“Aequus Libra”, que la force soit en ta présence !

La vie n’est supportable que lorsque le corps et l’âme vivent en parfaite harmonie, qu’il existe un équilibre naturel entre eux, et qu’ils ont, l’un pour l’autre, un respect réciproque.
David H Lawrence

 

La vie de tous les jours, je l’observe et l’analyse au quotidien, se sont des micro-décisions, des choix qui font pencher la balance.

Personnellement, en me gardant bien de lourdeurs… je suis balance, je suis hyper – émotive et j’ai bien du mal à prendre des décisions.

Le problème n’est absolument pas mon incapacité à me décider, mais ma tendance à vouloir être bien sûr, avant de prendre une décision, ou de faire un choix…. la maîtrise des éléments.

 

Trouver le juste équilibre.

 

Ceci est – il seulement possible?

“Pourquoi certains n’auraient pas tout? Il y en a qui n’ont rien. Ca fait l’équilibre.” Michel Audiard

 

J’ai donc envie d’aborder ce terme, parce que la société d’aujourd’hui nous présente au quotidien la quête du bien – être, le besoin de se sentir bien, le mot équilibre tout comme l’harmonie ou la paix, reviennent souvent.

Au delà de l’approche théorique de l’équilibre en Psychologie, il y a le point de vue philosophique et spirituel dont je veux parler.

 

L’équilibre en Psychologie

Elle fait état de la notion d’équilibre cognitif, qui a été introduite par Heider en 1946, elle se base sur le postulat que l’individu organise ses relations avec autrui de façon à conserver un système harmonieux. La différence essentielle avec la théorie de Festinger (Auteur et Psychologue, proposant une variante de l’approche de Heider) est qu’elle s’applique aux relations entre les individus.

Je vais rester sur Heider, qui m ‘inspire d’avantage en expliquant son postulat, mais je ne m’aventurerai pas sur la théorie de causalité de l’equilibre, qui ne m’apporte pas vraiment de plus pour le sujet du jour.

 Selon Heider, lorsqu’une contradiction se manifeste dans notre environnement, des forces tendent à restaurer l’équilibre en modifiant les rapports entre les éléments de cet environnement ou en transformant la représentation que la personne s’en fait.

Il existe deux types de relations entre les éléments du champ social (ses sphères, ses amis, sa famille, en clair toutes les personnes qui composent son environnement) d’un sujet :

  • les relations affectives ‘L’ (attitude d’un individu par rapport à une autre personne ou à un objet) et,
  • les relations d’union ‘U’ (similarité, proximité, causalité, association, appartenance).

 

 Selon les hypothèses de Heider :

Il y a équilibre cognitif, si une entité donnée possède à tous les égards les mêmes caractéristiques dynamiques.

  • Dans le cas de deux entités, il y a équilibre si la relation est positive ou négative dans tous les cas.
  • Dans le cas de trois entités, il y a équilibre si les trois relations sont positives à tous les égards ou si deux d’entre elles sont négatives et la troisième positive.

S’il y a équilibre, des forces tendant vers l’équilibre font leur apparition et entraîneront soit une modification des caractéristiques dynamiques, soit des relations d’union.

 

 Quand Heider parle d’entités, on parle de trois “Les triades” éléments et les relations qui les lient.

  • On nomme P, le sujet (Perceiver), O, l’autre (Other) et l’objet (X).
  • On distingue les relations affectives positives L+, des relations affectives négatives L-, mais également les relations d’appartenance positives U+ et négatives U-.

Lorsque l’individu est en état de déséquilibre, il a deux solutions : soit il réalise un acte; émet un comportement, soit il réorganise ses relations avec les “entités” concernées. L’ensemble étant destiné à obtenir une triade équilibrée ou dite: ‘bonne forme’.

 

On peut ramener cette théorie à l’image du tabouret à trois pieds.

Je m’explique:  Si l’on part du principe qu’un tabouret possède trois pieds et que chaque pied représente un pilier de la vie : un pied pour la vie professionnelle, un pied pour la vie personnelle et un pied pour la vie amoureuse.Ce tabouret possède trois pieds de longueurs égales pour se maintenir, stable avec une assise plane.

On peut alors s’asseoir dessus de façon équilibrée.

Si, en revanche, un des pieds est plus long que les autres (autrement dit : si un des piliers de la vie prend le pas sur les autres), l’équilibre est « rompu » : l’assise n’est plus horizontale et la position devient fatigante et de plus en plus difficile à tenir avec le temps. On sent alors apparaître des tensions intérieurs, des mots physique. L’objectif est donc de créer un équilibre entre les trois grands piliers de la vie.

Évidemment, la notion d’équilibre est propre à chacun.

 

Du coté de L’équilibre des Lumières :

« C’est d’après sa façon d’équilibrer sa vie intérieure et extérieure que chacun révèle son intelligence, sa volonté et surtout son discernement. »

L’équilibre consiste essentiellement en une procédure d’ajustement mutuel entre nos croyances générales et nos jugements particuliers, ou l’aboutissement idéal de cette méthode. C’est un état stable, système égalitaire entre deux forces opposées dont la maîtrise de positionnement et de mouvement force les antagonismes à être en juste harmonie. J’entends par force, non pas l’obligation mais la volonté de mouvement, champ d’énergies s’appliquant à tous les êtres vivants. Finalement très proche de la notion de”Force” dans Star Wars…

 

 La notion de l’Aequus Libra est purement philosophique.

On part du principe qu’au démarrage nous allons sur un chemin, notre vie, en ayant que peu de conscience sur la durée de celle ci. Nous devons, coûte que coûte, avancer dans la vie, tout en gardant bien sûr l’équilibre pour ne pas chuter d’un côté ou de l’autre, c’est-à-dire tomber vers des extrêmes.

Cela nous permet d’avancer en prenant de notre environnement, des expériences et des enseignements. Plus nous avancerons avec maîtrise, moins nous chuterons d’un coté ou de l’autre du chemin, d’ou l’expression “son juste milieu”.

L’Aequus Libra nous enseigne que nos capacités à trouver l’équilibre ne tient qu’à nous. C’est à dire, dans nos aptitudes à savoir construire nos civilisations sur un socle universel, épais et durable dans le temps, apte à être donné sans risque, en héritage, à nos générations futures. Nous n’avons besoin que d’une chose pour y arriver, une conscience essentielle à tout démarrage de construction universelle, celle « d’être indissociable en tant qu’humanité ».

Extrait de L’ÉVOLUTION Théorie Philosophique et de Méthodes, Politiques, Sociales et Économiques, par G. Ragnaud

« La seule philosophie authentique est celle qui considère l’être humain dans sa globalité. »

 

De la lumière au cosmos, L’équilibre est harmonie de l’âme.

La vie est folle, n’est-ce pas ? C’est pour ça qu’elle est passionnante. Imaginez que nous soyons équilibrés dans une existence paisible, il n’ y aurait ni événement, ni crise, ni trauma à surmonter, de la routine uniquement, rien à mettre en mémoire : nous ne serions même pas capables de découvrir qui nous sommes.

Sauve-toi, la vie t’appelle – Boris Cyrulnik

 

Bouddha donnait son enseignement de façon très simple, je l’ai découverte en lisant ses ouvrages. Principalement inaudible ou incompris de beaucoup, ce que j’en retiens, est la voie du milieu : apprendre à découvrir l’équilibre, l’harmonie. La voie du milieu consiste à éviter en toutes circonstances de se figer dans les extrêmes.

Le développement personnel, la spiritualité mise au service du bien – être et de la quête de la paix intérieure, firent de l’équilibre une notion clé.

Alors je me suis posée la question de l’équilibre, notion qui est venue sur mon chemin ces derniers jours.

 

Qu’est ce que l’équilibre?*

Comment tendre vers elle, nécessite -t-elle une importante transformation?*

Comment les gens perçoivent -ils cette notions, avec justesse?*

 

Trouver l’équilibre pour moi, c’est : trouver sa place ou l’adéquation entre ses rêves et la réalité, le juste milieu entre ses contraintes et ses aspirations. C’est aussi faire le tri entre les souvenirs qui nous rendent forts et ceux que l’on souhaite oublier.

Lorsque je me sens tiraillée, c’est là que tous se joue, j’ai perdue mon équilibre, je suis en déséquilibre.  Car il y a une dissonance, entre ce que j’ai besoin de vivre, qui je suis,  et ce que je vis. Je ne suis donc pas à ma juste place. Et apparaît une problématique de positionnement.

Qu’est ce qui marque ce tiraillement, ce déséquilibre? est – il le symbole de présence? Ou d’absence de présence? Emergence d’un sentiment profond de s’être trouvé, d’être comme “accompli”, de trouver sa vérité, celle dans laquelle on peut s’épanouir?

« La tendance la plus profonde de toute activité humaine est la marche vers l’équilibre. » “Une marche vers l’équilibre ou peut-être une marche vers sa recherche?” J. Piaget.

Je ne cesse d’analyser pour répondre à mes questions. Ma peur de ne pas m’accomplir, de ne pas m’épanouir.  Cette peur, ce manque de confiance à ne pas être assez à la hauteur, à la bonne place. La peur du rejet….

Je me met la pression, pour faire toujours au mieux, sans accepter de me dire, que le temps est nécessaire à l’apprentissage, que les choses demandent de la patience. J’en suis ma première victime.

Ma quêtes de sens, mes influences m’ont permis d’accomplir bien des choses et au-delà de ce que je pouvais espérer. Mon équilibre pour ma part, c’est en me ressourçant que je le trouve, en me ressourçant dans mes passions et auprès de ce qui me sont chers. C’est me positionner pour vivre ce que je souhaite vivre, en me disant que si mes choix sont claires, alors ils correspondront à un appel du cœur, et que de cette manière ils seront moi.

Dans le respect, l’amour et la bienveillance.

Mon équilibre.

 

Alors finalement l’équilibre, qu’est – ce? Comme l’a dit si justement Stephen carrière : ” L’équilibre c’est se sentir à sa place”.

 

Que pensez-vous de l’équilibre?*

Avez- vous votre propre équilibre? comment réagissez-vous lorsqu’il est mis en branle?*

Sources:
Les différents dictionnaires 
Platon, Piaget, Comte, Stephen carrière, Boris Cyrulnik,G. Ragnaud

Le grand livre du YI KING – Le livre : Qu’est-ce que la philosophie occulte ? Par Pierre A. Riffard – Le Tao, philosophie de l’équilibre
Consultations diverses sur wikipedia & La notion de “force” de Star Wars.

Influences et ligne éditoriale !!!

 

Conquérir sa joie vaut mieux que s’abandonner à la tristesse. ~Andre Gide

 

Aujourd’hui, je travaille sur moi ! J’ai la chance de faire du home job, donc j’ai pris cela pour un signe afin de prendre le temps de parler ici de mes influences et ma ligne éditoriale.

 

Je trouve que de parler de ligne éditoriale est un peu présomptueux car ici je ne vois pas mon action comme une entreprise ou un journal professionnel. Mais puisqu’il s’agit d’un support de communication, je vais employer le terme adéquat.

 

J’ai toujours aimé écrire, depuis petite, je collectionne les calepins et je les remplis à vitesse grand V. Je me suis dit en créant cet espace, que je pourrais partager à une âme ou plus. Ce n’est pas facile tous les jours… de trouver le temps, de trouver l’envie…

Mais j’aime le faire, ce moment me reconnecte à ce que je suis, qui je suis en ce moment. Déracinée, terrassée souvent, seule parfois, dans ce que j’aime appeler mon délire.

Cela me permet de me recentrer sur moi, de me faire du bien et d’avoir cette impression d’une écoute, que je n’ai plus.

Je complète mon temps pour moi par la lecture, au delà de l’Écriture. Je ne suis pas spécialement emballée par les romans ou autres histoires racontées, imaginaires, même si j’en lis. Par contre, j’aime les livres pédagogiques.

 

J’ai décidé de travailler sur la patience, la douceur et la réconciliation en ce beau lundi.

 

Mon influence majeur depuis presque 15 ans est la Psychologie dans toutes ses possibilités. Mais depuis quelques années maintenant, c’est vers le courant humaniste et Jung que je tends le plus. Allant au -delà de la notion du moi, de la notion de synchronicité et de catégorie de la causalité, je m’y reconnais.

J’aime cette approche. Je me reconnais dans cette 4 ème école.

J’ai toujours eu du mal à trouver ma place dans ces courants connus, ceux que l’on m’a appris sur les bancs de la fac.

 

Pourtant cette école existe depuis 1970, pourquoi ne pas l’enseigner?

 

Parce qu’elle se découvre comme on cherche à se découvrir soi! Elle ne s’apprend pas, ne s’enseigne encore que peu, mais elle s’expérimente.

 

Oui elle est en marge, mais l’originalité n’est elle pas marge de la société?

 

Faisant mon petit bonhomme de chemin, j’ai continué mes apports théoriques universitaires, chemin chaotique choisi ou subit? Par l’accompagnement que je réalise aujourd’hui et ce, depuis 9 ans maintenant, j’ai trouvé un écho à cette vision, je pense qu’au plus profond de moi je le savais.

 

J’aide les gens, je les accompagne, je les guide et j’explore avec passion toutes les possibilités de l’humain. Car pour moi que se soit la Psychologie ou toutes autres théories, rien ne peut pas s’enfermer en une seule maison. L’humain et la vie sont trop complexes.

 

Le constat que j’en ai fait, est ma totale incompatibilité avec le mode de pensées mécaniste et réductionniste. Vieux modes scientifiques qui n’apportent aucune réponse satisfaisante aux problèmes humains que je me pose. D’ailleurs sans entrée dans des détails, qui n’ont aucun apport pour mon contenu, je pense que cela explique aussi la crise actuelle.

Beaucoup de valeurs supérieurs sont ignorées, telle que la conscience spirituelle, le sentiment d’amour, les besoins esthétiques, le sens de la justice. La science matérialiste est aveuglée et elle aveugle notre vision du monde. Tout doit être séparé, mécanique, individualiste, égoïste, compétitif et surtout imposant la loi du plus fort sans prendre en compte le naturellement sain et l’amour.

On ne va pas rentrée dans le débat du “pourquoi tout le monde écoute cela”. ce ,n’est pas mon objectif, je ne crée pas de débat de société, je génère, humblement, du mouvement comme dirai un certain penseur.

Moi je suis fière de ne pas coller à ce schéma, de m’en défaire au quotidien, même si je l’avoue, parfois c’est difficile de lutter face aux peurs des autres.

Je ne cherche plus à extérieurs, ce que je sais trouver en moi. J’avance, en m’inspirant et ceci grâce à mes influences. Mais sans jamais lâcher mon intuition et ce que me dicte mon cœur, car sinon je rentrerai aussi dans l’apanage du mouton !!!

 

Je m’influence, depuis 2 ans, de la Psychologie transpersonnelle. Je fais un mixe de toutes mes fontaines de jouvence réflexives.

Mes intérêts se situent aussi ici:

  • La psychothérapie empirique,
  • La méditation,
  • La recherche clinique et expérimentale de la conscience,
  • Le développement personnel.

 

Je m’intéresse aux états non ordinaires de conscience, telle que l’extase, le sentiment de connexion, l’univers, la conscience aiguë de son être profond.

Bien que considéré avec beaucoup de recul et de suspicions, moi je les ressens comme un besoin sain, une représentation supérieure de tout.

Au delà de la personnalité, de son conditionnement et de son petit monde, il y à la pratique des notions mais il y a surtout l’expérimentation de son cœur et la réalisation de soi. Je suis l’objet de ma vie, je suis moi et tout à la fois.

Je souhaite me réaliser en tant que personne, quoi de mieux qu’une influence qui se préoccupe des perturbations résultant de l’enferment des potentiels prétendument illimités de la conscience dans les structures limités de l’ego.

 

Bien sur je ne peux que constater la difficulté de ces termes et j’ai donc décidé ici d’expliquer de manière assez originale la Psychologie et le reste. De faire des articles de vulgarisation qui permettraient aux âmes qui me lisent de mettre des définitions plus justes sur certains concepts, souvent utilisés à mauvais escient.

 

Ce sera ça ma ligne directrice, ma ligne “éditoriale”. Ma propre sensibilité au service de mon style, PSY et SPI.

  • Une invitation à me suivre dans un chemin ou je vais parler de ce que je ressens mais en t’invitants au travers de mon chemin à te poser tes propres questions, pour ton propre cheminement.
  • Un style résolument très personnel mais en même temps absolument pas intimiste. je parle de ma propre expérience, de mes réflexions et analyse pour parle d’un sujet et j’invite l’autre pour parler des siens. Mais a aucun moment ne sera ici un journal intime, de mes états d’âmes….mes calepins sont là pour ça.
  • Ici, ma capacité à lire l’autre est mise au service de la vie, de ce qui se passe et ce que je vis avec passion.

 

La vie est faite de rencontres, d’échanges, dans quel but? Voyager est un but, expérimenter, tout autant!

 

Peu – importe qui passe sur votre chemin de vie, l’essentiel est d’être en accord avec vous même, car vous êtes avec vous – même durant toute votre vie. La communication, la joie, la paix, le plaisir, sont à prendre avant tout en soi et pour soi. Le partage est un plus. Une feuille multicolore de votre arbre de vie.

Ghosting vs dépendance

“Champ abandonné, feu déclaré.” -Anonyme-
 
Assise, je médite en pleine conscience et à la fin de ma séance, j’ouvre les yeux.  Devant moi, à perte de vue un champ de ruine, le vide. Si partir du jour au lendemain n’est pas franchement nouveau – à chaque fois que je le rencontre dans ma vie, il me fait toujours le même effet – “terrassant”.
 
Un geste finalement violent, quand on pense au fait qu’aujourd’hui « nous sommes constamment reliés aux autres de par les réseaux sociaux, les téléphones, les ordinateurs, internet de manière générale » explique Marjorie Cambier*, psychologue clinicienne et sexothérapeute, « la vie virtuelle est devenue presque aussi importante que la vie réelle, voire plus »
 
 
 J’avais envie de vous parler de ce phénomène qui nous a tous touché, un jour ou l’autre, et qui laisse des traces indélébiles. Du jour au lendemain on se retrouve face à l’incompréhension d’un tel geste, à se remettre en question et se mettre en cause, sans aucun moyen de faire son deuil.
 
Pour mieux comprendre le phénomène, voici quelques éléments et piste de réflexion et d’action pour passer se chemin sinueux qu’est la reconstruction de soi, et de son cœur.
 

Pour mieux le comprendre, on doit savoir ce qu’est-ce “ghosting” ?

Le « ghosting » est l’acte de quitter sans aucune explication. C’est faire le mort : plus d’appels, plus de mails, plus de sms… « Ghosting » est un terme apparu récemment, du mot anglais « ghost » qui veut dire fantôme. Il y a donc bien une idée de mort qui plane dans tout ça : faire le mort, devenir un fantôme…

Quand cela arrive, il faut faire le deuil. Et difficile de faire ce deuil sans pouvoir donner du sens à cette fin d’histoire. Il est dit du « ghosting » que c’est un phénomène de société ayant tendance à s’amplifier ces dernières années. Les nouvelles technologies numériques bousculent les comportements. La société consumériste accentue le comportement « effet mouchoir». La relation à l’autre devient de plus en plus une relation à l’objet, l’objet qu’est le téléphone, l’ordinateur par exemple. En un clic, j’entre en contact et en un clic je quitte la personne. C’est tellement plus facile. En un clic le tour est joué.

Mais suite à ce néant de relation humaines, il reste une cicatrice, celle qui mettra des jours, des semaines et parfois des années pour être pansée.

Le Ghosting est alors soit une rupture  soit vécu tel que, et cela sans prise de risque

Alors que l’on multiplie aujourd’hui les moyens de communication, et qu’il n’a jamais été aussi simple de transmettre une information, le ghosting peut-il, finalement, ne se résumer qu’à un signe de lâcheté ?

 

C’est l’explication qu’à fini par fournir l’ex de Léa, 25 ans, “ghostée” après son départ en Erasmus par le garçon qu’elle voyait depuis plusieurs semaines : « après des semaines d’échanges enflammés à promettre qu’il viendrait me voir plus de nouvelles. Trois mois plus tard, il a fini par m’envoyer un mail pour s’excuser du fait d’avoir été aussi lâche ».

 

Pour Marjorie Cambier, « on se trouve dans le cadre de la peur de la confrontation, du conflit. C’est une réaction finalement assez infantile d’une personne qui n’assume pas vraiment sa position. Une rupture sans prise de risque en somme. Sauf évidemment dans le cadre des violences conjugales, ou parfois partir sans laisser de traces est la seule solution ».

 

Notre experte souligne par ailleurs que les raisons d’un ghosting dépendent essentiellement de la nature de la relation : « Dans le cadre d’une relation de couple réelle et suivie, une personne peut choisir de « ghoster » son ou sa partenaire lorsque la relation s’est mal passée et qu’elle souhaite vite passer à autre chose, lorsqu’elle sait pertinemment que les discussions seront vaines, ou lorsque la relation est trop violente (psychologiquement et/ou physiquement), et nécessite un éloignement immédiat, total et salutaire.  »

 

Prenons le cas de rencontres amicales, le ghosting pourrait être considéré comme un moyen plus facile de couper le lien, sans avoir à s’expliquer, ni a justifier son choix parce qu’il est dit “assumé”. L’engagement dans la rencontre est également moins grand. Entre cette quantité plus importante et cette qualité moindre dans la rencontre, le ghosting serait la stratégie la plus facile de passer à autre chose : plutôt que d’ expliquer, on va simplement “retirer”, “couper” la personne de sa vie. Dans tous les cas, il s’agit d’une technique pour se “débarrasser” d’une personne devenue “indésirable”, lui dire merci en faisant l’économie d’un adieu en bonne et due forme. C’est une manière de ne pas affronter la fin d’une histoire, et les conflits qui pourraient en découler.  J’apparente cela a de la lâcheté, mais je vais être indulgente, c’est peut – être de la timidité !!!

 

Ce que ressentent les personnes ghostées

En face des personnes qui arrêtent du jour au lendemain de donner des nouvelles, il y a les autres, les victimes de ce comportement.

 

Comme l’explique Marjorie Cambier, « Il est important de mettre du sens à ce qui arrive pour enclencher le processus de deuil. Dans le cadre du ghosting, cette mise en sens nous est refusée, ce qui rend les choses plus difficiles, et peut provoquer de la colère ou du ressentiment. La personne “ghostée” est laissée dans l’incapacité de réagir, ce qui est frustrant et violent pour elle ».

Pour Victoria, artiste peintre de 25 ans, “ghostée” à plusieurs reprises par le même garçon « C’est assez désarmant quelqu’un qui part comme ça sans prévenir. Ça empêche l’autre de passer a autre chose parce que tu ne fais qu’attendre. C’est assez humiliant aussi. J’ai bien mis six mois à accepter qu’il ne reviendrait pas ».

 

Le discours est finalement toujours le même : les personnes qui ont témoigné auraient toutes préférées que l’autre soit honnête, direct et face à elles. Ça aurait toujours été un mauvais moment à passer, mais ça les aurait aidées à passer à autre chose plus rapidement. A comprendre et a ne pas se remettre en question systématiquement, à entacher l’estime de soi et a blesser leur cœur.

 

Lors d’une fin, ne serai il pas plus judicieux de privilégier :

⊃ La communication directe:  dire honnêtement que l’on ne souhaite plus garder contact avec l’autre. en FACE à FACE. Je sais que ça peut sembler dur, mais en même temps, c’est le cas, non ?

Il ne sert à rien de se planquer dans une situation qui vous ferait culpabiliser et encore plus souffrir l’autre. Même si, de votre point de vue, ça ne vous semble pas si grave. On ne peut pas deviner ce que l’autre va ressentir.

 

Alors bien entendu, il y a l’art et la manière de le faire.

 

« C’est peut-être un mauvais moment à vivre mais ça aide à passer à autre chose. »

Une peur de l’engagement ?* Tous des « ghosteurs » en puissance ?* Aller vers la misandrie?* Des « consommateurs » de relations ?* Des personnes qui ne savent assumer dans les yeux?* Quand disparaître devient une nécessité?* Ne pas chercher de sens dans le silence?* Questionner sa part de « responsabilité »?* Vivre après un ghosting, oui mais comment?*

 

 

Voici 4 types de « ghosteurs »  qui quittent 

 

⊃ Les Pervers-Narcissiques
Ces contrôlant n’ont qu’un seul objectif; tel des vampires, aller jusqu’au bout la relation, l’autre et leur image, leur prendre toute leur énergie vitale. La victime reçoit un dernier coup de grâce. Terrassée par la violence de l’acte et l’incompréhension.

⊃ Les séducteurs, Hitch people !
D’avantage préoccuper par leurs statistique de conquêtes, n’ayant pas de temps à perdre a faire les choses correctes en fin d’aventures ils consomment de l’amour. Sans respect pour l’humain derrière le corps désiré. (Misandre frappe a ma porte?)

⊃ Les abandoniques aiguës
Ceux là même qui sont dans l’angoisse d’abandon : ils se sentent (ou croient être) constamment abandonnés. Par peur d’être abandonnés, tôt ou tard ils vont quitter (a défaut de pousser l’autre à les quitter). Ainsi eux aussi contrôlent la situation non pas pour détruire l’autre comme le pervers-narcissique mais plutôt pour tenter de canaliser l’angoisse qui les rongent. En gardant le contrôle des relations, ils se donnent l’illusion de contrôler leur angoisse.

“Pour ne pas être abandonné un jour autant abandonner tout de suite.”

⊃ Les contre-dépendants
Ce sont des dépendants affectifs mais qui s’ignorent. Ils vont tout mettre en place pour fuir la relation ou pour ne pas être en relation du tout.  Problème avec l’engagement? ou problème d’abandon? Les deux sont envisageables. Dès que ces individus se trouvent en lien avec autrui, ils se sentent piégés, ils ressentent une pression dans le thorax qui les poussent à fuir. La relation amoureuse les angoisse terriblement bien qu’ils n’en soient pas conscients. La solitude sera pour eux le seul moyen de ne pas souffrir d’avantage.

“Suis – je condamné à être seul? c’est peut être mieux ainsi, pour ne pas faire souffrir ou souffrir d’avantage”

 

C’est en tout cas le seul moyen de ne pas se retrouver en situation de dépendance. Leur devise pourrait être « mieux vaut être seul que prendre le risque de s’attacher ».

 

Voici une typologie des quittés.

Dans une société de l’éphémère et de la consommation tout le monde peut être amené à subir la situation du “ghosting”, à être quitté du jour au lendemain. En lisant sur le sujet j’ai relevé une concomitance, j’ai pu remarqué qu’il s’agit majoritairement de personnes souffrant de dépendance affective, ayant une faible estime d’elles-mêmes, ne s’aimant pas. Des personnes ayant bien souvent vécu des situations d’abandon par le passé (enfance ou adolescence) et étant plus dans le besoin et la relation d’attachement que dans une relation harmonieuse. Le “ghosting” est donc terrible à vivre pour ces personnes là car cette situation réactive la veille blessure de l’âme: d’abandon et de rejet.

 

“Les dépendants affectifs ne s’aiment pas ou très peu et ont une mauvaise image d’eux-mêmes. Ils vont faire des choix de partenaires qui seront de mauvais choix pour eux. Ils vont choisir des personnes qui vont leur faire revivre le drame du passé et alimenter le schéma répétitif. Par non amour de soi, enfermés dans la souffrance, prisonniers de croyances limitantes sur eux-mêmes, la vie et sur l’amour, les dépendants vont être attirés par des personnes qui soit les maltraiteront, soit les abandonneront, soit les deux.”

 

Alors que faire ?

 

Pour aller plus loin, Géraldyne Prévot Gigant, nous propose 7 antidotes au Ghosting, c’est ici

Sources : http://www.marieclaire.fr/,ghosting / LA quête du bonheur / www.psycholgie.com / Blog

Vous ne changerez jamais votre vie avant d’avoir changé quelque chose que vous faites chaque jour!

Ce matin, je me suis levée avec un questionnement pour Janvier 2018, je dirai que c’est plutôt commun.

Qu’est ce qui à fait mon année 2017?

Comme je souhaite commencer mon année 2018 et comment j’aimerai la voir évoluer?

2018, commence comme à terminer 2017, pour d’autres c’est bien différent, mais en ce qui me concerne, ce sont les mots: Transformation et Transition que je retiendrai.

Alors j’ai décidé de faire un Bilan et une projection sur 2018.

Faire des bilans, j’adore, je ne trouve pas ça si compliqué en soit parce que j’aime faite le point sur les éléments de ma vie. Mais cependant, je peux comprendre que pour certain la tache soit ardue.

 Mon chemin :

» Inattendu, parce que je ne me doutais pas vivre autant d’étapes, d’apprentissages sur cette année.

» Émotion, parce que je suis montée dans un grand huit, pour n’en redescende que pour les fêtes.

» Spirituel, car ce fut l’année ou j’ai pleinement vécu dans ma sphère, magie au quotidien.

» Quête de soi, je me suis rencontrée, cela a réveillé en moi d’avantage de sens et mis en lumière ce que je veux explorer, comprendre.

» J’ai réveillé l’être de lumière qui sommeillait en moi, j’ai accentué mes capacités psychiques, j’ai ressentis les choses avec finesse.

» J’ai compris que ma mission est de continuer à transmettre, de devenir de plus en plus puissante sur ce plan. Accompagner encore plus de gens, les aider, et pourquoi pas les soigner.

» J’ai un don certain, je vois l’enfant en chacun. Je vois l’enfant a l’intérieur des gens. Je ne fais pas que le voir, je le réveille, je lui parles, je l’entends et le comprends pour le rassurer.

 

Ce pourquoi je suis fière :

» Je suis fière du chemin parcours, d’avoir su rester fidèle à mes valeurs quoi qu’il aurait pu m’en coûter,

» D’avoir su me faire passer en premier, parce que j’ai compris que si je suis bien en moi, mes choix, mon environnement seront en résonances avec mon cœur, je serais donc en harmonie,

» Je suis fière de ne pas avoir de limites, de savoir vivre chaque étapes en m’abandonnant complètement, parce que j’ai confiance, en moi et en ceux à qui je donne ma confiance,

» Mais aussi tellement heureuse d’avoir su rester en amour inconditionnel, en confiance et bienveillance, chacun de ces jours de l’année, surtout lors de ceux ou j’ai été terrassé,

» Je suis fière d’avoir enfin décider de vivre des éléments qui ont du sens pour moi, malgré les vagues, et les prises de positions houleuses. Je sais ce qui est bon pour moi aujourd’hui et je veux m’y tenir.

» Je suis fière de mes choix, de ceux que j’ai fait y à des années et que je maintien encore aujourd’hui, et des nouveaux. Le choix de ne pas en faire, quand on cherche a l’ imposer.Le choix de faire le choix de moi car je crois que c’est là que ce joue mon bonheur,

» Ce dont je suis le plus fière c’est de rester orignal, n’en déplaise aux détracteurs. De ne pas être fade, d’être au delà des apparences et des normes. Je reste anti-conformiste, anti-politiquement correct. Ne pas adhérer a tout ce qui ce dit de “normal” ou “il faut être”.

 

2017 m’aura montré toutes mes facettes, et m’aura permis de me poser de vraies questions, envisager l’avenir sous un autre angle, j’ai souvent souffert et j’ai aussi connu de grand bonheur. Une chose qui est sûr; c’est que mon plus beau moment est le jour ou je me suis vue et que je me suis aimée, je me vois toujours ainsi aujourd’hui. Demain est aujourd’hui; 2018. Je sais que je serai souvent trop en hauteur, accrochée à mes ballons, à regarder le monde autour de moi et me sentir souvent hors du cercle, hors du jeu, hors des chemins communs. Mais la vie est ma meilleure amie, la vie je lui fais confiance.

 

 

Ce que j’ai besoin d’accomplir :

 Me lancer dans un cursus de psychothérapeute, pour compléter mon coté Psycho et Coach en développement personnel, cette année marque le début de ma future voie professionnelle,

 Développer mes connaissances en Aromathérapie et mettre des fleurs dans mon quotidien,

 Etre encore plus magique et lunaire !! déposer un rideau lumineux dans ma vie, parce que je suis pleinement moi quand je vis mes connexions et que j’aide les gens au travers de ma magie.

 Plonger passionnément dans ma mission d’âme, ne plus laisser de coté tout ce qui fait sens pour moi, parce qu’il n’y a pas plus important et prioritaire que moi. Si je suis moi et que je me fais passer avant, mon environnement, mes proches en seront affecter dans le bon sens. De l’épanouissement naît l’harmonie. Un mouvement d’amour des autres par l’amour de soi.

 

Ce que je souhaite :

 Ecrire mon premier livre. En Janvier je me connecte à mes amours, a cette passion d’écrire et de transformer mes calepins en livre.

 Ne plus renier ce que l’enfant a, a dire au profit des croyance de l’adulte ! laisser parler mon intuition et la voie de mon cœur,

Continuer de suivre mes guides, écouter mes intuitions et suivre mon cœur d’enfant,

Faire vivre et développer PdC. Car c’est un lieu qui me fait du bien et une sphère ou je peux être moi, en toute simplicité, lâchant ainsi mes ballons.

 

 

Cette année je vais dépasser ma peur de l’inconnu, et me mobiliser pour avancer en confiance, en limitant les peurs, en créant des ancrages positifs. Et les jours ou ça n’ira pas, je regarderai au loin sur cette plage, là ou la lumière a fait jaillir de l’eau, les plus belles pierres et dans le bleu profond d’une Aigue marine, je prendrai surement conscience de tout le potentiel que la vie peut générer en nous. Parce que rien d’autre ne compte, que l’amour et la nature

Harmonie – renaître toujours un peu plus fort(e)!

Me tenant pleinement dans l’instant, j’ai confiance, je sais que tout ira bien. Je suis harmonie.

Mentalisez – vous tout vos souhaits?

Désirez – vous plus, que ce dont vous avez besoin?

Tout mes souhaits, tout mes désirs sont de passages, ils me traversent, me transpercent. Parfois ils me font vibrer.

En ce jour, une pensées m’est venue spontanément: “laisses les s’envoler au gré du vent,  ou prend les en compte dans la construction de tes projets”

Rêver… L’enfant en toi, en moi parle si souvent, passer a l’action pour réaliser ses projets, c’est cheminer vers la réalisation de soi. Sans jugement ou auto – dévalorisation, croire en son potentiel.

Connais – tu la légende des deux étoiles?

 

Trésors des profondeurs
La courbe de nos yeux similaires
Bruissement

 

Le 7 juillet est l’occasion pour les japonais de célébrer Tanabata Matsuri, la fête des deux étoiles. Cette fête est issue de la légende Sino-nipponne, (la culture japonaise a subi de fortes influences chinoises). Les japonais célèbrent la rencontre d’Altair et de Vega, Orohime la Tisserande et Hikoboshi le Bouvier, deux “étoiles” séparées par la voie lactée.

A l’occasion de cette fête, vêtus de leur plus beaux Yukatas, les japonais se ressemblent à Hiratsuka au sud ouest de Tôkyô. Pour l’occasion, les rues et les japonais écrivent leurs souhaits sur des petits papiers verticaux appelés tanzakuset. Ils sont ensuite accrochés à des branches de bambous afin d’être exaucés par le  Altair et Vega. A minuit, l’arbre est jeté dans un fleuve ou brûlé pour que les vœux se réalisent.

Tout en sachant cette légende, nous devons nous rappeler que, le partage,  n’est pas fait pour durer. Toutes étapes de vie non plus. Tout est de passage, vécu intensément ou pas. Tout passage de vie est là pour nous aider à nous rencontrer. Indiscutablement nous offrir un cadeau unique; apprendre, grandir, s’ouvrir.

La transformation qui est en oeuvre en soi pour Soi est une occasion pour adapter son comportement, œuvrer en soi avec conscience afin de se rapprocher un peu plus de ce qui a du sens pour soi.

Souhaiter en 2018 est une belle question, je vais y répondre dans un autre billet.

Aristote a donné un  bel exemple de formation avec le sculpteur qui donne une forme au bloc de marbre. En ce sens, la formation de soi serait une sculpture de soi. Or, Socrate applique précisément une telle métaphore à son idée de la formation humaine. Mais l’être humain n’est pas un bloc de marbre et l’on ne peut le former comme le sculpteur donne une forme à une matière première.

 

L’être humain n’est pas une statue que l’on peut reformer indéfiniment à partir d’un même moule originel. Chacun d’entre nous est un être singulier doté d’une identité unique qu’on peut appeler le soi. C’est cette essence singulière, ce noyau intime que le processus de transformation de soi est censé mettre à jour sous le soleil de la conscience.
Comme le dit si bien Sartre, le fait que nous soyons conditionné par notre environnement social et formé par notre éducation n’annule pas la liberté que nous avons de nous transformer. Nous avons le pouvoir paradoxal de nous réapproprier ce moi qui nous a été imposé de l’extérieur en le transformant en soi… En un sens existentialiste, la transformation de soi passe par ce que j’appelle une révélation existentielle, c’est-à-dire une prise de conscience soudaine de qui nous sommes vraiment. Une telle expérience est difficile à formuler car elle est très intime et certainement différente pour chacun. Mais il est probable que l’Eveil du Bouddha, l’Extase de Thérèse d’Avila ou même le Cogito de Descartes par exemple,  sont autant de formes différentes d’une même expérience fondamentale de la révélation de soi. Et c’est précisément sur une telle base de révélation soi que la transformation de soi devient possible.

 

Si vous voulez que les choses soient différentes,  la solution est peut-être de devenir différent vous-même.
Norman Vincent Peale

 

Pendant des années, j’ai attendu que ma vie change mais, maintenant, je sais que c’était elle qui attendait que moi j’évolue.

Harmonie en soi, pour Soi. Amour pur et inconditionnel de soi.