Un chakra, c’est quoi?

 

On est bien d’accord que si l’on parcourt le net, ou les bibliothèques, il y a plus que nombre de référence pour comprendre les 7 chakras.

Je ne souhaite pas m’inscrire dans une énième référence, pourtant je sais bien que ce sera le cas. Je vais partager ici ma version, ma vision mais surtout comment j’applique cela humblement dans mon quotidien.

 

 

Les chakras ? C’est quoi ?

Pourquoi ces couleurs ?

Pourquoi les associés à la Lithothérapie ?

Pourquoi j’aime décoder les éléments en m’inspirant des chakras ?

En quoi cela implique un corps subtil ? Des croyances autres et une vision différente du corps et des maux de celui – ci ?

Quels sont les limites de ces soins parallèles à la médecine allopathique ?

 

 

J’ai tenté de répondre à tous mes questionnements.

Ici je ferai mon petit point théorique et par la suite, je proposerai des fiches, en fonction de mon application personnelle et lié aussi à des huiles essentielles que j’apprécie.

 

Petit point plume :

Je connais les chakras depuis 3 ou 4 ans maintenant, jeune padawan de la force en 7 couleurs, j’essaie d’enrichir mes connaissances à chaque étape de ma vie. Comme je sais au fond que chacune de mes leçons sont liées à ces roues du corps subtil, j’en fais un lien, entre maux et mots, et au fur et à mesure, j’y ai associé les pierres, tout d’abord, puis les H.E et ressèment les Fleurs de Bach.

Alors avant tout, sachez que toutes prises n’échappent pas à l’avis d’un médecin compètent, et qu’il ne faut jamais s’engager dans l’auto médicamentation ou de soin, sans être avisé ou encore entouré.

Il en va de sa santé.

Alors je me suis formée, et je m’accompagne au quotidien de professionnels compétents.

 

Le chakra, c’est quoi ?

C’est un mot, que l’on retrouve beaucoup aujourd’hui, il est souvent discuté dans le yoga, la méditation, l’ayurvéda, la médecine traditionnelle chinoise, le bouddhisme, l’hindouisme et d’autres pratiques anciennes ainsi tout ce qui s’approche de prêt ou de plus ou moins loin à la « zénitude ».

Est – ce une création moderne, un effet de mode ?

Nooooonnn !!!

C’est une science, et oui !!!, vieille de plus de 5000 ans qui nous vient des Sages Rishis* de l’Inde ancienne. Le mot désignait un disque de métal symbolisant le pouvoir de celui qui fait tourner la roue de la destinée des hommes, qui tient leur vie dans ses mains, mais aussi, peut-être, celui qui est à l’image de Surya, c’est-à-dire, le soleil. Il a ensuite été déféré à bouddha avec la roue de la loi.

 

Ces petits chakras sont au nombre de Sept, ils sont dit « majeurs » dans le corps humain et s’étendent de la base de la colonne vertébrale jusqu’à la couronne de la tête. Le mot sanskrit : chakra, se traduit littéralement par “roue” ou “cercle”. Nos chakras tournent comme des roues quand nous sommes vivants et sains, permettant à notre énergie vitale de circuler à travers nous. De haut en bas, de bas en haut, d’avant en arrière.

 

Lorsque nos chakras fonctionnent correctement, on dit souvent être en équilibre ou alignés, ils tournent et permettent à l’énergie de remonter le long de la colonne vertébrale (ou Kundalini). Cependant, nos chakras peuvent aussi devenir hyperactifs, sous-actifs, déséquilibrés ou même bloqués, ce qui peut nous affecter physiquement et émotionnellement. Mais tout cela j’y reviendrai lors de chaque fiche.

Un jour d’été je suis allée voir une chamane, celle-ci a apporté de l’eau à mon moulin à pensées, sur la notion de chakra ; Elle me les a réalignés et ouvert le troisième œil…ceci est une autre histoire. Mais cet échange (séance) m’a permis de bien comprendre ce qui se jouait, et j’en vis encore les effets au quotidien. Magique !

 

Le domaine physique peut affecter nos chakras et nos chakras peuvent affecter notre réalité physique; ils sont destinés à travailler harmonieusement, ensemble. Par exemple, si l’un de mes chakras est bloqué, cela peut se manifester par une maladie physique ou de la douleur dans cette région. De même, lorsque j’éprouve certaines émotions, elles peuvent affecter mes chakras. Quand je me sens le cœur noirci par une brisure dans mon environnement, par exemple, ceci pourrait affecter mon chakra cœur.

 

Quand les chakras sont équilibrés, je me sens en forme et mon corps est sain. Beaucoup de gens qui sont familiers avec le système des chakras peuvent  littéralement le sentir, et peuvent intuitivement reconnaître quand leurs chakras spécifiques sont déséquilibrés. Ce n’est pas encore mon cas, pas pour tous mais pour certains. Je commence à lire et la sensation est très plaisante.

 

Cette étape, permet à ceux qui en sont capable de rééquilibrer eux-mêmes leurs chakras. J’en suis loin. Mais ça me va !

 

Comment rééquilibrer soit même ses chakras ? Cela peut être fait par la méditation, le yoga, l’auto-réflexion ; l’éveil à soi, la nutrition, la guérison énergétique, les cristaux, pierres ou même simplement en étant dans un environnement de vibrations élevées ou en examinant plus profondément mes émotions.

Les guérisseurs, les personnes qui ont ce don, peuvent également nous aider à équilibrer nos chakras. Encore faut-il trouver un professionnel compétent et aidant. C’est un don du cœur, et si le cœur n’est pas ouvert, et que l’on n’accepte pas et bien on n’est pas compétent.

Quand je parle de réalignement de chakras, je parle de savoir aligner les corps ensembles. C’est-à-dire, le corps physique, celui que nous nommons ” notre corps”, mais aussi avec l’esprit (corps mental) et l’âme (corps astral ou encore spirituel). Cela demande, tout d’abord de comprendre la nuance des 3 corps, de l’accepter comme étant une réalité, la nôtre, et de s’inscrire dans un réel désir de se découvrir, de travailler sur soi pour s’éveiller à soi.

 « Des hommes de grand savoir ont découvert en réalité comment fonctionnent les chakras, leurs pétales, leurs sons, leur infini, leurs relations, leurs pouvoirs. Ils ont découvert que la vie d’un homme est totalement fondée sur ces chakras. Ils ont développé une science à part entière. Cette science a donné naissance au yoga de la Kundalini. » Yogi Bhajan

 

Pourquoi ces couleurs ?

Certaine personnes ont la faculté de voir une aura qui nous entoure, une couleur ! celles ci sont associés avec l’activité d’un chakra ou d’une combinaison de chakras. Notez que les couleurs de chakra n’ont pas forcement de sens. Elles reflètent une fréquence, ou vibration, spécifique. Mais elle représentent les 7 couleurs de l’arc en ciel, et nous les retrouvons aussi dans grands nombres de professions de l’accompagnement pour travailler différentes thématique, comme la chrono thérapie, la couleur en Coaching – conseil en image ou en décoration – Feng shui.

 

Le sens de couleurs que vous voyez peuvent être liés aux fonctions et aux caractéristiques générales des chakras. Par exemple, on pourrait faire les interprétations suivantes :

1.Rouge est la couleur du chakra racine (premier chakra) : stimule la sexualité et la capacité à être ancré. On parle alors d’enracinement à la terre. On évoque alors la sécurité, la survie, les fondamentaux, le dynamisme. Le rouge peux être indicatif d’une inflammation au niveau physique. Il donne de la vitalité et du courage. Il est aussi déconseillé pour les chambres d’enfants car il n’apaisera pas, mais soutiendra un adolescent face a ses pics d’énergies.

 

2.Orange est la couleur du chakra sacré (second chakra) : En continuité de la stimulation de la force vitale, il tonifie, les glandes et les fonctions sexuelles. Il permet l’abandon des émotions bloquées. L’expression d’un orange lumineux peut encourager la positivité. Il favorise les émotions, la créativité, l’association associé avec l’eau, les flux.

 

3.Jaune,  est la couleur du chakra du plexus (troisième chakra) : Activités mentales , intellect, pouvoir personnel, volonté. Facilite la digestion et stimule l’appétit. Cette couleur est liée aux émotions telles que les peurs. Cette couleur nous aide à rayonner notre joie de vivre, notre confiance en nous et notre capacité à trouver notre place et à rayonner comme un soleil. Son élément est le feu. Digérer ici, les énergies vitales des premiers chakras, pour mieux les redistribuer.

 

4.Vert ou pistache (je préfère pistache, si original) est la couleur du chakra du cœur (quatrième chakra) : Amour, rapport aux autres, intégration, compassion. Couleur apaisante qui transmet : l’harmonie, l’amour, l’amitié, la sympathie.  Cette une couleur bienfaisante et apaisante qui nous connecte à la nature et nous ouvre aux autres. Le vert purifie et régénère. Stimule notre capacité à aimer inconditionnellement, à recevoir cet amour universel et à vivre en paix, dans le pardon. C’est la couleur de la nature, généreuse et abondante.

 

5.Bleu est la couleur du chakra de la gorge (cinquième chakra) : Expression de soi, expression de la vérité, expression créative, communication, forme et motifs parfaits. Il s’agit de la voûte céleste Ce chakra et cette couleur, procure le calme, la paix et apaise les tensions . Il apaise les irritations et inflammations de la gorge. Il peut apporter la confiance et permettre de mieux s’exprimer, de mieux communiquer. Stimule notre capacité à communiquer, que ce soit à l’expression ou à l’écoute, que ce soit pour son monde intérieur ou en relation avec l’extérieur et les autres.

 

6.Bleu indigo profond, qui tire sur le violet est la couleur du chakra du troisième œil (sixième chakra) : Intuition, extra sensorialité, sagesse intérieure. Cette couleur stimule notre capacité de perception, développe notre intuition et clarifie notre esprit, nous conduisant vers des actions justes. Correctement stimulé, ce chakra calmera les personnes qui vous entourent. Situé au-delà du temps entre les deux hémisphères cérébraux, il peut ralentir le vieillissement. Le bleu indigo a une action favorable sur la sinusite, la fatigue oculaire ou les maux de tête parait il :).

 

7.Blanc est la couleur du chakra couronne (septième chakra) : La connexion avec la spiritualité, la conscience, la capacité de ne faire qu’un avec l’univers. Et bien sur l’intuition, les dons et la Magie !!!

 

Pour conclure,

La quantité d’énergie des chakras est de même niveau que le degré de conscience ou d’évolution de l’être. Plus j’évolue, plus ma conscience s’élargit et plus mes chakras s’ouvrent pour laisser passer l’énergie. Les couleurs que nous aimons et celles que nous n’aimons pas nous renseignent sur l’ouverture de nos propres chakras.

 

Pourquoi les associés à la Lithothérapie ?

Les pierres chakra activent ou amplifient l’énergie des chakras. Voici une liste pour vous aider à choisir votre pierre chakra selon le chakra sur lequel vous  vous concentrez :

  • Pierre chakra racine: Héliotrope, œil de tigre, hématite, agate, tourmaline noire

  • Pierre chakra sacrée: Citrine, cornaline, pierre de lune, corail

  • Pierre du troisième chakra: Malachite, calcite, citrine, topaze

  • Pierre chakra du cœur: Quartz rose, jade, calcite vert, tourmaline vert

  • Pierre chakra de la gorge: Lapis-lazuli, turquoise, aigue-marine

  • Pierre chakra du troisième œil: Améthyste, fluorine violette, obsidienne noir

  • Pierre chakra couronne: Sélénite, quartz clair, améthyste, diamant

 

Personnellement j’ai mes favoris, je les ai mis en couleurs sur la liste ci dessus.

Je mettrais plus de détails par fiche, notamment sur leur utilisation, pour débutant, un visuel et les provenances. Mais aussi comment ça marche, comment les choisir et les placer.

A très vite pour la suite.

XoXo

C.

 

*Sages Rishis : nom donné aux sages, ermites, au nombre de 7, qui proposaient leurs visions du monde, dans la mythologie hindoue. On es associe aux septs étoiles de la grande ourse, ils sont dans la tradition les poètes, voyants, patriarches védique qui sont aujourd’hui, comme des yogi.
*Sources:
Beaucoup de livres (je les citerai plus tard), wikipedia, guide des chakras, Guide pratique de la lithothérapie énergéticienne – Principes élémentaires et méthodes de travail De Reynald Georges Boschiero, photos pinterest

Les couloirs du temps

 

J’ai eu peur du temps : «  Un jour passe sans que je meure, un jour passe sans que je ne vive. Un jour m’éloigne de ma naissance illégitime, un jour me rapproche de la délivrance du fardeau. Je tourne si vite. »

 

 

J’ai l’espace, mais je suis temps.

J’ai mis du temps à comprendre, la notion….de temps…. J’ai été guidé dans ce sens, de cette aide, de ces explications, j’ai posé un voile opaque. J’ai expérimenté la vie, le temps…le couloir….et puis j’ai mené mes recherches, que très récemment. Comme si, là aussi, mon esprit avait besoin de temps pour maturer.

 

Alors ma question aujourd’hui est : qu’est le temps ? Et comment je le perçois dans ma vie ?

 

Saint Augustin disait que tout le monde croit savoir ce qu’est le temps, mais dès que l’on demande de le définir, personne ne sait plus:

 

« Qu’est-ce donc que le temps ? Si personne ne me le demande, je le sais; mais, si on me le demande, et que je veuille l’expliquer, je ne le sais plus »

 

Je m’étais vu expliquer la notion de deux temps, l’interne et l’externe, et avec non grand étonnement …mais toujours avec un sourire en coin, j’ai retrouvé ces distinctions en lisant des philosophes, tel que Blaise, Pascal, Locke, Bergson…

Voici ce que je peux en partager. J’ai tout de même l’étrange sensation que je vais encore apprendre de cette notion. Certes on apprend jusqu’au bout, mais celui ci, ce temps….

 

C’est au détour de mon buraliste préféré que je me suis achetée, ce matin, le magazine “open mind”, il traitait du temps, assez cocasse vu que ce billet est en brouillon depuis 3 semaines…le temps fil mais il suffit de laisser faire le temps pour s’ouvrir à la vue de ce qui me pousse à avancer chaque jour.

 

Alors voici, Il est dit qu’il existe deux temps:

  1. Le temps interne, ou subjectif mais encore psychologique.

Qui est celui qui est lié à la conscience. Lié à notre représentation de l’environnement, il est le spontané, donc non mesurable (nos pensées, nos sentiments). Il est celui de l’évocation.

Bergson, définit le temps comme mesurable ce qui n’est pas le cas dans l’état de conscience. Il le nomme alors Durée « créatrice ». Proprement intime, interne à l’homme.

Le temps n’est pas objet de quoi que se soit, donc pas outil de mesure, il est forme, irréversible de notre sensibilité, donc de notre “interne”, de notre vraie nature.

Là ou les outils et la technologie n’apportent pas l’élément essentiel: l‘amour.

Car la nature qu’elle soit interne ou notre terre, externe, nous permet de nous retrouver en nous même, et de nous rendre compte qu’une montre ou encore un smartphone, ne nous ferons jamais de câlins.

L’amour prend du temps, l’amour ne “compte pas”.

 

“Tu n’arrive pas à penser, marche. Tu penses trop, marche. Tu penses mal, marche encore”

Jean Giono

Pour le coup, moi je fais de la corde à sauter !!! et de la trottinette !!

 

  1. Le temps externe, ou objectif mais encore celui qui se mesure.

De ce que j’en ai compris, c’est le temps dans sa valeur universelle. C’est le temps de nos montres, horloges et autres outils de mesures. Il est celui de la perception.

C’est ici que je classerai la notion d’urgence générée par la technologie, et l’envie de gagner un temps fou sur tout,  les outils qui sont créés pour nous “aider” ne nous éloignent – ils pas de notre vraie nature?

Car en matière de temporalité, celle – ci est la plus évidente et précise, la nature extérieure, les saisons, le contact direct. Ce monde du toujours plus. Nous rend – il heureux? profitons nous du temps? profitons nous de l’instant présent?

“On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, tout est changement, mouvement.”

Héraclite

 

Proust, Marcel 1871-1922 ” Les jours sont peut-être égaux pour une horloge, mais pas pour un homme. ” Chroniques, Vacances de Pâques Paru dans le Figaro, 25 mars 1913.

Destiné à régler la vie collective, il en épouse les rythmes, variables selon les secteurs où se déroule l’existence en commun. [Ex. Calendrier scolaire, civil, religieux]

 

“Un calendrier exprime le rythme de l’activité collective en même temps qu’il a pour fonction d’en assurer la régularité.” 

Durkheim

Le temps est précieux, il passe trop vite et l’angoisse va grandissante face à la prise de conscience intérieure de la non possibilité à maîtriser l’écoulement du temps. Cette même angoisse, entraîne une grande solitude. La solitude de ceux, qui, bien que très entourés, se sentent souvent bien trop seuls.

Depuis peu, j’essaie de me réconcilier avec le temps, celui qui est, mais surtout celui qui sera. Je ressens cette vague de tristesse m’envahir quand je me projette, alors je ne le fais plus, ou presque pas. Triste constat du rythme effréné de ma vie, “je n’ai pas le temps”. Il me reste si peu de temps…comment profiter du temps, quand celui ci nous fait défaut?, Mais peut – il seulement nous faire défaut? Est – ce un partenaire? Sûrement, un de ceux qui me presse qui me stresse, m’oppresse.

 

J’ai besoin de m’arrêter, de contempler comme pour figer certains paysages à jamais, comme pour croire encore que tout est possible, que la vie me sourit !!! La vie….la mort….le temps mort. Cette expression est si lourde de sens.

Une pause salvatrice.

Je vois le temps qui passe, je le contemple, il m’observe, il rit de moi. Il me donne des difficultés, un compte à rebours, et il me dit de me sentir profondément, de regarder la nature de toutes choses, que finalement chaque  chose en son temps, suffit à son temps.

Dans cette revue, ils parlent de beaucoup de choses, de notre quotidien dans la matière, l’une d’entre elles a retenue mon attention !

La confrontation au temps, la richesse du temps, que nous perdons souvent de vue. Que la vie est limitée et que la mort lui est intimement liée. Menace méta – physique, menace de la société et son environnement décadent,  géopolitique en souffrance….

Mais surtout je retiens: Notre chemin.

Alors on accélère le temps face à nos peurs, déchirant le voile de ce chemin, pour faire apparaître finalement que la notion de fin, précipite l’action au quotidien. Mais pour autant, on remet la vie à plus tard, et celle – ci s’en va.

 

Horloge qui tourne sans s’arrêter, serpent qui se mord la queue, un cercle sans fin?

 

Un tournant dans mon existence?

Oui! La révélation des vraies couleurs de la vie, l’instant présent. Là ou le temps ralenti si significativement pour être dans un mouvement si lent que le défaut de présence n’est plus. Cette fameuse présence….

Sources :

Kant, Critique de la raison pure (1781), Platon, Sartre, Aristote, Bergson
Open mind n°3

La violence morale n’est pas l’apanage des seuls hommes

 

 

J’ai déjà écrit un chapitre sur le sujet, je souhaitais revenir dessus car c’est un sujet qui me côtoie, dont j’ai souffert à deux reprises.

Cela m’a coupé de liens forts avec des personnes que j’appréciais beaucoup.

Narcisse d’Ovide, est quelqu’un qui croit se trouver en se regardant dans le miroir. Sa vie consiste à chercher son reflet dans le regard des autres.

 

Qui est- il (elle) ?

J’utiliserai elle pour l’aspect personnalité, mais il peut être tant homme que femmes.

Lorsque l’on rencontre cette personnalité, elle parait parfaitement « normale ». C’est souvent une personne ayant une bonne situation, très bonne situation, même. Souvent à son compte ou sur des postes à responsabilités. Qui parait être indépendant, avec une représentation de la famille idéale, ou si en reconstruction familiale suite à séparation, se positionne comme la victime d’un autre abusif.

 

Elle se positionne ainsi.

« Elle est toujours là où on ne l’attend pas. Et elle n’est jamais, mais JAMAIS, là où on l’attend, où la logique voudrait qu’elle soit. »

 

Dans une relation de couple avec cette personnalité, l’autre n’existe pas en tant qu’individu mais en tant que miroir. Un Narcisse est une coque vide qui n’a pas d’existence propre ; c’est un pseudo, qui cherche à faire illusion pour masquer son vide.

Son destin est une tentative pour éviter la mort.

C’est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu comme un être humain, souvent un enfant abîmé, abusé, non désiré, qui n’a pas été voulu, ou a interprété cela comme tel. Cette personne a été obligée de se construire un jeu de miroirs pour se donner l’illusion d’exister. Comme un kaléidoscope, ce jeu de miroirs a beau se répéter et se multiplier, cet individu reste construit sur du vide.

 

« Souvent cette personne est devenue experte dans l’art du mensonge. C’est un art qu’elle a acquis depuis la tendre enfance, souvent pour tenter de correspondre à l’image que sa mère voulait d’elle. En fait c’est son mode d’expression et elle peut fort bien ne pas s’en rendre compte et être « sincère » dans ses propos. »

 

Ses attitudes en disent long sur sa capacité à construire une relation toxique :

  1. Une capacité a culpabilisé l’autre, supprimant ainsi tout plaisir éprouvé, notamment chez les hommes et les relations sexuelles, créant ainsi une sexualité sans plaisir ni joie, relayant cela à quelque chose de non essentiel, mécanique et compulsif.

Le but ? Montrer à l’autre qu’il peut être faible, pervers ou impuissant, entraînant une sexualité non épanouit. Le sexe comme enjeu de pouvoir.

 

  1. Un air moralisateur, supérieur, distant elle ne dit pas grand choses, souvent rien, mais l’autre ressens le fond et se sent en faute. Il s’agit là de capacité à asservir l’autre, devenant victime consentante à l’exigence du désir et du besoin de cette personnalité. Une dépendance se crée, c’est l’appropriation.

Le but ? Ressentir de la jouissance, vitale, à la souffrance de l’autre, lui éloigner tout bonheur, lui créer des doutes sur ses propres ressenti, l’humilier en lui exprimant sa crédulité, une forme de torture, de punition camouflée.

 

  1. Capacité à se positionner en victime. La mère biologique et présente, étant toujours tenue pour responsable. Cette personnalité est alors dans une défense d’agression pour sortir de ce schéma de victime connu durant l’enfance. Dans une relation de couple, cette attitude séduit un(e ) partenaire, consolateur, sauveur, qui aime réparer.

Le but ? Finir par mettre le (la) conjoint(e) dans une position de coupable, rejetant ainsi la faute, médisant, jugeant, afin de se défouler mais aussi de se blanchir. C’est un être aux valeurs morales irréprochables….

« Si les autres sont nuls, je suis forcément meilleur qu’eux, elle envie la réussite des autres, qui la met face à son propre sentiment d’échec »

Rien ne va jamais, tout est compliqué, tout est une épreuve, une vie de dépression qui n’en ait que le masque pour se positionner en victime. Non, ils ne peuvent pas être changé, ils ne peuvent pas « guérir ou sortir » de cet état. C’est une sorte d’insatisfaction chronique concernant la vie.

Jamais responsable, cette personnalité n’est jamais coupable. Tout ce qui est mal est toujours de la faute des autres. Si le partenaire est indépendant, il sera dit hostile ou rejetant, s’il est peu autonome, il subira violence morale ou verbale car trop bienveillant.

« Montrer la faille des autres, permet de ne pas voir la sienne »

  1. La distance, c’est une personnalité distante, sans affect, car elle ne s’intéresse pas aux émotions complexes des autres. Elle est imperméable à l’autre, et à sa différence. Elle ne connaît pas le sentiment, elle ne connait pas la tristesse ou le deuil mais le ressentiment avec désir de revanche. Une colère en fond, une rage destructrice.

Le but ? Détruire le bonheur de l’autre, agresser, évitant ainsi la douleur ou la peine réelle, malgré sa capacité à mettre le masque de la tristesse. Elle détruit la liberté, empêche la jouissance du corps des autres, contrôle tout même ses propres enfants si il y a.

 

  1. Le caractère despotique: Plus le temps passe, plus l’affirmation de violence, de petites brimades ou encore phrases anodines, mais méprisantes s’installent.

Le but ? Donner à l’autre cette sensation de ne pas faire confiance, ne remettre en question la capacité de l’autre à savoir pour lui-même ce qui est bon pour lui-même. Rabaisser l’autre, le rendre vulnérable et détruire son estime de lui.

 

  1. Le déni total de l’identité de l’autre, le partenaire n’existe pas en tant que personne mais support, c’est-à-dire que la personne est vite noyée sous les critiques acerbes et parfois violentes, un sentiment d’appartenance à l’autre, une perte de soi et de ses repères internes. Une présence en soi qui n’est plus.

Le but ? Se nourrir de l’énergie de ceux qui subissent son charme. C’est s’approprier la lumière de l’autre qui me vient le plus. Comme je le sais bien, cette personnalité choisie des personnes, type ; empathe, lumineuse, charismatique, pour les vampiriser. Elle se détourne ainsi de son vide. Au lieu de l’affronter. Elle éloigne l’autre de son enfant intérieur, de sa vie interne, prétextant que cela n’a pas lieu d’être. D’où son amour haine pour une personnalité maternelle qui est la figue explicite de la vie interne. Que cette figue soit un homme, une femme dans la vie de l’autre ou encore la « mère nourricière ». Il y a alors l’idée du rejet du grand tout, de la source, de la mère.

 

Cette personnalité est dite perverse narcissique, manipulatrice.

 

Cependant, attention, ce n’est pas parce que certains traits sont retrouvés que toutes personnes le sont. Il faut déjà identifier et écarter les personnes faisant appel à la perversion transitoire, comme mécanisme de défense ponctuel face à un danger. Et il ne faut jamais poser un diagnostic sans avoir eu recours à un professionnel compétent.

Il s’agit d’un trouble de la personnalité, qui se produit lorsqu’une personne aune image particulièrement mauvaise d’elle-même, a l’état d’enfant. Cette personne fragilisée va chercher à se valoriser et se grandir en rabaissant les autres. Cette « carapace » ou perversion consiste souvent à faire passer ses propres besoins avant ceux des autres. Elle tourne (d’où le mot « per – version ») chaque situation ou chaque dialogue a son propre avantage ; ce qui peut souvent entraîner le mensonge dans son discours.

 

La personne PN, cherche à contrôler, à isoler des personnes de soutien, et prend a parti les gens qui dépendent d’elle (ses employés, membre de sa famille, enfants, ami(e)s…) pour pointer du doigt le partenaire et isoler. L’autre est toujours le seul coupable, le seul à faire des erreurs.

 

Plusieurs moyens sont trouvés pour ligoter sa victime :

  • Elle peut instaurer une dépendance sexuelle

  • Profiter d’un contrat qui lit (subordination professionnelle)

 

Dès son plus jeune âge, un enfant construit son estime de lui, se sont ses parents qui ont le rôle le plus important dans l’acquisition d’une bonne estime de soi, c’est se sentir un individu unique. Le parent est là pour accepter sa différence, quand on manque d’estime de soi, on culpabilise à tout bout de champ.

Ces enfants devenus grands son plus enclin à tomber sous l’emprise des manipulateurs.

 

Quatre catégories de personnes sont à risques de devenir des victimes de la perversion narcissique :

1– Les personnes qui manquent d’estime et de confiance en elles.

2 – Les personnes qui sont en situation de dépendance affective (en couple, celles qui ont été blessées, abandonnées,…)

3 – Toutes les personnes qui ignorent l’existence de la perversion narcissique (naïveté).

4 – Les personnes débordant d’énergie et de joie de vivre (les pervers narcissiques cherchent à s’approprier ces qualités).

 

AIDER LE PN ?

Commencez par sortir de la position de victime.

Mais attention j’ai souvent entendu que ses personnes se faisaient aider et pour autant elles allaient à des rendez-vous tout autres, comme les voyantes par exemple, pour maintenir le mensonge et la manipulation en ayant des « billes » récoltées lors de ces rdv.

Il faut comprendre que la personne que vous avez en face de vous, que ce soit votre mari, compagnon ou femme compagne, ne CHANGERA PAS, JAMAIS. Vous ne pourrez JAMAIS obtenir de lui une quelconque prise de conscience, des remords, des regrets, des excuses ou encore une modification de sa structure psychique, un mieux-être de son lui. Si par hasard, son discours vous laisse penser que vous pourrez l’aider, qu’elle pourrait aller mieux, c’est que cette personne vous manipule. La seule chose que vous pouvez faire c’est VOUS PROTEGER et partir avant qu’il ne soit trop tard pour vous. Car plus vous tarderez plus les dégâts sur votre estime de soi, seront complexe à panser. Le mal étant déjà en œuvre. La psychanalyse va aider le patient à faire ressortir le mal-être qui a occasionné ce type de personnalité et à mettre au jour l’origine de ce mécanisme de défense en remontant souvent à la petite enfance. Mais cela doit venir de lui-même avec aucune garanti qu’il change. Il comprendra d’où ça vient, mais il préférera changer de proie plutôt que de « guérir » car ce n’est pas une maladie, c’est une faille de structure de la personnalité

 

Sources:

https://coborder.wordpress.com/2016/02/16/victimes-intelligentes/
http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/Manipulateurs-pervers-narcissiques-qui-sont-ils
http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/Manipulateurs-pervers-narcissiques-qui-sont-ils