Mon chemin….le mur.

“J’irais au bout du chemin sans relâche , le mur j’y ferai fasse, je le franchirai !!”

Je suis une menace? Tu te sens incontrôlable, tu ressens l’inévitable, tu es anxieux(se)? Je viens de me réveiller, je dormais,  mais un rêve m’a sorti de mes fantasmagories.

Dans les profondeurs, là ou tapis dans le noir, tu as enfermé tout tes secrets… Elle, est fondamentalement puissante, revigorée par chaque jour qui passe. Tu l’aimes, incontestablement, pour sa force. Tu la nourris de toi, sans penser à toi.

Elle te procure une sensation qui lui est propre. Elle conditionne en toi, tant de choix. Que ce soit de la manière inconsciente ou complètement conscientisé, elle explique tous tes comportements. Elle fait vivre tes propos, elle choisi pour toi, quand tu restes pendu à ses lèvres.

Y à des matins ou tu te lèves et tu n’as qu’une envie, lui hurler dessus. Parfois elle te rend puissant(e), un instant fugace de bonheur apparaît, mais ne dur jamais longtemps. D’autres matins, elle paralyse tes actions, tu es attaché(e)s, détaché(e)s de toi. Entouré(e)s par ce cordage, fort, puissant qui t’empêche d’être toi.

Incarné par de beau rivage, elle se dit nécessité. Elle entrave tes besoins réels, tu ne reviendra jamais à ta vie, tant qu’elle t’accrochera au passé.

Farouche prédatrice, elle dévore tout sur son passage. Ne te laissant que tes yeux; mouillés et ton corps nu, sur le sol froid d’une une pièce vide. A genoux, pleurant les situations que tu subis, mais qui finalement n’ont de responsable que Toi. Car c’est TOI seul(e) qui l’a généré.

Tu l’as activé, elle t’a contrôlé, tout est devenu inévitable. Ce flux, ces émotions…………..Ta PEUR.

Sources : Photo Pinterest

Mon amie colère.

“Plus le corps est ému, plus l’émotion est intense”.

“Connais – toi, toi même” a dit Socrate, je ne suis pas le centre du monde, sinon peut – être son pion. Mes émotions fusent et me rendent humaines, voilà leur intérêt. Personne n’arrive à m’apprivoiser, même pas moi même. Je perds le contrôle !!!

Est – ce que vous aussi, vous arrive-t-il de perdre le contrôle, lorsque votre objectif de vie c’est de le conserver et l’appliquer à tout les versants de sa vie?*

Je ne suis pas souvent colère, régulièrement agacée mais pas dans l’explosion. Pour autant, comme toutes mes émotions, elle est là pour mon bien, celle ci. Comment? et bien elle est. Elle est, pour me faire comprendre une leçon, lever le voile sur un problème et une peur.

La question que je me pose alors est celle ci : “La colère est elle salutaire?”

C’est une émotion secondaire, liée soit à la peur, soit à la tristesse, et qui dénote une frustration. La réalité telle qu’elle est, est bien différente de ce que je voulais avoir ou pensais vivre. C’est là ou tout ce joue?. Après avoir vécu une journée ou mes émotions; tel que l’injustice, on rendu pénible l’étape, le déroulement du jour, j’ai réfléchi, pris du recul… Pour autant cela est positif en bien des points. C’est en cela que je parle de colère salvatrice, notion que l’on retrouvera dans beaucoup d’ouvrages.

C’est selon moi, le principe d’émetteur – récepteur. En effet, elle nous informe sur une menace, et à notre interlocuteur, informe sur le fait que son comportement ne nous convient pas du tout.

L’objectif est alors double :

  1. Accepter de la ressentir pour entendre, écouter son message.
  2. Exprimer sa colère en soi pour soi, et pas la déverser sur un tiers.

Le message est, que la colère nous parle de nous même. Il ne sert pas de reporter celle – ci à l’extérieur ou sur une tiers personne. Car celle – ci vient uniquement de nous pour nous. Elle nous signale un besoin insatisfait, profond, un besoin à combler.

Une limite a été visiblement franchie. Il semble que je me sois senti agressée, agacée, flouée peut – être? Cette colère serait liée à un manque de confiance, un besoin de reconnaissance ou alors une nécessité urgente d’affirmation de soi.

Elle a été déclenché suite à une succession d’événements, pas forcément liés les uns aux autres, avec des degrés d’importances ou d’urgences bien distinct:

  • Une blessures aux tibias, empêchant de faire du sport pendant quelques semaines
  • Un échec dans l’élaboration de mon projet professionnel de grande envergure,
  • Un contact déplaisant,
  • Un manque de soutiens,
  • Une taches sur le chemisier,
  • Une douleur invalidante.

Finalement, ne m’indiquerait – elle pas, un besoin excessif de tout contrôler?

Mon incapacité à lâcher prise sur tout ce que je ne maîtrise pas, ne peut pas être maîtrisé et ne se maîtriserai jamais?

Car l’évidence de cet apprentissage, est que nous ne pouvons absolument rien maîtriser.

Derrière ce besoin de contrôle, se cache des blessures. J’en ai évoqué une ici, sur le précédent billet. Derrière la colère se cache souvent une peur, qui surgit déguisée en tristesse, en contrôle et / ou en frustration.

Il est donc faux d’affirmer que la colère est “mauvaise conseillère” ou encore qu’elle provoque l’emportement. Ce sont plutôt les blocages dans le processus émotionnel ou les erreurs dans l’attribution des responsabilités de notre satisfaction qui expliquent nos faux pas.

Par exemple, si je ne respect pas le processus émotionnel naturel de ma colère, je ne prends pas en compte “tout ce qui m’importe”. Si je ne prends pas la peine de la ressentir et de comprendre “comment et combien” je suis affecté, je ne pourrai pas trouver une façon d’agir pour “compléter” réellement mon expérience, combler par la connaissance de mon Moi, la frustration, panser la blessure. En négligeant une ou plusieurs étapes du processus, il me sera également impossible de savoir si ma colère est défensive ou fondée. Par exemple je ne pourrai me rendre compte que ma colère sert de camouflage à ma tristesse ou encore que j’attaque au lieu de reconnaître une vérité dénoncée.

  1. Erreur #1: dévier de son objectif de satisfaction Dans le premier exemple, mon patron est la source de mon mécontentement en ne respectant pas une entente faite d’un commun accord. À ce moment-ci, toutefois, ce n’est plus l’augmentation de salaire qui est en jeu, mais son respect à mon égard. Mon objectif devient donc d’obtenir de lui le respect que je souhaite. Si je n’y arrive pas, mon nouvel objectif pourra devenir d’agir en conséquence afin de me respecter moi-même. Dans cette perspective, le fait de lui exprimer mes sentiments actuels pourrait constituer une solution satisfaisante. Lui exprimer mes réactions et changer mon degré d’implication au travail pourrait être une autre solution qui me satisfasse. Enfin, il se pourrait que la meilleure solution pour moi soit d’entreprendre des démarches pour quitter cet emploi. Si au lieu des options précédentes, je choisis de faire payer mon patron en adoptant une attitude boudeuse ou en négligeant mon travail, je n’aurai jamais la satisfaction d’être respecté. Le problème ne pourra qu’empirer. 
  2. Erreur #2: la révolte contre les problèmes de la vie La vie est constituée d’une série de problèmes. Pour assurer notre satisfaction et notre confort, il faut régler ces problèmes. Dans cette perspective, m’en prendre à l’ordinateur est sans issue du point de vue de ma satisfaction. (Il ne peut aucunement porter la responsabilité d’enjoliver ma journée.) Je puis bien sûr “ventiler” et me soulager en l’accusant de tous les maux, mais si j’entreprends de le détruire, il est clair que je concentre mon énergie sur la mauvaise cible. J’ai sans doute plus de chance d’être vraiment satisfait en consentant à consacrer le temps qu’il faut pour le remettre en marche. Je pourrais par exemple appeler un technicien et ré-orienter mes priorités en fonction du problème apparu. J’en sortirai sans doute plus satisfait que si je pleurais toute la journée sur mon sort. 
  3. Erreur #3: S’attaquer à la mauvaise cible Il n’est pas toujours facile de confronter la personne ou la situation qui nous cause une frustration. C’est souvent exigeant aussi, de poser les gestes nécessaires pour trouver la satisfaction désirée. Il n’est pas rare, donc, qu’au lieu de faire face à ces difficultés on s’en prenne à un tiers pour déverser sa colère. Un grand sentiment d’injustice s’installe alors chez celui qui est ainsi utilisé. C’est là une des manières par lesquelles on arrive à empoisonner une relation.

Sources : http://www.redpsy.com/guide/colere.htmlLa puissance des émotions Par Michelle Larivey, http://www.redpsy.com/infopsy/emotions.html

Tu ne trahiras point.

Ma trahison. Notre trahison,

Cette sensation d’attachement à l’autre, de séparation douloureuse, d’être coupé en deux, qui n’est autre que la peur de soi, de tomber le masque d’un traumatisme.

J’ai respecté mon engagement au maximum, en étant fidèle en tout. Très exigeante avec moi-même, je lui ai montré, prouvé que je serai invincible pour elle, pour lui , pour nous. J’ai voulu contrôler. Me contrôler,  contrôler l’ autre aussi, pour m’assurer qu’il, elle ne me trahirait pas. Ainsi ma confiance serait totale, viscérale, une confiance.

Elle n’est pas si pathétique parce qu’elle m’a blessé, mais aujourd’hui elle n’est pas importante.

Nous avons tous plus ou moins, ressentis cette piquante sensation d’avoir été trahi alors que l’on était engagé dans une relation.

“On fait parfois des efforts considérables pour souffrir d’une trahison ; et l’on y parvient.”

J’ai eu une relation fusionnelle. Celle qui est venue à moi sans que je l’ai demandé, celle qui n’était pas prévu, car fuyant les engagements, pour ne pas être blessée, finalement m’est arrivée.

 

Ça à durée plusieurs années. Elle avait une place privilégiée dans mon environnement, elle en faisait partie pleinement, sur – engagement. Nous nous sommes mutuellement accompagnés dans nos questionnements, nos envies de comprendre nos évolutions, expériences. Comme l’envie de trouver sa place et sa fonction dans un monde en développement constant. J’ai rêvé quelques instants. J’étais créative. C’est comme si je savais ou j’allais dans l’avenir, que je visualisant mes rêves clairement… A sens unique. J’ai donc éteint la lumière. Dans un monde seul.

Les rêves revêtent une sorte de robe enfantine dont le but est de rester à l’état de nuit, dans nos sommeils. Rappelons nous de rêver endormis mais de projeter ceux – ci a Etat de veille. Pour que notre quotidien soit à l’image de nos plus belles pensées.

La trahison n’a pas supportée que je plonge dans ma conscience spirituelle et la vision magique de la vie, probablement. Elle a vampirisé ma vie pour en faire sienne, tout du moins essayé… en vain. J’étais tout, j’étais l’autre, j’étais aliénée….Et un jour elle m’a quitté. Je le dit comme je l’ai ressentis sur le moment.

Je lui ai ouvert mon cœur sans concession et il a été broyé. Même lui, ne m’a jamais fait ça. Normal, ils ne savent pas tout . J’ai aujourd’hui accepté qu’elle avait le droit de choisir ce chemin. Que c’est la vie. Mais le mal à été fait avant que le recul ne “soigne” mes blessures.

Suite à ça j’ai vraiment tout fermé. Cela m’a coûté, j’ai fini genoux à terre et ça a duré un an.

Autant te dire que je suis parfois dans la peur. Mais je ne suis plus la même, c’était il y a longtemps et je suis bien différente.

 

L’aliénation, ma douleur et le temps qu’il t’a fallut pour prendre du recul, m’ont permis de comprendre que l’on se sent trahi quand on attends quelque chose de bien spécifique de l’autre. Si tu es ouverte(e) à n’importe quelle réponse ou comportement comme étant l’autre et pas un masque, il n’y a plus de jugement. Que des questions et des réponses.
On se sent trahi, car avant tout on accepte pas que l’autre puisse être différent. Pourtant la différence et universelle, à aucun moment nous sommes similaire à l’autre.
 
 
 
As – tu toi aussi cette sensation d’être différent(e)?*
As-tu parfois regretté de t’engager a corps perdu dans une expérience?*
As – tu toi aussi eu cette sensation d’être privé de ton libre arbitre?*
 
 
 

Sache qu’à aucun moment je ne regrette la tournure de l’histoire. Dans le sens où la vie est à vivre à fond. Et que tout à une fin. J’aime l’équilibre des éléments. Et que je ne reproduis jamais deux fois les mêmes situations.

J’y ai perdu mon libre arbitre, j’y ai perdu ma liberté d’être soi. La maîtrise, de mes forces propres au profit d’un(e) autre. Mon ego c’est dédouané du choix de l’ inauthenticité de l’existence vécue personnellement. Se pose alors la question d’un transfert de propriété?  par des passions, des sentiments qui finissent par prendre la maîtrise de l’âme, qui l’agitent et l’égarent.

 

Contrôler, et développer ce sentiment de trahison, n’est ce pas satisfaire son ego et surtout de ne pas affronter le fait qu’au sein même de ce genre de relations, on se trahit soi-même?

 

C’est aujourd’hui que tout se joue !!!

Aujourd’hui je t’invite à lire ce billet tout en écoutant l’album de One republic, “Dreaming out loud. Parce que c’est avec ces douces mélodies que j’ai écris mes maux !!!

Cela fait quelques semaines, que je n’ai pas pris la plume, ici.  Beaucoup de choses se passent et le temps passe tel que je ne me rends pas compte que je délaisse parfois les choses qui me tiennent le plus a cœur. Plume de Cactus, par exemple.

N’est ce pas cela la vie? Inattendue.

C’est de cela aussi que tout ce joue aujourd’hui, de la vie, de ma vie. J’avais envie de partager un peu de moi, pour toi. J’ai toujours eu cette sensation profonde, de vide, de manque, d’avoir besoin d’une nouvelle histoire pour vivre. Je n’ai pas compris jusqu’alors que l’histoire est à écrire chaque jour, comme on souhaite la vivre.

Je ne suis pas perdue, l’es – tu?

J’avance vers la direction de mes rêves, je vis la vie que je souhaite vivre, et pas que. Un jour, une belle âme, parmi celles qui ont croisé mon chemin, m’a dit :

“Tu es tel Christophe Colomb en plein milieu de l’océan, tu cherches vers ou aller et tant que tu n’as pas accosté sur un rivage, tu n’es rien. Pour y arriver il s’est guidé grâce à des bouts de bois flottant, des signes, des intuitions, etc… Le doute ne l’a surement jamais quitté quand à ses choix ou, à la véracité de ce qu’il ressentais pour être dans la bonne direction.”

J’aime l’image, elle me correspond tellement.  Je crois sincèrement que le jour venu, ou, on fait le choix de comprendre, de donner du sens à sa vie, on ne peut plus jamais….oui,oui, JAMAIS faire marche arrière.
 
C’est souvent dur à comprendre pour beaucoup, on peut avoir ce sentiment d’être seul à vivre nos expériences, les “cartésiens” diront que nous sommes dans “notre délires”. Mais je pense qu’une vie intérieure riche, passe par la connaissance de Soi. Cela passe et donc par une prise de risque, celle de plonger dans son aventure intérieure. Celui qui est heureux chaque jour (ou le prétend), celui qui a le bonheur quotidien sur son chemin, celui qui dit je ‘sais” ne sait rien d’autre que ses certitudes, et celles – ci le rendent immobile, fixe dans son temps de vie. Tout ça pour dire qu’il n’y a que l’expérience qui me diras si je suis dans ma vérité ou pas.
 
Je ne parle pas de l’expérience scientifique, mais de l’expérience que l’on vis, de cette expérience quotidienne.
 
Et non, ce n’est pas se torturer, ni se poser trop de questions que de vouloir comprendre. Ma maman, que j’aime profondément, m’a toujours dit “tout, analyse tout, tu te poses trop de questions”
NON, NON ou bien, peut être, mais quand bien même !!! Who cares!!??.
 
Mes questions, elles me nourrissent, ce n’est pas m’en abstenir qui va rendre ma vie plus fluide, moins perturbée. J’ai fait le choix de vivre pleinement ma réalité!!
 
Et vous?
 
 
La vie je la vois ainsi, au delà du bonheur simple, je la vois simplement, en l’acceptant, tel qu’elle est. Parfois dur, et simple, harmonieuse et chaotique, heureuse, et triste. Ma vie elle n’est pas immobile. Il y a des jours ou je vois clairement, d’autre ou je me mens a moi-même, l’important n’est ce pas de me le dire, de l’accepter, humaine que je suis?
 
“Les jours passent mais ne se ressemblent pas” prend tout son sens dans l’ esprit. Car oui le bonheur est une perception de l’esprit.
On cherche le bonheur dans l’idée qu’il sera toujours la, vivant heureux jusqu’à la fin de nos jours, mais c’est un erreur…C’est bien, expérimenter l’erreur fait grandir.
 
La vie est une expérience, chacun décide d’en faire ce qu’il veut. Moi j’aime la mienne. Mon quotidien terrestre est sain, équilibré et plein d’amour, il est à l’image de ce que je voulais, je me suis battu pour, je me questionne, j’évolue au quotidien pour le conserver. Ma vie spirituelle, intérieure, est riche d’une envie d’apprendre, de carcans à dénouer, d’évolutions possibles, ma vie c’est l’envie de surmonter mes frustrations, d’en faire ainsi naître mes désirs…ou le rêve de projets !!! C’est l’expression de la nécessite a élaborer un peu plus ma vie intérieure.
 
 
C’est aujourd’hui que tout se joue, ce jour ou on décide de faire le choix, pour soi-même, du chemin que l’on souhaite empreinter pour comprendre qui nous sommes.
Je ne suis pas perdue, je suis en marche, en actions constantes; le lundi je pleure, le mardi je rie, le mercredi je réfléchie et ce n’est jamais fini. Parfois face à la montagne, souvent en chute libre. Je me regarde et je veux ressentir, comprendre mais surtout expérimenter.
 
J’avance en confiance car j’ai compris le sens d’attirer à soi ce qui est bon pour soi, même si je sais que le mettre en pratique au quotidien me demandera force de conviction et réparation. Et cette impression que l’on voit clairement son intérieur,  mais que celui qui nous regarde de l’extérieur n’y comprend peut être pas grand chose? et bien cela lui appartient mais en même temps n’est il pas le miroir d’un voile que l’on c’est posé sur soi?
C’est une invitation a continuer de construire ses désires, accueillir ceux qui veulent faire un bout de chemin en sa compagnie mais n’obligeant jamais personne à ne pas prendre son envole, pour un temps ou définitivement, loin de soi. Chacun à besoin de vivre ses expériences, c’est là ou tout se joue.
 
C’est le respect !
 
 
Aujourd’hui je me donne le droit de créer ce que je veux, car j’offre à la créativité, une nouvelle orientation, plus vrai, plus moi, plus Psychique encore .
 
 
 
 Image source: https://www.showroomprive.com/ventestickerspenséespositives